Translation for "pâtre" to spanish
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Translation examples
Un troupeau n'a-t-il pas besoin d'un pâtre ?
¿Un rebaño no necesita pastor?
Et, semble-t-il, le Tout-Puissant accorde plus d’attention au pâtre.
Y, al parecer, el Todopoderoso concede más atención al pastor.
– A ceci près que tu imagines des pâtres ayant en vue le bien-être de leurs bêtes.
—Sólo porque imaginas pastores que procuran el bienestar de sus bestias.
«Le jeune pâtre s’arrêta comme si ses pieds eussent pris racine.
El joven pastor se detuvo como si le hubiesen clavado en aquel lugar.
Avant ta venue, nous étions comme des moutons sans pâtre, comme des vaches au pis gorgé de lait sans personne pour les traire. 
«Éramos ovejas sin pastor que se preocupara por nosotros, ganado al que nadie ordeñaba, hasta que tú has llegado».
— Et toi, voici ta récompense, dit le voyageur en offrant au jeune pâtre quelques pièces de menue monnaie.
—He ahí la recompensa —dijo el viajero ofreciendo al joven pastor algunas monedas.
il ressemble à ce pâtre endormi d’un bas-relief du musée de Naples, dont j’ai la photographie sur mon bureau.
se parece a ese pastor dormido de un bajorrelieve del museo de Nápoles cuya fotografía tengo sobre mi mesa.
— Luigi Vampa, répondit le pâtre du même air qu’il eût répondu: Alexandre, roi de Macédoine.
—Luigi Vampa —respondió el pastor con el mismo tono que si hubiera contestado: Alejandro, rey de Macedonia—.
            Cette fois, le pasteur, oubliant les intérêts supérieurs de sa patrie, vint hurler à la face du voyou, en anglais :
Esta vez, el pastor, olvidando los intereses superiores de su patria, le gritó a la cara al granuja, en inglés:
car, sachez-le bien, mon cher, vous êtes affreux, comparé à certains pâtres de la Campagne de Rome ! etc.
Porque, sépalo bien, querido, usted es horrendo comparado con algunos pastores de la campiña romana… Etc.
Peut-on appeler patrie une bourgade misérable quand on habite la seule résidence de ce nom dont celle-ci s’enorgueillit, quand on a un père qui roule en Cadillac, une cuisinière, une femme de chambre et un jardinier ?
¿Podía un chico (o chica) llamar a un pobrísimo pueblo «hogar», cuando vivía en la única mansión que ostentaba el pueblo, cuando su padre conducía un Cadillac y disponían de cocinero, doncella, por no mencionar al jardinero para cuidar de la residencia y del jardín?
Dans ce vaste territoire, les Blancs avaient reçu, en 1924, l’autonomie de la mère patrie, la Grande-Bretagne, excepté dans deux domaines, celui de la Défense, qui ne concernait pas la déléguée, et celui des « Affaires indigènes », réservé par le gouvernement britannique pour la raison expresse et spécifique que la nation britannique, elle, était tenue de protéger les populations indigènes conquises, de veiller à ce que leurs droits ne fussent pas violés et que des épreuves ne leur fussent pas infligées du fait de leur « tutelle » par les Blancs.
En ese inmenso territorio en 1924, la madre patria, Gran Bretaña, había otorgado a los blancos «autonomía», salvo en dos aspectos: el de la Defensa, que no les incumbía, y el de los «Asuntos Indígenas», que el gobierno británico se reservaba por la razón expresa y específica de que ellos, la nación británica, tenían que proteger a las poblaciones nativas conquistadas, velar por que sus derechos no fuesen violados, cuidar de que no sufriesen privaciones bajo la «tutela» de los blancos.
— Tatiana, tu as compris que je ne t’ai pas dit la vérité, lui annonça-t-il en lui prenant la main, qu’elle tenait tristement abandonnée sur ses genoux ; une main maigre aux longs doigts masculins et féminins à la fois, peu soignés. Mais dans ce village tortueux, que l’histoire tortueuse de ces vingt dernières années avait changé de nationalité, comme si un lieu pouvait changer de patrie de la même façon que l’on change de vêtement, cela n’avait pas de sens que les femmes prennent soin de leurs mains : leur seul souci, c’était la survie.
