Translation for "respiration" to spanish
Similar context phrases
Translation examples
Sentir l’odeur de sa respiration, la chaleur de sa respiration.
Notar el olor de la respiración propia, el calor de la respiración.
La respiration saccadée, il regarda autour de lui.
Los miró a todos, respirando rápida y superficialmente.
Esther s’agrippa à lui, respirant sa respiration.
Esther se estrechó contra él, respirando su respiro.
Au moins, je n’ai pas la respiration sifflante, songe Constance.
Yo al menos no resuello, piensa Constance.
Mais il entend leur respiration forte, les paroles qui leur échappent.
Pero oye su resuello, las palabras que se les escapan.
elle commençait à danser avant même d’avoir repris sa respiration.
empezaba a bailar antes de haber recobrado el resuello.
À chaque respiration il produisait un sifflement qui faisait peur.
Cada resuello era un pitido que daba miedo.
La respiration haletante de Laws était toute proche maintenant ;
El áspero resuello de Laws sonaba ya muy próximo;
Des fantômes ? » Sa respiration siffle. « Des choses que tu as trouvées étranges ? »
¿Un fantasma o algo del estilo? —resuella Ma—. ¿Algo que te pareciera raro?
Fumer ne semblait pas l’idéal pour un individu qui avait déjà une respiration d’asthmatique.
A juzgar por su resuello, fumar no parecía buena idea.
Il leva les yeux, et se fit la réflexion que dans peu de temps – quelques respirations – son âme irait rejoindre les nuages dans leur envol vers le ciel.
Alzó la vista y reflexionó que dentro de muy poco su espíritu se uniría a las nubes en su vuelo hacia el cielo.
Et surtout, il s'étendit sur son lit, tel quel, les pieds douloureux, la respiration courte, le cœur comprimé, l'esprit assommé et — oh ! — temporairement vide.
Le costaba respirar, le dolían los pies y el corazón, se sentía aturdido y —¡oh!— notaba un vacío pasajero en el espíritu.
La respiration qu’elle retenait jusqu’à l’étouffement formait un nuage blanc quand elle exhalait et se dissipait dans l’haleine grise de la mer comme un esprit, une âme en fuite. Je ne pleurerai pas.
El aliento que había retenido hasta que le dolió brotó como una nubecilla blanca de su boca y se disipó en el sudario gris exhalado por el mar como un espíritu, como un alma en pena. No lloraré.
J’éprouvais le sentiment – sentiment que j’ai souvent ressenti en parlant à des personnes âgées – qu’il y avait une différence fondamentale entre les mots qu’il prononçait et ceux que j’entendais : comme si son discours avait été truffé d’allusions, d’indices et d’implications aussi invisibles, pour moi, que sa respiration. Je me représentais le temps comme une sorte de fantôme blanc, qui se serait tenu entre nous, et dont les grandes manches traînantes auraient balayé l’essentiel de ce qui était dit avant que les mots ne parvinssent à mes oreilles.
Yo tenía la sensación, que he tenido muchas veces hablando con ancianos, de que las palabras que él decía y las que yo oía eran muy diferentes, de que en sus frases había un tropel de indicios, claves e implicaciones tan invisibles para mí como su aliento, como si el Tiempo fuese una especie de espíritu blanco que se interponía entre nosotros y con las mangas colgantes borraba lo que él decía antes de que yo llegara a oírlo. Por fin arriesgué:
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