Translation for "se broyer" to spanish
Translation examples
— Mais il va la broyer, objecta Alice.
—Lo aplastará —dijo Alice.
Et broyer les démons et mater le Chaos,
de aplastar a los demonios y dominar el caos,
Tels qu’ils étaient avant que la pluie d’astéroïdes ne vînt broyer leur biosphère.
Antes de que la lluvia de asteroides aplastara su biosfera.
C’était fini. Nous allions nous retrouver broyés comme Exel et Val.
Nos iba a aplastar como había hecho con Val y Exel.
Ils peuvent si aisément broyer ce qui se trouve sur leur chemin. 
Pueden aplastar tan fácilmente todo lo que encuentran a su paso...
Et c’est ce que fit Alma. Elle apprit à broyer ses déceptions sous son talon.
Y Alma lo hizo. Aprendió a aplastar sus decepciones bajo las suelas de las botas.
Il lui suffirait d’une seule pensée ciblée pour broyer un esprit humain ; il l’avait déjà fait.
Podía aplastar una mente humana con solo pensarlo, y ya lo había hecho.
Il eut une forte envie de broyer cette main d’écolier dans la sienne, de briser ses os.
Sintió el deseo de aplastar aquella mano de escolar con la suya, de romperle los huesos.
- Tu as vu comment le varech a broyé ce suba, rappela Brett à Twisp.
—Viste al varec aplastar aquel submarino —recordó Brett a Twisp—.
« Je crois qu’il aime simplement venir y broyer du noir », dit-elle.
—Creo que sólo le gusta como alojamiento —dijo ella.
L’hiver dernier encore, si puissant baron qu’il fût, si misérable prisonnière qu’elle se trouvât, il l’eût volontiers broyée quand elle lui opposait son refus.
Incluso el último invierno, por muy poderoso barón que él fuera, y miserable la condición de prisionera en que ella se encontraba, la hubiera molido a gusto cuando rehusó escribir la carta.
c’est pourquoi elle est vie, une vie que ne vient pas broyer la morsure de devoir faire, d’avoir déjà fait, déjà vécu, une vie à pieds nus directement en contact avec la chaleur de la pierre qui brûle et l’humidité de l’algue qui pourrit au soleil.
por eso es vida, no aplastada por las tenazas del tener que hacer, del haber hecho ya y vivido ya —vida con los pies descalzos, que sienten a gusto el calor de la piedra que abrasa y la humedad del alga que se marchita al sol.
Je ne puis admettre que des incarnations successives effacent les précédentes jusqu’à ce qu’Iris se dissolve, broyée et distribuée, certains morceaux d’elle retrouvés dans les emballages des vieilles après leur mort, ou dans ceux que nous serrons sous nos lits, moi aussi j’aime ranger des objets inutiles sous mon lit, des manuscrits que je ne publierai jamais, des notes, de pleins cahiers de ce qu’on appelait, de mon temps, des pensées, et les coupures de presse où des critiques me nomment, j’ai aussi mon nom mis de côté parmi les vieilleries que j’accumule sous mon lit, je suis cupide, je ne veux pas que d’autres vieilles me volent des morceaux de la coquille hors d’usage d’Iris, je la veux tout entière pour moi.
No puedo permitir que sucesivas encarnaciones vayan borrando las previas hasta que la Iris se disuelva, desmenuzada y repartida, pedazos suyos encontrados en los envoltorios de viejas muertas, o que nosotras guardamos debajo de nuestras camas, a mí también me gusta guardar objetos inútiles debajo de mi cama, manuscritos que nunca publicaré y notas y cuadernos llenos de lo que en mi tiempo llamábamos pensamientos, y los recortes de críticas que me nombran, también tengo mi nombre guardado entre los trastos viejos que voy acumulando debajo de mi cama, soy codiciosa, no quiero que otras viejas me roben trozos de la cáscara descartada de la Iris, la quiero entera para mí.
