Translation for "penser à penser" to spanish
Penser à penser
  • pensar para pensar
  • pensar que pensar
Translation examples
pensar para pensar
— Parler peut faire penser, et penser, c’est dangereux pour des gars comme vous.
Hablar puede llevar a pensar, y pensar es muy peligroso para unos chicos como vosotros.
À penser sans penser… à te vider d’espoirs et d’inquiétudes pour ne garder en tête qu’une seule idée : celle qui constitue ton armure mentale.
Tienes que aprender a pensar sin pensar…, a vaciarte de toda esperanza y preocupación, a excepción de una idea, que es tu armadura.
La notion lui répugnait : que la pensée, la pensée seule, influe sur des phénomènes physiques allait à l’encontre de toute la philosophie matérialiste dans laquelle il avait grandi.
Aquel pensar y pensar solo, para estar en condiciones de captar los fenómenos físicos, era contrario al conjunto de la filosofía materialista en que había crecido y vivido.
Tu ne sais pas pourquoi cela t’arrive, mais plus tu passes de temps dans cet air irrespirable, plus ta tête se remplit d’images de femmes nues, de belles femmes nues, et la seule chose à laquelle tu puisses penser (si penser est le mot approprié dans ce contexte), c’est à baiser de belles femmes nues.
No sabes por qué te ocurre eso, pero cuanto más tiempo pasas entre ese aire irrespirable, más se te llena la cabeza de imágenes de hermosas mujeres, de mujeres desnudas, y en lo único que puedes pensar (si pensar es la palabra adecuada en este contexto) es en follar con hermosas mujeres desnudas.
On change de verbe… Je suis tu suis il ou elle suit ils suivent, autrement dit ils continuent d’être, sans penser… mais penser, est-ce la même chose qu’être conscient, non… Il existe une distinction entre la conscience passive, laquelle perçoit, identifie, organise les signaux transmis par les sens, la conscience d’être en vie, en éveil, qui réagit aux stimuli… donc pas réellement passive… mais qui n’élabore pas de pensées cohérentes… Disons par conséquent qu’il n’y a pas distinction mais continuum, un continuum entre l’état quasi végétatif, laissons de côté la broussaille, la conscience est étrangère aux plantes même si le prince Charles bavarde volontiers avec ses géraniums… Posons qu’il y a continuum entre le simple traitement des données fournies par les sens, j’ai chaud j’ai froid ça me démange, à un bout, et à l’autre la réflexion philosophique abstraite, en passant par tous les degrés d’une infinité de stades intermédiaires… Oui mais il nous est possible de faire les deux simultanément, par exemple en conduisant une voiture, on peut conduire sans avoir conscience de ce qu’on fait, changer de vitesse, freiner, accélérer, etc., de façon tout à fait efficace et sans danger, tout en réfléchissant à quelque chose de totalement différent, à la conscience, par exemple. Alors que faut-il en conclure ? Ah, un trou, un vrai trou, durant un instant, pas plus d’une seconde ou deux, aucune pensée décelable ni message sensoriel, comme on dit j’ai eu un passage à vide, je ne pensais à rien, je ne faisais que « suivre »… Donc, lorsque soudain le fil de la pensée s’interrompt se rompt on « suit » simplement, on passe en quelque sorte par un mode de veille, prêt à penser mais en suspens… comme le disque dur d’un ordinateur allumé mais dont on ne se sert pas, comme la machine à café bourdonnant toute seule prête à faire du café mais qui n’en fait pas… Évidemment, cette expérience est désespérément faussée car il est inévitable que la décision même d’enregistrer ses pensées détermine ou pour le moins modifie celles qui vont faire surface… Par exemple, je ressens en ce moment une petite raideur dans la nuque, je bouge la tête, je m’étire… je pivote sur mon siège… je me lève… je marche de mon bureau jusqu’à la fenêtre… toutes choses que je ferais normalement sans y penser, je les ferais « inconsciemment » comme on dit, mais ce matin j’en suis conscient parce que je tiens à la main un dictaphone, l’Olympus Pearl-corder, dans le but précis de… Il était bien, le topo d’Isabel à San Diego sur la modélisation des objets à trois dimensions, elle m’en avait envoyé le texte après coup, ça c’est d’une vraie scientifique, tu la rends folle de jouissance dans sa chambre d’hôtel et ensuite elle t’envoie en souvenir une copie de sa communication… Morte à présent cette pauvre Isabel Hotchkiss, cancer du sein m’a-t-on dit, saloperie, qui voudrait être une femme, une chance sur douze que ses seins la tuent ou qu’ils essaient… Et en plus ils étaient beaux, de charmants objets tridimensionnels je me souviens de lui avoir dit en lui enlevant son soutien-gorge et en les prenant dans mes mains… il faut que je cherche cette microcassette si je ne l’ai pas effacée, j’aimerais la réécouter en me branlant à la mémoire d’Isabel Hotchkiss.
