Translation for "mettez vous" to spanish
Mettez vous
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— Écoutez, Justin, fit Woodrow, à la fois insistant et plus conciliant. Mettez-vous à ma place un instant, d’accord ?
Woodrow imploraba y se echaba atrás al mismo tiempo. —Oye, Justin…, en serio, intenta ponerte en mi lugar… sólo por un momento, ¿de acuerdo?
Je sais même que vous mettez parfois des baleines dans vos cols, que vous boutonnez votre chemise à partir du bas, et je sais que je veux être avec vous à jamais.
Sé que te pones los calcetines después, no antes, de ponerte los pantalones, hasta sé que a veces usas ballenas para el cuello de la camisa, que te abrochas la camisa desde arriba, y sé que quiero saber de ti el resto de mi vida.
Mais bien sûr, il nous faudra avertir l’O.M.P., qui tuyautera Leningrad, et ça finira par nous revenir à la gueule. Mais à ce moment-là, peut-être que nous aurons été en mesure de mettre au point un nouveau test. (Il décrocha son vidéophone.) Vous vous mettez en route ?
De hecho, podremos contar con su silencio indefinido, aunque por supuesto habrá que informar a la WPO, que a su vez se lo notificará a Leningrado. Con el tiempo la prensa se nos tirará encima, pero para entonces quizá hayamos desarrollado una escala mejor. —Descolgó el teléfono—. ¿Quieres ponerte en marcha?
En d’autres termes, la distance que le bon lecteur choisit d’instaurer pendant la lecture n’est pas celle existant entre l’écrit et le narrateur, mais entre l’écrit et vous-même : non pas, « Dostoïevski a-t-il vraiment assassiné et dépouillé des veuves âgées lorsqu’il était étudiant ? », mais vous, lecteur, qui vous mettez à la place de Raskolnikov pour ressentir l’horreur, le désespoir, la détresse pernicieuse, combinée à un orgueil napoléonien, la mégalomanie, la frénésie de la faim, de la solitude, de la passion et de la lassitude, associées au désir de mourir, pour établir un parallèle (les conclusions resteront confidentielles) non entre le personnage du récit et divers scandales de la vie de l’auteur, mais entre le héros de l’histoire et votre ego intime, dangereux, misérable, dément et criminel, la terrifiante créature que vous enfermez au secret pour que personne n’en soupçonne jamais l’existence, ni vos parents, ni ceux que vous aimez, de peur qu’ils ne s’écartent de vous avec effroi, comme si vous étiez un monstre – et quand vous lisez le récit de Raskolnikov, en supposant que vous ne soyez pas un lecteur cancanier mais un bon lecteur, vous pourriez l’entraîner dans vos caves, vos labyrinthes obscurs, derrière les barreaux, au fond du cachot, pour lui faire rencontrer vos monstres les plus ignominieux, confronter les démons dostoïevskiens avec les vôtres que, dans la vie normale, vous ne pourrez jamais comparer à quoi que ce soit, puisqu’il vous sera impossible d’en parler à quiconque, pas même au lit, en le susurrant à l’oreille de celui ou celle qui partage vos nuits, au risque qu’il, ou elle, ne s’empare du drap pour s’en couvrir et s’enfuir en poussant des cris d’orfraie.
Es decir: el espacio que el buen lector prefiere labrar durante la lectura de una obra literaria no es el terreno que está entre lo escrito y el escritor sino el que está entre lo escrito y tú mismo. En vez de preguntar: «Cuando Dostoievski era estudiante, ¿de verdad asesinó y robó a ancianas viudas?», prueba tú, lector, a ponerte en el lugar de Raskolnikov para sentir en tus carnes el terror, la desesperación y la perniciosa miseria mezclada con arrogancia napoleónica, el delirio de grandeza, la fiebre del hambre, la soledad, el deseo, el cansancio y la añoranza de la muerte, para hacer una comparación (cuyo resultado se mantendrá en secreto) no entre el personaje del relato y los distintos escándalos en la vida del escritor, sino entre el personaje del relato y tu yo secreto, peligroso, desdichado, loco y criminal, esa terrible criatura que encierras siempre en lo más profundo de tu mazmorra más oscura para que nadie pueda adivinar jamás la esencia de tu existencia, ni tus padres, ni tus seres queridos, no sea que se aparten de ti con espanto igual que se huye ante un monstruo. Mira, cuando lees la historia de Raskolnikov, siempre que no seas un lector chismoso sino un buen lector, puedes interiorizar a ese Raskolnikov, introducirlo en tus sótanos, en tus oscuros laberintos, tras las rejas y en la mazmorra, para que se encuentre allí con tus monstruos más vergonzosos y abominables y podrás compararlos con los de Dostoievski; los monstruos de la vida cotidiana no los podrás comparar nunca con nada pues tú nunca se los mostrarás a ningún ser humano, ni siquiera en voz baja, en la cama, al oído de quien se acuesta contigo por las noches, no sea que en ese mismo instante coja la sábana espantado, se cubra con ella y huya de ti gritando de terror.
Qu’est-ce que vous mettez aujourd’hui ?
¿Qué te vas a poner?
Vous mettez la casserole sur le feu ?
¿Poner la plancha al fuego?
Mettez ceci, je prie monsieur.
—Por favor, usted poner esto, señor.
Mettez-moi tout ça par écrit. 
Vaya a poner todo esto por escrito.
 À la place, mettez… quoi donc ?
—Ponga, en cambio… ¿Qué puede poner?
Ou autrement mettez dix cents.
También puede poner diez centavos.
Ne mettez pas la vie de mes hommes en danger.
Ni se le ocurra poner en peligro a mi gente.
Mais pourquoi mettez-vous de beaux habits ?
Pero, ¿por qué te vas a poner ropa elegante?
mettez donc une vitre à l’enfer.
sería como poner un vidrio delante del infierno.
Regardez où vous mettez les pieds.
Es difícil poner los pies en lugar seguro.
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