dans cet endroit dont tu parlais pour que je voie la porte qu’un autre peter garde mais ils disent que c’est un incident local et nous sommes convaincus qu’un habitant des environs est impliqué et il me sera d’autant plus difficile d’arrêter l’agresseur de tessa qu’on continuera d’affirmer qu’elle a été attaquée par l’éventreur émission douze en provenance de harrogate en août mille neuf cent quatre-vingt reçue la veille du jour de l’an en mille neuf cent quatre-vingt identifiée comme étant prudence banks étranglée et violemment matraquée dans la propriété densément boisée de la villa d’un magistrat local mais une fois de plus personne n’entend rien pas l’impression que ce soit l’œuvre de l’éventreur du yorkshire et il est tout à fait possible qu’il ait pris sa retraite ou qu’il se soit suicidé puisqu’il s’est écoulé plus d’un an peut-être même a-t-il rencontré une femme sympathique et s’est-il rangé marié comme un type normal ou bien il est possible qu’il soit parti à l’étranger ou qu’il se soit fait coffrer pour une autre raison ce n’est pas lui il est parti mais prudence banks évitait encore le raccourci qui lui aurait permis de gagner dix minutes sur son trajet préférait les rues principales bien éclairées et elle suivait d’un pas rapide la rue bordée de grandes villas vides au fond de leurs vastes jardins mais nous ne croyons pas que ce soit l’œuvre de l’éventreur du yorkshire ce n’est pas lui il est parti je n’aime pas la méthode de la strangulation elles mettent encore plus longtemps à mourir mais je l’ai fait parce que la presse et les médias m’avaient stigmatisé et qu’on me surnommait depuis quelque temps l’éventreur du yorkshire et ça ne me plaisait pas ce n’était pas moi n’était pas vrai j’allais tuer une prostituée à leeds quand j’ai vu prudence banks elle n’a simplement pas eu de chance de passer par là sortir de l’ombre la frapper sur la tête elle continue son chemin en trébuchant sur le trottoir en sang et elle hurle il la frappe encore et encore elle ne tombe pas donc il saisit son cou entre ses mains l’étrangle en la traînant dans le jardin d’une des grandes villas vides parmi les buissons et les arbustes jusqu’au flanc d’un garage une fois prudence morte il arrache ses vêtements son manteau en gabardine noire sa jupe violette son soutien-gorge sa culotte ses chaussures son collant et son sac à main le corps nu parmi les buissons et les arbustes près du flanc d’un garage le marteau à nouveau à la main il frappe inlassablement sa chair puis il ramasse un tas de feuilles et couvre le corps mais je dors de moins en moins toutes les nuits je me réveille et je regarde passer une lune après l’autre avant de faire le rêve maléfique qui a déchiré le voile qui était mon avenir et quand je me réveillais j’entendais les enfants pleurer dans leur sommeil parce que maman leur manquait et si tu ne pleures pas maintenant pleures-tu jamais car d’en bas je l’entends enfoncer des clous dans la porte terrifiante de la tour et je contemple en silence ma chair et mon sang mais je n’ai pas pleuré me suis transformé en pierre à l’intérieur j’ai retenu mes larmes et mordu mes mains sous l’effet du désespoir et mes filles qui croyaient que je me mordais les mains à cause de la faim se sont empressées de dire père tu nous ferais moins souffrir si tu te nourrissais de nous car c’est toi qui nous as donné cette triste chair prends-la mais on est resté assis en silence derrière les fils et les alarmes jusqu’au moment où quatre jours plus tard ma fille aînée s’est couchée à mes pieds disant pourquoi tu ne nous aides pas père et puis elle est morte et comme je vous vois j’ai vu les douze autres tomber une par une tandis que les jours se muaient en semaines en mois en années et devenu aveugle j’ai cherché leurs corps à tâtons même si certaines d’entre elles étaient mortes depuis cinq ans j’ai appelé leurs noms jusqu’au moment où la faim s’est révélée plus forte que le chagrin j’ai attaqué à nouveau leurs crânes infortunés avec des dents aussi acérées que celles d’un chien et aussi capables de broyer les os et ensuite je suis allé à l’endroit où les eaux gelées referment leurs rides dures sur un autre groupe de pécheresses leurs visages non pas tournés vers le bas mais vers le haut où les larmes mettent un terme aux larmes et le chagrin qui ne peut trouver d’issue par les yeux se tourne vers l’intérieur 20
