Translation for "s oublie" to spanish
Translation examples
olvidar
Je ne l’ai pas oublié.
Eso no lo olvidaré.
Tu n’oublies pas, hein ?
No te olvidarás, ¿no?
Elle n’aura rien oublié ?
¿No se le olvidará nada?
– Oublié de la reprendre!
—¡Olvidar recogerla!
Et que je n’avais jamais oublié.
Y que no se me había vuelto a olvidar.
Il aura tout oublié
Olvidará absolutamente todo…
Oublié n’est pas exact.
Olvidar no es exacto.
— Vous n’avez oublié personne ?
—¿Sin olvidar a nadie?
Je ne voudrais pas qu’il m’oublie.
No quisiera que me olvidara.
— J’oublie rien du tout.
—De olvidarse nada.
Elle avait oublié la pipe !
Ella, ella, ¡olvidarse de su pipa!
— Mais il l’a peut-être oublié !
—¡Debió de olvidarse!
À condition qu’on oublie le miroir.
A condición de olvidarse del espejo.
Il avait presque oublié le rendez-vous.
Había estado a punto de olvidarse de la cita.
Qu’est-ce que vous avez encore oublié aujourd’hui ?
¿Qué ha vuelto a olvidarse hoy?
Mais on oublie facilement.
Aunque era fácil olvidarse de las cosas.
— Ce n’est pas le genre de chose qu’on oublie facilement.
—No es algo que pueda olvidarse fácilmente.
Vous avez oublié mon carton à chapeau…
No vaya a olvidarse la caja del sombrero…
M’eût oublié. Moi qui le connaissais depuis sa naissance.
Debió de olvidarse de mí. Que lo conocía desde que él había nacido.
Mais n’oublie pas ton téléphone. »
Pero no te vayas a dejar tú el teléfono.
Mais je crois que, bientôt, j’aurai oublié.
Pero creo que pronto dejaré de hacerlo.
Il est possible que j’aie oublié le ciseau.
Es posible que dejara olvidado el buril.
— Je t’avais dit de débloquer la porte et tu as oublié.
—Te dije que dejaras la puerta abierta, y lo olvidaste.
— Oublie toutes les rues habitées.
– Vamos a dejar las calles llenas de casas.
– Tu les as peut-être oubliés en gym.
—Puede que te los dejaras en la clase de gimnasia —le sugerí.
« Maintenant, n’oublie pas, tu ne dois pas t’arrêter de parler. »
Bien, recuerda que no debes dejar de hablar.
C’est pour cette raison que je n’ai pas oublié une de ses phrases – une de ses phrases torrentielles – que je relis de temps en temps, un peu pour ne pas désapprendre à avoir les ambitions les plus hautes et un peu pour me rappeler d’où vient l’instinct d’écrire, contre toute logique et malgré l’éventuelle indigence du résultat. Je la transcris ici, afin qu’elle meure un peu moins : « Car lui, Vidme, un homme de trente-cinq ans dont les cheveux grisonnent déjà, pense qu’il a découvert une chose importante sur laquelle il doit régler sa vie, il s’est mis dans la tête que le fait d’écrire lui a fait toucher à quelque chose d’essentiel, quelque chose qu’il doit prendre en compte s’il veut continuer à vivre, et c’est pourquoi Vidme marche dans la pluie et le vent, et il pense que ce long travail d’écrivain a fini par lui apprendre quelque chose d’important, quelque chose que peu de gens connaissent, il a vu quelque chose que peu de gens ont vu, pense Vidme tandis qu’il marche dans la pluie et le vent, car si l’on délimite son territoire, si l’on travaille en profondeur un territoire délimité, on finira, à condition d’aller assez loin, d’aller assez profond, par voir quelque chose que la plupart des gens n’ont pas vu, et ce qu’il a vu, pense Vidme tandis qu’il marche dans la pluie et le vent, est le résultat le plus important de toutes ces années pendant lesquelles il a passé le plus clair de son temps à écrire. »
De ahí que nunca se me olvide esta frase -una de sus fluviales frases- que de vez en cuando vuelvo a leer, un poco para no desaprender las ambiciones más elevadas, y un poco para acordarme de dónde proviene el instinto de escribir, contra toda lógica y por muy pobre que sea el resultado. La transcribo aquí, así muere un poco menos. «Porque Vidme, un hombre de poco más de treinta años pero ya con algún que otro cabello gris, considera haber descubierto algo importante que le cambiará la vida; ha comprendido que mediante su actividad de escritor se ha metido en algo importante a lo que tiene que enfrentarse si quiere seguir con su vida. Por esa razón Vidme camina bajo la lluvia y el viento pensando que todos esos años de trabajo como escritor le han enseñado algo crucial, algo de lo que muy pocos son conscientes, él ha visto algo que no muchos han visto, piensa Vidme, mientras camina bajo la lluvia y el viento;
Oublies-tu qu’il est de coutume d’envoyer les serviteurs des prêtres avec eux ? »
Es normal enterrar a los siervos de los sacerdotes con ellos.
