Translation for "se déplorer" to spanish
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Translation examples
Leurs langues ne se lassaient pas de répéter les nouvelles, de déplorer les accidents.
sus lenguas no se cansaban de repetir las noticias y llorar los sucesos.
Comment quelqu’un pouvait-il déplorer la mort d’ennemis ?
¿Cómo podría alguien llorar la muerte de sus enemigos?
— Voilà pourquoi je ne puis déplorer la mort de Wendy Hanniford, enchaîna-t-il.
Y por eso no puedo llorar la muerte de Wendy Hanniford.
Pendant ces sept années, je n’ai rien fait d’autre que déplorer et aimer.
A decir verdad, en estos últimos siete años no he hecho más que llorar una muerte y amar.
Bien sûr, il avait passé le plus clair de son temps à déplorer ses handicaps, ses erreurs, l’avenir qu’il ne pourrait plus avoir.
Por supuesto, gran parte de ese tiempo lo dedicó a llorar por sus pérdidas, sus errores, el futuro que no podría tener.
Les gens devaient déplorer la perte de ce passé de la même manière que Weyland se sentait parfois spolié de ses propres vies passées.
La gente debía llorar la pérdida de ese tipo de historia experimentando algo parecido a lo que le pasaba a Weyland, quien de vez en cuando tenía la sensación de que le habían robado sus vidas anteriores.
Nous pouvons toujours dire que nous n’avons pas été atteints par la pierre qu’on nous a lancée, c’est seulement la nuit – quand nous sommes seuls et que notre femme, ou notre mari, ou notre camarade de classe est endormi –, c’est seulement la nuit que nous pouvons déplorer en silence notre lâcheté.
siempre podemos decir que no nos ha alcanzado la piedra que nos han lanzado y de noche —cuando estemos solos y nuestra mujer o nuestro marido o el compañero de escuela duerman —, sólo de noche, podremos llorar en silencio por nuestra cobardía.
Évidemment, nous n’avions jamais rien de sérieux à déplorer – un doigt tordu ou un genou éraflé – et, la plupart du temps, nous jouions jusqu’à ce que je me mette à pleurer. Bobby ne pleurait pas lorsqu’il se faisait mal, pour que mon père ne s’en aperçoive pas et que la fête continue.
Claro que nuestras heridas no eran importantes —un dedo aplastado, una rodilla despellejada, normalmente—, y la mayoría de los sábados hacíamos surf hasta que yo lloraba, pues Bobby, cuando se hacía daño, se negaba a llorar para que así mi padre no supiera que se había hecho daño y pudiese seguir la diversión.
L’écho grossier d’éclats de rire préenregistrés envahit la cage d’escalier tandis qu’elle grimpe péniblement jusqu’à son appartement, un étage après l’autre, il y a de quoi devenir fou avec ces rires forcés qui s’échappent de chez les voisins, des rires qui donnent justement envie de pleurer et de déplorer la bêtise humaine de plus en plus généralisée, elle tente d’enfoncer sa clé dans la serrure mais n’y arrive pas, ils ont apparemment fermé de l’intérieur, elle appuie sur la sonnette mais personne n’entend, comment entendraient-ils puisque force lui est de constater que c’est de chez elle qu’ils s’échappent, ces rires idiots et repoussants, comment est-ce possible, ça ne ressemble pas du tout à Nitzane, elle prend son portable et compose le numéro de sa fille, mais cet appel-là ne sera pas davantage entendu, alors elle s’affaisse, épuisée, sur le palier, s’adosse à sa porte, ses doigts et ses cheveux dégagent une odeur de vomi et de savon bon marché, ses vêtements sont imbibés de sueur, ouvre-moi, Nitzane, chuchote-t-elle aux poignées de quelque antique serrure, ouvre-moi, ma fille, mon trésor, ma colombe, ma merveille, et ce qui est étrange, c’est que justement ces chuchotements sont perçus car la voilà qui contracte instinctivement les muscles pour ne pas tomber en arrière au moment où la porte qui lui sert de dossier s’ouvre d’un coup.
