Translation for "murmurant" to spanish
Translation examples
Ton bosquet murmurant.
La arboleda que susurra.
répondit-il en murmurant lui aussi.
—preguntó él, también en un susurro—.
Il pensa, en murmurant presque :
Pensó, casi en un susurro:
Sa voix se fit murmurante.
—Su voz se convirtió casi en un susurro—.
« C’est joli », lui dit-elle en murmurant.
—Precioso —le dijo al niño, le susurró.
Il toucha la main de Babin en murmurant :
Al estrechar la mano de Babin susurró:
Il exprima ses craintes à Zavala en murmurant.
Austin susurró su preocupación a Zavala.
Enfin, il s’était tourné vers elle en murmurant :
Entonces, se volvió y le dijo en un susurro:
— Vous êtes éveillé… dit-elle, d’une voix presque murmurante.
—Estás despierto —dijo, y su voz fue poco más que un susurro—.
Momo resserra son étreinte en murmurant :
Momo la sujetaba con fuerza, pero miró hacia ella y susurró:
La lumière du matin entrait dans la chambre et l’on entendait le chant des oiseaux et la rumeur murmurante de la mer.
La luz del amanecer entraba al aposento, y se oían cantos de pájaros y el rumor murmurante del mar.
L’espace exigu du cercueil s’emplit rapidement de la chaleur de son corps, et le hodja ressentit toute la volupté de la solitude, du calme et de l’oubli qui faisait de ce réduit étroit, obscur et poussiéreux des jardins paradisiaques et immenses avec des rives verdoyantes et d’invisibles eaux murmurantes.
El estrecho espacio del «ataúd» se llenó enseguida de su calor corporal, y el hodja sintió el placer de la soledad, de la paz y del olvido que convertía el angosto, oscuro y polvoriento cuarto en interminables jardines paradisíacos con orillas verdes e invisibles aguas de rumor suave.
Et une des missions de Fedwin Morr consistait à déterminer – à sentir – s’il y avait quelqu’un en train d’espionner… En murmurant entre eux, des hommes qui entouraient la zone balisée se retournèrent pour regarder Rand avec de grands yeux. Tous avaient de gros nez et portaient sur la hanche une épée semblable à celle des gardes. Rand repéra quelques femmes.
Una de las tareas de Fedwin Morr había sido estar atento —y percibir— a cualquiera que intentara espiar. Como las ondas en la superficie del agua, un rumor se fue extendiendo a partir del área enmarcada por las cuerdas, y hombres con narices prominentes y espadas serpentinas se levantaron de su postura en cuclillas y se volvieron para mirar a Rand con expectación. Aquí y allí había mujeres también;
Il prononça ces paroles et aussitôt la rumeur de la vie, comme convoquée par sa voix, ou comme si elle entrait soudain par une porte que quelqu’un avait ouverte toute grande sans beaucoup réfléchir aux conséquences, occupa l’espace qui avait appartenu précédemment au silence, lui cédant juste de petits territoires occasionnels, des surfaces infimes, comme ces mares exiguës que des forêts murmurantes entourent et cachent.
Lo dijo él, y en ese instante el rumor de la vida, como si lo hubiera convocado con su voz, o como si entrase de repente por una puerta que alguien abriera de par en par sin pensar mucho en las consecuencias, ocupó el espacio que antes había pertenecido al silencio, dejándole sólo pequeños territorios ocasionales, mínimas superficies como aquellos breves charcos que los bosques murmurantes rodean y ocultan.
Mais, dans la brève expérience de Devin, ces conversations n’avaient d’autre but que de passer le temps lors des longues soirées d’hiver devant la cheminée d’une salle d’auberge au Certando, ou de tenter d’impressionner un voyageur dans une taverne de Corte en murmurant qu’un parti pro-barbadien était en train de se former dans cette province ygrathienne. Il ne s’agissait là que de rumeurs, Devin l’avait compris depuis longtemps.
