Translation for "risée" to spanish
Similar context phrases
Translation examples
Et ne craignez-vous pas qu’un Molière de carrefour ne vous expose aux risées du public des Variétés ?
¿Y no temeis que un Moliere de plazuela- os esponga á la risa del público de Variedades?
Ils ne peuvent pas laisser dessouder un des leurs, et encore moins par une femme… Ils seraient la risée de tout le Sinaloa.
No pueden dejar que les truenen a un hombre, y menos que lo haga una hembra… Serían la risa de todo Sinaloa.
Les rires succédaient à la peur, et le professeur, avec son air grave et son ton scolaire, était devenu la risée des Américains.
Después del pánico, se había producido la risa y el profesor, con su cara tan seria y el ambiente escolar que le rodeaba, había sido literalmente muerto a carcajadas.
Mais il n’y eut qu’une petite risée de détresse, un courant ténu avec ici et là le rire ou les applaudissements joyeux de quelque Hivernien stupéfait.
Pero sólo fue como una resaca de desánimo, con una brillante gota de risa o un aplauso alzándose, aquí y allá, de un sorprendido invernal.
Sar la Chamane provoquait la risée des pêcheurs et des chasseurs et des chaudronniers et des guerriers de la Somme en avertissant trop longtemps à l’avance ce qui allait se produire.
Sar la Chamana provocaba la risa de los pescadores y los cazadores y los caldereros y los guerreros del Somme al advertir con demasiada anticipación lo que iba a ocurrir.
Il les déteste jusque-là que, bravant la risée publique, on le voit à l’automne, pour mieux les approcher dans les champs de blé, s’affubler d’une robe de femme et se nouer un fichu sur la tête.
Los detestaba tanto que, un día de otoño, despreciando la risa de las gentes, se disfrazó con un traje de mujer para poder verlas de cerca picotear en los campos de trigo.
C’était parce qu’il avait creusé ce premier trou jusqu’à la roche pour une seule raison : ridiculiser Hank Dowser. Pour le punir ? Parfaitement ! Faire de Hank la risée de tous ceux qui verraient le puits et son fond de caillou à l’emplacement qu’il avait désigné.
Pero sí porque había cavado ese primer pozo hasta la piedra con la única intención de hacer quedar como un tonto a Hank Dowser. ¿Para castigarlo? Sí, señor. Para que fuera blanco de la risa de cualquier hombre que viera el pozo de roca en el sitio que Hank había señalado.
Miles était encore dans le primaire lorsqu’un de ses camarades lui avait demandé quel effet ça faisait d’habiter une maison qui était la risée du quartier. Il n’en avait rien dit à son père, responsable de l’habillage arlequin des murs, mais il avait répété la question à sa mère.
Miles asistía a cuarto curso cuando uno de sus amigos le preguntó si era divertido vivir en la casa de la risa, comentario que Miles comunicó no a su padre, que era el responsable de su aspecto arlequinado, sino a su madre, que primero se puso colorada como un tomate, luego pareció que iba a echarse a llorar y finalmente se encerró en su alcoba y lo hizo.
