Translation for "ourle" to spanish
Translation examples
Jake aperçoit la ganse qui l’ourle.
Jake ve el dobladillo.
Il avait douze pans à couper, ourler et coudre.
Había que cortar, coser y hacer el dobladillo de doce paneles.
« Merci… C’est que… » Elle se mouche bruyamment dans le lin ourlé à la main.
—Gracias… es que… —Se suena audiblemente la nariz con la servilleta de hilo con el dobladillo hecho a mano—.
Mais j'imagine que si nous sommes en train d'ourler votre pantalon, c'est que vous avez pris la décision de vous marier.
Pero supongo que si le estamos metiendo el dobladillo a su pantalón es porque ha tomado la decisión de casarse.
cela n'en finissait pas et il y avait toujours des bonnets de mousseline à faire, du linge à raccommoder, des mètres de toile à ourler.
era el cuento de nunca acabar y siempre había gorros de muselina por hacer, ropa que remendar, metros de tela, en los que hacer dobladillo.
Toute chose avait un sens dans la vie, il s'agissait ici de lui rappeler la nécessité d'ourler le pantalon de son costume de marié et de raccourcir les manches du veston.
En la vida, todo tiene un porqué. En este caso se trataba de recordarle la necesidad de meterle el dobladillo al pantalón de su traje de boda y acortarle las mangas a la chaqueta.
Ses doigts découvrirent une fente proprement pratiquée dans l’étoffe, à peu près de la largeur de la main, aux bords soigneusement ourlés pour ne pas s’effiler.
Se acercó más y sus dedos encontraron una esmerada hendidura en la tela, más o menos del tamaño de su mano y pespunteada delicadamente con un dobladillo para evitar que se deshilachase.
Il avait un imperméable noir qu’il tenait sur le bras et portait un blazer marron foncé par-dessus – c’était à peine croyable – une chemise à rayures jaunes et vertes. Puis un pantalon de tissu synthétique beige, mal ourlé.
Llevaba, al brazo, una trinchera de color negro, y, fuera de eso, una chaqueta cruzada, ésta castaño, sobre una camisa nada menos que a rayas amarillo y verde. Los pantalones eran de poliéster, color crema, con dobladillos desnivelados.
Shushy était vêtu d’un costume croisé en gabardine couleur chocolat, très épaulé, avec un pantalon cigarette et des revers extravagants – sa tenue favorite lorsqu’il sortait ambiancer dans le quartier en claquant dans ses doigts, et que, selon la formule de ma mère, il « gâchait sa vie » pendant que dans leur mansarde sa mère s’usait les yeux à ourler des robes pour honorer leurs factures.
Shushy vestía un traje de gabardina cruzado de color chocolate, con pantalones anchos de cadera y perneras ajustadas, hombreras enguatadas y exuberantes, su atuendo preferido cuando movía el esqueleto por el barrio chascando los dedos (y, según mi madre, «echado su vida a perder»), mientras en el minúsculo ático donde vivían su madre hacía el dobladillo a un centenar de vestidos al día para pagar las facturas de la familia.
Ourlées d’écume blanche, d’une beauté trompeuse, elles se refermaient sur le nageur comme un poing juste au moment où il atteignait le rivage.
Estaba la furia de las olas: azul oscuro y bordeadas de blanco, como el encaje; su belleza engañaba, ya que al acercarse a la orilla se cerraban como puños.
La brise soufflait entre les palmiers et une écume blanche venait ourler une plage de sable fin, sur laquelle étaient étendus de jeunes couples – silhouettes noires se découpant sur une mer tachetée d’or.
Varias parejas paseaban por la arena con la brisa meciendo las palmeras y las olas acariciando la orilla. Sus negras siluetas se recortaban contra la luz dorada del Sol.
on regarde le lac et la neige est blanche, la rive est ourlée de bleu pâle, les pins sont vert foncé, le monde est là, il existe, irréfutable et solide comme la boule de neige que Lucina envoie à Hans.
se mira el lago y la nieve es blanca, el ribete que bordea la orilla es azulado, los pinos verde oscuro, el mundo está ahí, existe, irrefutable y sólido como la bola de nieve que Lucina le tira a Hans.