—Tatiana, tú has comprendido que no te he contado la verdad —le dijo, mientras le tomaba una mano que ella abandonaba melancólicamente sobre las rodillas, delgada, con largos dedos masculinos, aunque femeninos al mismo tiempo, sin cuidar, porque en aquel pueblo (que la curiosa historia de los últimos veinte años había hecho cambiar de nacionalidad, como si un lugar pudiese cambiar de patria como de vestido), no importaba que las mujeres se cuidasen las manos; apenas se tenía tiempo para sobrevivir.
La patrie s’occupe très bien de ses fils désobéissants, comme on peut le voir à la sécurité de ces hauts murs et à ces précautions de garde, oh messieurs, est-ce donc là une plaie, les gardes sont partout, ont-ils été maudits à leur naissance et ont-ils pour destin d’être partout où il y a des gens qui souffrent, mais pas pour s’occuper de malheurs connus, pour ça ils n’ont ni yeux ni mains, mais pour dire, Sautez dans cette jeep, on va faire une promenade, ou, Circulez, y a rien à voir, ou, Marchez devant, on va au poste, ou, Vous avez chapardé des glands, eh bien, payez l’amende et prenez une raclée, ça doit être à cause des études qu’ils ont faites, sinon ils ne seraient pas gardes, car personne ne naît garde.
Muy bien cuida la patria a sus hijos desobedientes, como se ve por la seguridad de estos altos muros y estos cuidados de la guardia, oh señores, será esto una plaga, en todas partes están, o les habrán echado una maldición al nacer y éste es su destino, estar donde estén los sufridores, no para cuidar las conocidas desgracias, para eso no tienen ni ojos ni manos, sino para decir, Sube al jeep que vamos a dar un paseo, o Pasa de largo, o Vamos, tira adelante, vamos al puesto, o Te ha tocado la papeleta, qué le vamos a hacer, a pagar la multa y aguantar la paliza, debe de ser de los estudios que tienen, de no ser por eso no serían guardias, pues guardia no se nace.
Bouleversé, il s’allonge sur le canapé qui fait face à sa table de travail, pendant des années il avait cru que la réalité changerait à condition qu’il ne ménage pas ses efforts, devait-il en déduire qu’il ne s’était pas suffisamment dépensé ? Aurait-il pu s’investir davantage ? Il avait perdu, pas de doute là-dessus, mais dans cette guerre-là même le perdant devait rester fier, et crois bien que je n’ai rien contre toi, dit-il tout bas, reprenant, comme dans un rêve éveillé, ses discussions nocturnes avec la mère patrie, toi, tu ne m’as jamais compris, tu as toujours douté de mes motivations, sache que je n’aspirais qu’à assurer ton avenir, de même que toi, tu aspirais à assurer le mien, nous voulions tous les deux permettre aux habitants de ce pays de pouvoir survivre ici ensemble. Qui veut se défendre efficacement doit réduire au maximum les points de friction et de haine, s’accrocher à l’essentiel et lâcher du lest sur le superflu, c’est ce que je me suis efforcé de faire mais je n’ai réussi qu’à m’attirer tes foudres, parfois je me dis que tu es peut-être plus naïve que ce que je pensais, que tu ne peux te passer de la peur, c’est pourquoi tu te donnes au premier venu, pourvu qu’il te promette sa protection.
Los inodoros quedaron en sus sitios, ¿a ella le parece poca cosa?, sí, él lucha por inodoros y por rebaños de cabras porque es allí donde está el honor de esa gente que vive en territorios de guerra, se tumba intranquilo en el sofá que queda frente a su escritorio, durante muchos años creyó que si se esforzaba lo suficiente se produciría un cambio, ¿acaso no se había esforzado lo suficiente?, ¿habría podido hacer más?, lo habían derrotado, de eso no cabía duda, pero en una guerra como esa uno debe sentirse orgulloso incluso si lo han vencido, y créeme que esto no va en contra tuya, murmura, continúa sus charlas nocturnas con su patria, como un sueño que prosigue en la vigilia, tú jamás me comprendiste, siempre sospechabas de mis motivaciones, mientras que yo me preocupaba por tu futuro, como intentaste tú preocuparte por mi futuro, de modo que podamos todos sobrevivir juntos. Para poder defendernos tuvimos que reducir a un mínimo los puntos de fricción y de choque, concentrarnos en lo importante y desentendernos de lo vano, es lo que intenté hacer y sin embargo una y otra vez desperté tus iras, a veces creo que eres más ingenua de lo que suponía, que eres una adicta al miedo, te entregas con demasiada facilidad a cualquiera que prometa que cuidará de ti.
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