Ecos de groseras carcajadas grabadas se oían en las escaleras de su edificio mientras subía con esfuerzo, piso tras piso, esas risas forzadas que emergen tras cada puerta, es como para volverse loco, risas cuyo paradójico efecto son deseos de llorar, un llanto por la creciente estupidez del mundo, intenta infructuosamente introducir la llave en el ojo de la cerradura, debe de estar cerrada por dentro, toca el timbre pero nadie la oye, cómo podrán oírla, para su sorpresa descubre que las repugnantes risas provienen de su propia casa, cómo puede ser, Nitzan no es así, extrae de su bolsa el teléfono móvil y la llama, pero tampoco lo escucha, Dina se derrumba sobre la escalera, se recuesta contra la puerta de su casa, sus dedos y cabellos despiden olor a vómito y jabón barato, sus ropas están empapadas de sudor, abre tu puerta, Nitzan, le susurra al picaporte, ábreme, mi niña, mi gacela, paloma mía, dulce mía, qué asombroso resulta el que justo haya oído sus susurros, la puerta se abre de repente, Dina intenta enderezarse, no caer al perder súbitamente su apoyo.
On n’avait à déplorer aucune victime.
No había que lamentar ninguna víctima.
On dut déplorer de nombreuses victimes.
Hubo que lamentar numerosas víctimas.
Nous avons déploré pas mal de malentendus de cette nature.
Hemos tenido que lamentar muchos malentendidos de ese tipo.
Quelles autres pertes valaient-elles la peine d’être déplorées ?
¿Qué otras pérdidas había que lamentar?
Qu’ils n’ont à déplorer ni victime ni destruction.
Que no tienen que lamentar ni víctimas ni daños materiales.
Laverde parlait-il anglais, le comprenait-il assez bien pour écouter, suivre une conversation et déplorer – oui, surtout déplorer – cet échange entre le commandant de bord et le copilote ?
¿Hablaba inglés Laverde, o por lo menos lo comprendía lo suficiente para escuchar y entender y lamentar —sí, sobre todo lamentar— esa conversación?
Kosongo eut peu de dommages à déplorer, car les flammes avaient été immédiatement éteintes.
Kosongo tuvo poco que lamentar, porque las llamas fueron apagadas de inmediato.
Il agita ostensiblement la tête comme s’il avait déploré la malchance.
Dio ostensibles cabezazos como si lamentara su mala suerte.
On peut, on doit même déplorer que les pauvres manquent de pain, mais d’honneur ?
Podemos, debemos incluso lamentar que los pobres no tengan pan, pero ¿y honor?
S'il n'y avait pas eu la grille entre ces chiens et l'homme, on aurait certainement eu à déplorer un malheur.
Si no hubiera estado la verja entre esos perros y el hombre, de seguro hubiera habido una desgracia que lamentar.
Ne privons pas plus longtemps Molly d’une nouvelle occasion de déplorer à quel point tu es maigre.
No privemos a Molly un minuto más de la oportunidad de lamentarse sobre lo delgado que estás.
ce dernier, convaincu par les relevés de droits d’auteur, a cessé de déplorer les audaces du livre.
este último, convencido por las ganancias de los derechos de autor, ha dejado de lamentarse por las audacias del libro.
Le jour où elle entendit Giuliano déplorer la mauvaise santé de la sombre princesse, elle en eut assez.
Cuando un día oyó a Juliano lamentarse de la mala salud de la princesa morena, Filiberta vio colmada su paciencia.
L’Europe, je le répète, est pleine de guerres, Leurs Seigneuries, soit d’Espagne, soit d’ailleurs, ne manquent jamais l’occasion de le déplorer.
Europa, repito, está llena de guerras. Sus Ilustrísimas, ya sean de España o de otros lugares, no pierden ocasión de lamentarse por ello.