Pese a lo corto de su experiencia, las conversaciones de las que Devin había sido testigo no habían constituido hasta la fecha sino una forma más de pasar las frías noches de invierno en la lúgubre Certando, o un mero intento de causar sensación entre los caminantes refiriendo en cualquier mesón de Corte los rumores concernientes a la creación de un partido pro barbadio en las provincias de Ygrath. Devin había llegado, por tanto, a una conclusión: para él todo aquello no era más que pura palabrería.
quand le soleil étincelle sur ses vaguelettes dansantes, parant de reflets d’or les trous vert-de-gris des hêtres, dardant de ses jets de lumière les couverts frais et sombres, faisant se réfugier les ombres dans les combes, incrustant de diamants les roues des moulins, lançant des baisers aux lis, se fondant dans l’écume des écluses, argentant les murs et les ponts moussus, égayant le moindre hameau, auréolant les sentiers et les prairies, s’accrochant aux buissons, souriant dans chaque crique, éclatant gaiement sur la voile blanche, imprégnant l’air de splendeur... Oui, la Tamise est un beau fleuve doré. Mais la Tamise... triste et glacée, quand la pluie incessante tombe sur les eaux brunes et mornes, murmurant comme une femme qui pleure tout bas dans quelque obscure cellule, quand les bois, sombres et silencieux, frissonnent parmi les brumes vaporeuses, et que leurs plus grands arbres se tiennent à leur orée, fantômes muets des mauvaises actions et des amis abandonnés... La Tamise n’est plus qu’une eau hantée coulant à travers le pays des vains regrets.
El río, con los rayos del sol danzando sobre las claras aguas, dorando los troncos de los árboles, iluminando los escarpados senderos, persiguiendo a las sombras entre las ramas de los grandes sauces, convirtiendo en diamantes las gotitas de agua de los molinos, besando los lirios, jugando con el agua blanca de las esclusas, plateando las paredes llenas de musgo y los viejos puentes; iluminando los más humildes poblados, los verdes prados, riendo en cada arroyuelo, pintando a grandes brochazos las blancas velas y llenando el aire de su infinita gloria es algo parecido a un cuento de hadas. Pero el mismo río, frío y triste, con las incansables gotas de agua que caen sobre sus oscuras profundidades, con sordo rumor de sollozos lejanos, y los bosques, llenos de sombras, silenciosos, envueltos en nubes de vapor que se alzan cual sombríos espectros, mudos fantasmas con ojos cargados de reproches, semejantes a espíritus del mal, semejantes a las almas de los seres que hemos olvidado, es lugar habitado por los espíritus, es el reino de la tristeza y la melancolía.
Contemplez-la, c’est pour cela que je vous veux, et moi qui me dévêts aussi, contemplez-moi aussi : célébrez ma puissance érigée, enviez-la-moi, c’est pour cela que je vous nourris, regardez-moi me coucher auprès d’Inés, dans le froid lancéolé des feuilles, la forcer à ouvrir ses yeux dorés, bruns, verts, pour regarder ces autres yeux étincelants dont la douleur à nous contempler rehausse notre stature, voyez mes mains qui te caressent, mes lèvres parcourant ta fraîcheur qui s’attiédit, chauffe, brûle, mon sexe qui te fait soupirer, gémir, oublier que tu ne penses à rien, j’occupe tout le vide que tu ne m’abandonnes pas et que tu as refusé de m’abandonner en cinq ans de félicité, écoutez-la gémir, la pudeur d’Inés cède, tombe et la laisse plus nue et plus collée à moi, murmurant mon nom prodigieux, gémissant à mesure que je l’envahis, hurlant enfin sans souci qu’on l’entende et qu’on la voie quand enfin je triomphe en elle et m’abats tout entier face à cette infinité d’yeux acérés, jaunes, verts, glacials, fourbis, qui s’allument oscillants et se cachent et reparaissent avec leur désir de voir encore, renouvelant ma puissance, à la seule condition que je voie des regards phosphorescents dans la végétation qui me dissimulait moi aussi, mère Benita, car je les surveillais, j’étais deux de ces yeux allumés dans l’obscurité du parc de la Rinconada, deux de ces pupilles qui faisaient partie du chœur nécessaire à l’unicité du plaisir, deux de ces yeux, les plus avides, les plus tourmentés, les plus blessés, c’étaient les miens, mère Benita, ces mêmes yeux que vous voyez maintenant embrumés par la fièvre, dont vous essayez d’abaisser les paupières avec vos mains pour que je me repose, que je dorme, dors, Mudito, dors, repose, dors, ferme les yeux, me dites-vous, éteins ton regard qui a fait son temps, baisse tes paupières et endors-toi, mais je ne peux les fermer car ils brûlent dans mes orbites en les regardant jouir parmi les feuillages, l’oreille aux aguets des mots entrecoupés et de la rumeur de leurs corps, le nez attentif aux parfums de l’amour, et mes mains, cette main que vous tenez dans la vôtre, cette main, sans qu’ils s’en rendissent compte dans l’émoi des sens, toucha leurs corps tandis qu’ils faisaient et refaisaient leur félicité, jusqu’à ce que leurs yeux se fussent éteints parmi les feuillages, don Jerónimo les cherchait pour se renouveler à leurs regards fulgurants maintenant opacifiés, où sont-ils, où sont-ils, ils sont partis, Inés, nous restons dans l’obscurité complète, peut-être n’y eut-il jamais d’yeux pour nous contempler et tout a-t-il toujours été obscur, non, voici les yeux jaunes, je suis de nouveau moi, je te désire maintenant plus que jamais car je sais que tu es fatiguée et je suis fatigué, ces yeux jaunes et chassieux me voient te pénétrer, te voient revivre, les yeux chassieux près des nôtres, encore, encore plus près, jusqu’à ce qu’Inés eût poussé son dernier cri, mère Benita, qui ne fut pas seulement un cri de plaisir mais un cri de terreur, car en ouvrant les yeux pour voir la constellation des regards brillants des témoins et la figure de Jerónimo, elle vit la chienne jaune s’approcher, les flairer et lécher les liqueurs déposées par leurs corps sur les feuillages : la chienne jaune, pantelante, baveuse, couverte de boutons et de verrues, la faim inscrite dans les yeux, elle, la seule capable de provoquer le cri.