Il décida de partir le soir même… que faisait-il ici, dans l’inconfort et l’humiliation, alors qu’après tout ses fauteuils en velours gris lui tendaient les bras dans la bibliothèque de sa maison jaune en face du parc… il suffirait d’envoyer Boy en clinique ou quelque chose comme ça, il chercherait bien, et de disperser toutes ces désagréables faces sinistres… ou ces masques(60)… il en avait assez, il se sentit tout à coup on ne peut plus las de tout ça, il n’était guère agréable de se faire moquer pour son âge, d’être obligé de marcher à quatre pattes, envoyé laver des vitres, balayer des couloirs, des pièces vides, des galeries, des cours interminables, condamner des portes, crépir des murs, brûler des vieux journaux, nettoyer le derrière vermoulu de la sémillante Vénus, de faire des pirouettes, de courir traqué par la meute de chiens éclopés, sans queue, galeux, sans oreilles, aux pattes paralysées, aux yeux étincelants dans une tête hypertrophiée et aux crocs menaçants de bave roulant à flots sur leurs babines, de devoir obéir à n’importe lequel de ces monstres qui, après tout, oui, oui, pourquoi en aurais-je peur alors que je peux les disperser quand bon me semble… chaque jour il se proposait de dire à Emperatriz que cette farce avait assez duré et de les licencier, mais il ne parvenait jamais à lui parler, je tombe d’épuisement dans mon lit, je rêve de monstres qui m’approchent, je les vois au réveil, je ne sais plus distinguer les monstres de la veille de ceux du sommeil, ces visages épouvantables au nez phénoménal, à la mâchoire lourde, à la bouche toute pleine de dents, tous crevant de rire parce que c’est moi le monstre, ils me le crient jour et nuit dans ces vagues galeries où apparaissent de nouveaux monstres inconnus, car maintenant tous les monstres sont inconnus, si seulement je trouvais ne fût-ce qu’un monstre de ma connaissance, mais non… ça doit être un rêve, cette histoire de passages pleins de toiles d’araignées, et si c’est un rêve, il est normal que mes monstres amis, ceux de mon temps de veille, ne puissent entrer dans mon sommeil pour me récupérer, sauvez-moi de cette persécution, qu’on ne me crie plus que je suis la risée du monde entier, je ne me rappelle plus où se trouve la porte de sortie, je ne connais pas ces couloirs ni ces cours, on vient de les mettre ici, si je trouvais la porte, je pourrais convaincre Basilio de me laisser sortir, mais Basilio n’est pas là, il déambule des gens qui lui ressemblent mais ne sont pas Basilio, des cousins, des frères, des oncles peut-être, semblables à lui, mais pas lui, car ils ne me répondent que par des insanités quand je les supplie, Basilio, ouvre-moi, si tu me laisses sortir, je te donnerai ce que tu voudras, ce n’est pas Basilio car il me jette des cailloux qui me blessent à la poitrine, ces bosses, ces visages albinos, ces grosses têtes de bulldog, ces géantes exhibant leur démarche ballottante qui me poursuivent, sont tous des horreurs qui m’appartiennent, dont je savais le nom et avec qui je causais, qui me répondaient, mais maintenant ils sont sourds-muets car ils veulent seulement me poursuivre pour me fatiguer et que je me jette sur mon lit, à dormir sans pouvoir avertir sérieusement Emperatriz que ça suffit, qu’on laisse tomber ces jeux, que la justice règle leur cas, mais ils me poursuivent aussi la nuit, me fatiguant pour affronter le jour suivant, balayant tout ce que je porte en moi sauf mon désir d’implorer leur clémence, ne fût-ce qu’une trêve, mais ils ne m’en accordent pas, ils crient, ils piaillent, ils me fouettent, ils rient autour de moi, je porte mes mains à mon visage pour toucher mes traits et les reconnaître, même si ce n’étaient que mes éternels traits monstrueux, oui, oui, oui, je reconnais que j’ai toujours été difforme, jamais un être ayant exercé d’importantes fonctions publiques, et qu’ont aimé des femmes très belles… il ne reste aucun vestige des traits de cet homme.