Leur interprétation perdit la partie, c’est pourquoi ils durent enterrer leurs livres dans une jarre scellée qui fut oubliée.
A decir verdad, su interpretación fue la perdedora: por eso tuvieron que enterrar sus libros en una tinaja sellada, que luego fue olvidada.
répondit Lisbeth, Marneffe est un mort qu’on a oublié d’enterrer, le baron est comme ton mari, Crevel est ton adorateur ;
- respondió Isabela -. Marneffe es un muerto a quien se han olvidado de enterrar, el barón es algo así como tu marido y Crevel es tu adorador;
Et, tout simplement, c’était cela, être adulte – avoir appris à enterrer profondément les choses. À les garder invisibles, et, autant que possible, oubliées.
En esto, ni más ni menos, consistía ser adulto: en adquirir la habilidad de enterrar las cosas; fuera del alcance de la vista y, a ser posible, también de la mente.
L’enfant, qui n’avait pas oublié le concierge de l’hôtel, s’abstint de serrer sa main tendue. Else-Marie refusa d’entrer dans les détails de « l’affaire », sauf pour dire que les fidèles avaient beaucoup de mal à l’oublier. Il valait mieux qu’Alice et Jack rentrent chez eux.
Acordándose del conseije del Bristol, Jack no aceptó su mano extendida. Else-Marie no entró en los detalles de lo ocurrido salvo para decir que la parroquia entera era incapaz de enterrar «el episodio» en el olvido. La mujer de la limpieza les sugirió a Alice y a su hijo que debían marcharse a casa.
« Mort, Camion, Courir, Quelqu’un », non ! « Se Dérouler » et après : « Sauter, Courir, Quelqu’un, Message, Lampe à Souder ». J’ai oublié « Police » qui vient avant « Lampe à Souder », c’est trop compliqué, je vais tout rater et Grand Méchant Nick m’enterrera en vrai et Maman attendra pour toujours.
Muerto, Camioneta, Correr, Alguien… No, Soltarme, luego Saltar, Correr, Alguien, Nota, Soplete. Me he olvidado de Policía antes de Soplete. Es demasiado complicado, voy a estropearlo todo y el Viejo Nick me va a enterrar de verdad y Mamá me estará esperando aquí siempre. Después de un buen rato susurro: —¿Va a venir o no?
Chacun a son point de rupture, et lui aussi : si le reste ne lui fait pas perdre la raison d’ici là, le temps finira par s’en charger, renvoyant son esprit à des époques où il ne veut pas retourner, à la nostalgie des comtesses et des tsarines, aux souvenirs de Lili Brik qui conduisait les premières automobiles de Moscou, ou aux véhicules à gazogène de Sibérie, aux bûches de bouleau jetées l’une après l’autre dans le fourneau, au générateur qui pétaradait, à d’autres souvenirs où le bois crépitait et où la graisse se consumait, et la chair, et l’odeur… L’instabilité mentale le replongerait dans des souvenirs où le feu dénudait les crânes et les tibias, des souvenirs qu’il doit oublier et qu’il a déjà oubliés, jusqu’à ce que l’âme, s’effilochant, les réveille et les rappelle à la réalité, qu’elle ravive le feu, la fumée, les crépitements, les bûches empilées les unes sur les autres et cette odeur et les coups de feu et les cris d’angoisse et tout le passé serait présent et lui-même pourrait finir par crier ses souvenirs en public au milieu de la longue file d’attente de la journée de vente, par entrer dans ces mêmes ténèbres où tous ceux qu’il croyait éliminés à tout jamais sont déjà entrés depuis longtemps, les mêmes, exactement.
Todo el mundo tenía su límite, y él también, y si otra cosa no le hacía perder la razón, lo haría el tiempo, lo transportaría a una época a la que no deseaba regresar, a la nostalgia de condesas y zarinas, a los recuerdos de Lili Brik conduciendo los primeros automóviles de Moscú, o a los vehículos de gasógeno de Siberia, o a cómo arrojaban tocones de abedul a su caldera, al sonido del generador, a la madera restallando y la grasa ardiendo, y la piel, y aquel olor… La inestabilidad mental le traería aquellos recuerdos en que el fuego descarnaba cráneos y tibias, recuerdos que debía enterrar y que ya había enterrado, pero que su alma desmoronada devolvería a la realidad, convertiría nuevamente en real el fuego, el humo, el crepitar, la leña amontonada y su olor, y los disparos y los gritos de dolor y todo lo pasado se volvería presente y él mismo se pondría a gritar en público sus recuerdos, en medio de la larga cola del día de la compra, penetrando en las mismas tinieblas donde todos los que él creía haber eliminado de su camino para siempre ya habían entrado hacía tiempo, en las mismas, exactamente en las mismas.
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