Contémplenla, que para eso los tengo, y a mí, que también me desnudo, también contémplenme: celebren mi potencia erguida, envidíenmela que para eso los alimento, vean cómo me acuesto junto a Inés entre el frío lanceolado de las hojas, cómo la obligo a abrir sus ojos pardos, verdes, para mirar esos otros ojos refulgentes cuyo dolor al contemplarnos acrecienta nuestra estatura, cómo te acarician mis manos, mis labios que recorren tu frescura que se entibia, se calienta, arde, mi sexo te hace suspirar, gemir, olvidar que no estás pensando en nada, yo ocupando todo el vacío que no me entregas y te has negado a entregarme durante cinco años de dicha, óiganla gemir, cómo cede el pudor de Inés y cae y la deja más desnuda y más pegada a mí, murmurando mi nombre prodigioso, gimiendo a medida que la invado, aullando por fin sin importarle que la oigan y la vean cuando por fin triunfo en ella y caigo entero frente a esa infinidad de ojos acerados, amarillos, verdes, glaciales, bruñidos, que se encienden oscilantes y se ocultan y reaparecen ansiosos de ver de nuevo, renovando mi potencia, siempre que vea fosforescer miradas entre la vegetación que también me ocultaba a mí, madre Benita, porque yo los estaba vigilando, dos de esos ojos encendidos en la oscuridad del parque de la Rinconada, dos de esas pupilas del coro necesario para la singularidad del placer, dos de esos ojos, los más ávidos, los más atormentados, los más heridos eran mis ojos, madre Benita, estos mismo ojos que ahora usted ve nublados por la fiebre, cuyos párpados usted trata de bajar con sus manos para que descanse y duerma, duerme, Mudito, duerme, descansa, duerme, cierra tus ojos, me dice usted, apaga tu mirada que ya ha servido, baja los párpados y duérmete, pero no los puedo cerrar porque arden en mis órbitas mirándolos gozarse entre las hojas, mis oídos alerta a las palabras entrecortadas y al rumor de sus cuerpos, mi nariz al perfume del amor, y mi mano, esta mano que usted tiene en la suya, sin que ellos se dieran cuenta en el alboroto de sensaciones, esta mano toco esos cuerpos mientras creaban la dicha una y otra vez, hasta que los ojos entre la vegetación se fueron apagando y don Jerónimo los buscaba para renovarse en sus miradas fulgurantes opacadas, dónde están, dónde están, se han ido, Inés, se han ido, quedamos en la oscuridad total, quizá no haya habido nunca ojos contemplándonos y todo haya sido siempre oscuro, no, ahí están los ojos amarillos, soy yo otra vez, te deseo más que nunca ahora porque sé que estás cansada y porque yo estoy cansado, esos ojos amarillos y legañosos ven cómo te penetro, cómo revives, los ojos legañosos cerca de los nuestros, más, más, hasta que Inés lanzó el grito final, madre Benita, que no fue sólo un grito de placer sino también un grito de terror, porque al abrir los ojos para ver la constelación de miradas relucientes de los testigos alrededor del rostro de Jerónimo, vio a la perra amarilla que se acercó a husmearlos o a lamer los jugos que sus cuerpos dejaron sobre las hojas: la perra amarilla, acezante, babosa, cubierta de granos y verrugas, el hambre inscrita en la mirada, ella, dueña del poder para provocar el grito.
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