Decidió que esa noche iba a salir… qué hacía aquí, incómodo y humillado, al fin y al cabo, si sus sillones de terciopelo gris lo esperaban en la biblioteca de su casa amarilla frente al parque… cuestión de mandar a Boy a una clínica o algo así, ya buscaría, y dispersar a todas esas incómodas carotas… o caretas… estaba cansado, de pronto se cansó muchísimo de todo esto, no era cómodo que se rieran de sus años, que lo obligaran a andar a gatas, que lo mandaran a lavar vidrios, a barrer pasadizos y habitaciones vacías y galerías y patios interminables, a clausurar puertas, a enlucir muros, a quemar diarios viejos, a limpiarle el trasero carcomido a la Venus retozona, a hacer piruetas, a correr acosado por la jauría de perros rengos, sin cola, sarnosos, sin orejas, con las patas inutilizadas, los ojos refulgentes en las cabezas hipertróficas y los colmillos peligrosos de baba que chorreaba en sus jetas, tener que obedecer a cualquiera de esos monstruos que, al fin y al cabo, sí, sí, para qué les tengo miedo si puedo dispersarlos cuando se me antoje… todos los días se proponía decirle a Emperatriz que hasta aquí no más iba a llegar la farsa y licenciarlos, pero nunca logro hablar con ella, caigo agotado en mi cama, sueño con monstruos que me cercan, los veo al despertar, ya no sé cuáles son los monstruos de la vigilia y cuáles los del sueño, los rostros espantosos de narices descomunales y mandíbula pesada y la boca repleta de dientes, todos agotados de la risa porque soy yo el monstruo, me lo gritan día y noche por los pasillos confusos donde van apareciendo más monstruos desconocidos porque ahora todos los monstruos son desconocidos, quisiera encontrarme siquiera con uno de mis monstruos conocidos, pero no… debe ser mi sueño esto de los pasadizos llenos de telarañas y si es sueño es natural que mis monstruos amigos, los de la vigilia, no puedan entrar al sueño para rescatarme, sálvenme de esta persecución en que me gritan que soy el hazmerreír del mundo entero, ya no me acuerdo de dónde estaba la puerta de salida, yo no conozco estos pasadizos ni estos patios, los acaban de poner aquí, si encuentro la puerta de salida podría convencer a Basilio de que me deje salir, pero Basilio no está, deambula gente parecida a Basilio que no es Basilio, primos, hermanos, tíos, quizás, iguales a él, pero no él, porque no me contestan más que con improperios cuando yo les imploro, Basilio, ábreme, te doy lo que quieras si me dejas salir, no es Basilio porque me tira piedras que me hieren el pecho, estas jorobas, rostros albinos, cabezotas de bull-dog, las gigantas mostrencas de andar bamboleante que me persiguen son todos adefesios de mi propiedad a quienes yo les sabía el nombre y les hablaba, y me respondían, pero ahora son sordos y mudos porque lo único que quieren es perseguirme para que me canse y caiga a la cama a dormir sin poder advertirle seriamente a Emperatriz que está bueno, que se deje de juegos, que la justicia se haga cargo de todos, pero me persiguen también en la noche, cansándome para afrontar el día, barriendo todo lo que hay en mí menos mi deseo de implorar clemencia, por lo menos una tregua, pero no me la dan, gritan y chillan y me azotan y se ríen alrededor mío, me llevo las manos a la cara para tocarme las facciones y reconocerlas aunque no fueran más que mis facciones monstruosas de siempre, sí, sí, sí, reconozco que siempre he sido deforme, jamás un ser que ha tenido importantes cargos públicos y que me han amado mujeres muy bellas… no quedan vestigios de las facciones de ese hombre.
— Ces petits comiques arrivent en rigolant, et je dois perdre un temps considérable à les convaincre par tous les moyens à ma disposition, qui sont nombreux, que nous ne sommes pas des objets de risée.
—Los payasitos llegan riendo y yo tengo que desperdiciar un montón de tiempo convenciéndolos, con todos los medios de que dispongo, y no son pocos, de que no somos moco de pavo.
Pour l’heure, dans quelle mesure étais-je la risée et l’objet du mépris des lecteurs du journal Akşam, jusqu’à quel point se gaussaient-ils de mon état d’amoureux transi et croyaient-ils à la véracité des détails de cet article ?
¿Hasta qué punto me estarían despreciando los lectores de Akşam, hasta qué punto se estarían riendo de mi estúpido y ambicioso amor, hasta qué punto creerían los detalles de la noticia?
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test