Me falta ella. a ese lugar donde dijiste que podría ver las puertas que guarda otro pedro pero dicen que es un incidente local y estamos convencidos de que un hombre de aquí está implicado y tanto decir que tessa ha podido ser atacada por el destripador sólo me está poniendo más difícil coger a su agresor transmisión número doce enviada desde harrogate en agosto de mil novecientos ochenta recibida la víspera de año nuevo de mil novecientos ochenta identificada como prudence banks estrangulada y brutalmente apaleada entre los arbustos de la finca de un magistrado local pero tampoco esta vez me recibe nadie no creo que esto sea obra del destripador de yorkshire podría haberse retirado o quitado la vida porque ha pasado más de un año incluso podría haber conocido a una buena chica y haber sentado la cabeza haberse casado como un tío normal o haberse ido al extranjero o podrían haberlo detenido por otra cosa pero éste no es él porque se ha ido aunque prudence banks evitó el atajo que le habría ahorrado diez minutos de camino y prefirió las calles principales iluminadas y caminó deprisa entre las grandes casas vacías y sus grandes jardines pero no creemos que esto sea obra del destripador de yorkshire éste no es él se ha marchado no me gusta el método del estrangulamiento tardan mucho más en morir pero decidí emplearlo porque los medios de comunicación me habían puesto una etiqueta y hacía tiempo que me llamaban el destripador de yorkshire y no me gustaba yo no soy así no era verdad iba a leeds a matar a una prostituta cuando vi a prudence banks tuvo la mala suerte de pasar cuando él sale de las sombras le da un golpe en la cabeza se tambalea en la acera sangrando y gritando él vuelve a pegarle pero tampoco esta vez cae entonces la estrangula y la arrastra hasta el jardín de una de las grandes casas vacías la esconde entre los arbustos al lado del garaje prudence muerta le arranca la ropa la gabardina negra el jersey la falda morada el sujetador las medias los zapatos las bragas y el bolso el cuerpo desnudo entre los arbustos al lado del garaje vuelve a sacar el martillo y la machaca después oculta el cuerpo con un montón de hojas pero yo duermo cada vez peor y veo pasar luna tras luna antes de caer en ese sueño maligno que rasgó el velo de mi futuro y me desperté al oír que los niños gemían en sueños porque echaban de menos a su mamá y si ahora no estás llorando es que nunca has llorado por nada lo oí desde abajo clavando clavos en la aterradora puerta de la torre y me miré en silencio la carne y la sangre pero en vez de llorar me quedé petrificada por dentro y contuve las lágrimas y me mordí los puños de angustia y mis hijas que creían que me los mordía de hambre se apresuraron a decir padre nos harías sufrir menos si nos dieras de comer porque fuiste tú quien nos dio esta carne triste y tú quien nos la quitaste pero seguimos sentadas en silencio tras las alambradas y las alarmas hasta que el cuarto día mi hija mayor cayó postrada a mis pies gritando por qué no nos ayudas padre y murió y lo mismo que me estás viendo aquí vi yo caer a las otras doce una por una a medida que los días se volvían semanas meses años y yo que me había quedado ciega palpé a tientas sus cuerpos algunas llevaban muertas cinco años las llamé por su nombre hasta que el hambre pudo más que la pena y volví a atacar sus cráneos destrozados con unos dientes afilados como los de un perro y capaces de triturar los huesos antes de irme allí donde las aguas heladas envuelven con duras arrugas a otros pecadores que no miran hacia abajo sino hacia arriba aquí donde el llanto pone fin al llanto y la pena que no encuentra salida por los ojos se vuelve hacia dentro
triturar
Il faut broyer les aliments, méthodiquement.
Hay que triturar los alimentos, metódicamente.
qui cette pierre dans mon cœur puisse broyer...
que esa roca en el alma pueda triturar.
Ses mâchoires cessèrent de broyer du pop-corn.
Sus mandíbulas dejaron de triturar palomitas.
— Ces pommes de terre ne vont pas se broyer toutes seules en purée !
—¡Estas patatas no se van a triturar solas!
Un tendon du cou remue et les mâchoires recommencent à broyer.
Un tendón del cuello se agita y las mandíbulas vuelven a triturar.
Ces deux mécaniques n’avaient rien à broyer entre leurs rouages rouillés, elles criaient.
Aquellas dos máquinas, no teniendo nada que triturar entre sus ruedas mohosas, chirriaban.
Sa poigne devait pouvoir broyer du granit. — Merci encore.
Sospechaba que Baker era capaz de triturar granito si se lo proponía. –Gracias otra vez.
Cette capacité de la mémoire à broyer sans merci êtres et sentiments avait, un moment, atterré Camille.
Esa capacidad que posee la memoria de triturar sin piedad seres y sentimientos había, por un tiempo, aterrado a Camille.
Son bras tendu, sa main grande ouverte avaient envie de frapper, de meurtrir, de broyer, d’étrangler! Qui?
El brazo extendido y la mano abierta ansiaban golpear, herir, triturar, estrangular. ¿A quién?
ses mâchoires peuvent broyer l'échiné d'un élan ou arracher de ses gonds une portière d'auto.
sus mandíbulas pueden triturar la columna vertebral de un alce americano o arrancar la puerta de un coche de cuajo.
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