Miss Pole avait prestement glané cette nouvelle, puis elle en avait déduit des tas de choses et déploré encore bien davantage.
La señorita Pole había cazado al vuelo la noticia que le dio pie a formular toda clase de conjeturas y a lamentarse más aún.
Après des saluts et des remerciements, il se mit à déplorer que Pomponia se montrât si peu et qu’on ne pût la rencontrer ni au cirque, ni à l’amphithéâtre, à quoi elle répondit doucement et la main posée sur celle de son mari:
Después de los saludos y de los agradecimientos de rigor, comenzó a lamentarse de lo poco que Pomponia se dejaba ver en el circo o en el anfiteatro, a lo que ésta replicó reposadamente, colocando una mano en la de su esposo:
Mais finalement, il revint encore sur le sujet de Micòl, et cette fois-ci, non pas pour chanter ses louanges, mais pour déplorer l’espèce d’« inquiétude qui était depuis quelque temps la sienne » – c’est exactement ainsi qu’il s’exprima et il soupira – une inquiétude qui, selon lui, dépendait indubitablement d’un « tas de facteurs », bien sûr, mais surtout… Arrivé là, il se tut brusquement sans rien ajouter de plus.
Recuerdo, no obstante, que al final volvió a hablar de nuevo de Micòl y esa vez para lamentarse de cierta «inquietud suya reciente», debida, como es lógico, a «tantos factores», si bien… Entonces calló, de golpe.
À son retour, on pouvait constater, comme son ami le Chercheur le fit remarquer au chef des prêtres, qu'il cessait pour un temps de déplorer la perte de sa Rivière ou de dessiner d'étonnantes images de la Roue de Vie, et qu'il préférait parler de la beauté et de la sagesse de certain chela mystérieux que personne au temple n'avait jamais vu.
A su regreso se notaba, como su amigo, también obsesionado por la Búsqueda, le hizo observar al prior, que cesaba por algún tiempo de lamentarse de la pérdida de su Río, o de dibujar sus excelentes composiciones de la Rueda de la Vida, y prefería hablar de la belleza y sabiduría de cierto chela misterioso a quien ningún sacerdote del templo había visto jamás.
Promenade qui n’avait sans doute rien de bien gai, car les deux compagnons ne prenaient aucune peine pour affecter vis-à-vis l’un de l’autre des sentiments amicaux : Maurice n’avait jamais cessé de reprocher à son tuteur le déficit des 7.800 livres, ni de déplorer la charge supplémentaire constituée par Miss Hazeltine ; et Joseph, tout bon enfant qu’il fût, éprouvait pour son neveu quelque chose qui ressemblait beaucoup à de la haine.
Paseo que, indudablemente, nada tenía de alegre, pues los dos compañeros no se tomaban la menor molestia en mostrarse mutuos sentimientos amistosos. Maurice no había dejado nunca de reprochar a su tutor el déficit de las 7800 libras, ni de lamentarse de la carga suplementaria constituida por miss Hazeltine, y Joseph, por buen hombre que fuese, experimentaba hacia su sobrino algo muy semejante al odio.
Grâce à la trame des marques, les employés de McDonald’s du monde entier sont à même de se raconter par Internet comment on travaille sous les arches ; des club kids de Londres, de Berlin et de Tel-Aviv peuvent déplorer la récupération du milieu rave par les grandes sociétés ; et des journalistes nord-américains peuvent débattre avec de pauvres travailleurs d’usines rurales indonésiennes des cachets de Michael Jordan pour ses apparitions dans les pubs Nike.
Gracias a la red de las marcas, los trabajadores de McDonald’s de todo el mundo pueden intercambiar por medio de Internet sus historias sobre el trabajo bajo el doble arco, los adolescentes de Londres, Berlín y Tel Aviv pueden lamentarse por la invasión corporativa de las fiestas espontáneas, y los periodistas norteamericanos pueden revelar a los labradores pobres de Indonesia cuánto cobra Michael Jordán por hacer los anuncios de Nike.
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