El verbo ser… Yo soy tú él ella ellos, que significa meramente existir sin pensar… ¿pero pensar es lo mismo que ser consciente? No… Hay una distinción entre la conciencia pasiva, que recibe, identifica, organiza señales de los sentidos, la conciencia de estar vivo, de estar despierto, y que reacciona a estímulos… conque no es exactamente pasiva… pero tampoco formula pensamientos coherentes… Digamos entonces que hay no una distinción, sino un continuum, un continuum entre un estado casi vegetativo, no, borra eso, las plantas no son conscientes aunque al príncipe Carlos le guste charlar alguna que otra vez con los geranios… Digamos que es un continuum entre un mero procesado de datos de los sentidos, tengo calor tengo frío tengo picor, en un polo, y un pensamiento abstracto filosófico en el otro, con una serie infinitamente graduada de estados entre ambos… Sí, pero es posible hacer las dos cosas a la vez, conducir, por ejemplo, es posible conducir un coche sin ser consciente de que lo estás haciendo, cambiar de marcha, frenar, acelerar, etc. con absoluta eficiencia y seguridad, y pensar al mismo tiempo en algo completamente distinto, por ejemplo en la conciencia. Así que ¿adónde nos lleva esto? Ah, un claro, un espacio en blanco definido, por un instante, no más de un segundo o dos, no he tenido un pensamiento comunicable o una impresión sensorial, la mente, como solemos decir, se me ha quedado en blanco, no he pensado en nada, simplemente he existido… O sea que cuando una secuencia de pensamiento se rompe de repente, se desploma, uno solo existe, entra en una especie de modo pausa preparado para el pensamiento pero sin pensar… como el disco duro que gira en un PC que está enchufado pero que no se utiliza, como la máquina de café que tararea lista para hacer café pero sin hacerlo… Por supuesto, este experimento es irremediablemente artificial, porque la decisión de grabar tus pensamientos inevitablemente determina o al menos influye en los pensamientos que concibes… Por ejemplo, en este momento siento una pequeña rigidez en el cuello, muevo la cabeza, me estiro… giro en la silla… me levanto… voy de mi escritorio a la ventana… normalmente estas cosas las haría sin pensar. Las haría «inconscientemente», como suele decirse, pero esta mañana soy consciente de ellas porque tengo una grabadora en la mano, una Olympus Pearlcorder, con el propósito específico de… Fue una buena conferencia la de Isabel en San Diego… sobre modelar objetos de tres dimensiones, después me mandó una copia, eso sí que es una buena científica, te la tiras hasta perder el juicio en su habitación de hotel y te manda después una separata de su ponencia a modo de recordatorio… Ahora está muerta la pobre Isabel Hotchkiss, de cáncer de mama, me dijo alguien, qué puta lástima ser una mujer, una entre doce posibilidades de que las tetas te maten o lo intenten… Y además las tenía bonitas, bonitos objetos tridimensionales, recuerdo que le dije cuando le quité el sujetador y las cogí con las manos… tengo que buscar esa cinta si no la he borrado, me gustaría escucharla otra vez y masturbarme en memoria de Isabel Hotchkiss.
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