Le feu l’imita en sifflant, glissant de droite à gauche, suivant les vagues, toujours plus loin jusqu’à ce que l’écume, ourlée de flammes, roule sur la rive et dépose aux pieds de Doigt de Poussière un ruban de feu, comme un gage d’amour.
Rugiendo y llameando el fuego lo imitó, recorrió la ola a izquierda y derecha y se difundió hasta que la espuma, orlada de llamas, rodó hasta la orilla y una cinta de fuego flotó a los pies de Dedo Polvoriento como una prenda de amor.
La peau noire de Nazaré, insondable profondeur chromatique, les bruns, les ocres, les bleus, les rouges, le pourpre violet qui ourle son sexe, le rose chair de sa langue, le blond rosé de ses paumes, je ne sais jamais de quelle nuance s’émerveille mon regard, de quelle profondeur il remonte ;
La piel negra de Nazaré, insondable profundidad cromática, los pardos, los ocres, los azules, los rojos, el púrpura violeta que orilla su sexo, el rosa carne de su lengua, el rosa claro de sus palmas, nunca sé con qué matiz se maravilla mi mirada, de qué profundidad asciende;
Raffinée, cultivée, libérée, ce qui était rare en milieu musulman, douée en outre d’un vif sens de l’humour, Selma Jehan, vingt-huit ans, était avec ses grands yeux noirs ourlés de khôl « l’incarnation parfaite d’une princesse des Mille et Une Nuits telle que pouvait l’imaginer un jeune Américain des bords de la Kanhawa River ».
Refinada, culta y liberada, algo poco usual en ambientes musulmanes, dotada además de un gran sentido del humor, Selma Jehan, de veintiocho años, era, con sus ojazos negros pintados de khol, «la encarnación perfecta de una princesa de las Mil y una noches, tal como pudiera imaginársela un joven norteamericano de orillas del Kanahwa River».
Et maintenant : retour aux mouettes qui font des cercles et crient au-dessus d’elle sur les bords de la mer de Béring en Alaska, très bas, à peine une coudée au-dessus de sa tête, comme pour fondre sur elle, et elle de chasser les oiseaux en agitant ses deux bras… Et à l’entrée de la grande pyramide dans le désert près du Caire : retour de la femme en noir, accroupie dans une niche, et de nouveau elle qui prend la femme pour une religieuse et lui met une pièce dans la main tendue par hasard… Et de retour aussi, tout aussi vite emportées, envolées, les ombres des araignées d’eau se projetant sur le fond du rÍo Tormes dans la Sierra de Gredos, à un endroit où le río est encore un petit ruisseau et coule lentement dans la haute vallée, ah, dans le lit du ruisseau sablonneux et scintillant de quartz, les ombres des araignées immobiles, d’un noir profond, ourlées par un halo aux couleurs d’arc-en-ciel…
Retorno de las gaviotas que chillan y vuelan en círculos por encima de su cabeza a orillas del mar de Bering, en Alaska, vuelan muy bajo, apenas a un par de palmos de distancia, como si fueran a precipitarse sobre ella, y de nuevo ella agitando ambos brazos para ahuyentar los pájaros… Y de nuevo a la entrada de la Gran Pirámide, en el desierto, cerca de El Cairo, la mujer vestida de negro en cuclillas dentro de un nicho, y ella que, erróneamente, toma a la mujer medio embozada por una monja, y el cabeceo con el que la mujer responde a la moneda que la otra pone en su mano, tendida así por pura casualidad… Y regresando ahora, y de súbito e igual de rápido otra vez ausentes, borradas y esfumadas, las sombras de los zapateros de entonces, en el fondo del río11 Tormes, en la sierra de Gredos, en una parte donde el río todavía es un pequeño arroyo y discurre lento por el alto valle, muy muy lento, las sombras de los zapateros en el centelleo de la arena cuarzosa del lecho del arroyo, inmóviles, de un negro intenso, orladas con un halo de varias capas iridiscentes…
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