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La maternelle. Dieu, que cela semblait loin!
El jardín de infancia. Dios, parecía tanto tiempo.
En septembre, Ben est entré en maternelle.
En septiembre Ben empezó a ir al jardín de infancia.
Je ne me rappelle pas grand-chose de la maternelle, mais je me souviens un peu du jardin d’enfants.
No recuerdo casi nada del preescolar, pero sí un poco del jardín de infancia.
à l’école maternelle, j’apprenais des jeux à tout le monde et c’était moi qui commandais ;
en el jardín de infancia les enseñaba juegos a todos y los manejaba como quería;
Encore une fois, je dois perdre mon temps à des explications du niveau maternelle.
Veo que debo explicar la cuestión en términos de jardín de infancia.
Jusqu’à présent, elle avait fait preuve d’une efficacité un peu brusque, telle une infirmière ou une institutrice d’école maternelle.
Parecía muy eficiente, como una enfermera o una maestra de jardín de infancia.
Elle était employée pour raconter des histoires dans les écoles maternelles et animer des goûters d’enfants.
Se ocupaba de contar historias en jardines de infancia y de animar fiestas infantiles.
Je ne veux pas que de gentilles infirmières s’occupent de moi en me parlant comme si j’étais à la maternelle.
No quiero que me atiendan enfermeras amables y que me hablen como si yo estuviera en un jardín de infancia.
Et puis, notre grand va entrer à l’école maternelle l’an prochain.
Además, nuestro hijo mayor empezará el jardín de infancia el año que viene.
Sa mère ne rentrerait pas de l’école maternelle avant qu’on soit venu chercher les enfants de l’après-midi.
Su madre no habría vuelto del jardín de infancia hasta que hubieran recogido a los niños de la tarde.
« Tu ferais mieux de te ramener tout de suite, et je veux dire fissa », et Mavis avait fait le tour de la maison pendant que Birdie était à l’école maternelle, en se disant : argent, aspirine, maquillage, sous-vêtements ;
Mientras Birdie estaba en el jardín infantil, Mavis recorrió la casa pensando: dinero, aspirinas, pintura, ropa interior;
Nous couchâmes ensemble cette nuit-là, mais notre nouveau jouet nous avait rendus si nerveux que notre performance fut digne de la maternelle, autrement dit (selon le langage de ce pays) ce fut une déplorable combinaison à deux.
Dormimos juntos aquella noche, y tan inquietos y agitados con nuestro nuevo juguete, que nos comportamos como niños de un Kindergarten, o (por no acudir a lenguas extranjeras) digamos que fue una deplorable combinación de dos.
Sur un dessin de ma famille que j’ai peint en maternelle, j’ai mis mes grands-parents très colorés au centre de la page, ajouté une mouche à un bout - l’avion de mon père - et, de l’autre côté, une couronne représentant le sang bleu de ma mère.
En un dibujo de mi familia que pinté en el kindergarten, puse a mis abuelos a pleno color en el centro de la página y agregué una mosca en un extremo —el avión de mi papá—, y una corona en otro representando la sangre azul de mi madre.
Quelques mois après son admission au KGB (Kindergarten, section B) de l’école maternelle Buds, à Daryaganj – officiellement en tant que fille de Saqib et de sa femme –, la robuste Bandicoot traversa une période de mauvaise santé.
Pocos meses después de que la admitieran en el KGB (Kindergarten, Sector B) del Centro Preescolar Tiernos Capullitos de Darayaganj (Saqib y su mujer la matricularon como sus padres oficiales), la robusta Ratita cayó enferma.
Mes grands-parents m’ont retirée de la maternelle et pendant un certain temps ils m’ont enseigné les bases du coloriage et de la fabrication des chenilles en pâte à modeler à la maison, jusqu’à ce que mon père rentre de l’un de ses voyages et décide que j’avais besoin de relations appropriées à mon âge, outre les drogués de O’Kelly, les hippies abouliques et les féministes implacables que fréquentait ma grand-mère.
Mis abuelos me retiraron del kindergarten y por un tiempo me enseñaron en la casa los fundamentos de colorear y hacer gusanos de plastilina, hasta que mi papá regresó de uno de sus viajes y decidió que yo necesitaba relaciones apropiadas a mi edad, además de los drogadictos de O'Kelly, los hippies abúlicos y las feministas implacables que frecuentaba mi abuela.
Le souvenir le plus lointain que le Conde avait de l’amour, il le devait, comme à peu près tout le monde, à sa maîtresse de maternelle, une fille pâle aux longs doigts, qui le frôlait de son haleine quand elle lui prenait les mains pour lui placer les doigts sur le clavier du piano tandis qu’en un endroit imprécis, entre les genoux et l’abdomen de l’enfant, montait un doux désespoir.
El recuerdo más remoto que Mario Conde tenía del amor se lo debía, como casi todo el mundo, a su profesora de kindergarten, una muchacha pálida y de dedos largos, que lo rociaba con su aliento cuando le tomaba las manos para colocarle los dedos sobre el teclado del piano, mientras, en un sitio impreciso entre las rodillas y el abdomen del niño, crecía una suave desesperación.
à l’époque, le matin, après le départ de Pericles pour l’ambassade et de Clemen et Pati pour le collège, j’allais flâner deux heures en ville avec Betito, qui n’avait que cinq ans et était encore trop petit pour que je le mette dans une école maternelle en langue étrangère.
entonces, en las mañanas, luego de que Pericles salía hacia la embajada y Clemen y Pati hacia el liceo, yo me iba a vagabundear un par de horas por la ciudad con Betito, quien a sus cinco años era muy chico para meterlo a un kinder en una lengua extraña.
Aucune des mères des membres du groupe, bien sûr, ne passait au-dessous du terre-plein depuis lequel nous plongions à l’intérieur des voitures, et cela n’aurait pas éveillé notre intérêt, car nos mères appartenaient à une génération plus âgée, étrangère à la minijupe, et celles qui excitaient notre libido naissante étaient les jeunes femmes qui conduisaient leurs enfants à la maternelle ou à l’école primaire.
Ninguna de las madres de los integrantes del grupo, claro está, pasaba bajo el terraplén desde el que husmeábamos dentro de los autos, y en el caso de que lo hubiera hecho, no habría sido objeto de nuestro interés, pues nuestras madres pertenecían a una generación mayor, ajena a la minifalda, y las que despertaban nuestra incipiente lascivia eran aquellas jóvenes que llevaban a sus niños al kínder o a la primaria.
Et pour vérifier ça, j’ai décidé de poursuivre le travail de fouille dans ma mémoire, l’entêtement dans certains cas peut même se transformer en vertu, et j’ai entrepris aussitôt d’essayer de déterminer ce que serait le deuxième souvenir de ma vie, qui devait se situer après l’explosion de la bombe – un joli titre pour un premier chapitre autobiographique, si je peux me permettre cette parenthèse, “Après l’explosion”, un titre superbe, me suis-je répété, enthousiaste, comme si j’avais vraiment eu l’intention d’écrire ma vie –, le deuxième événement qui dans mon enfance s’était ancré dans ma mémoire et qui avait eu lieu à l’école maternelle Montessori dont j’étais un brillant élève, une maternelle où un matin un petit camarade avait osé me prendre les cubes avec lesquels je jouais, il avait osé me les prendre en toute insolence et refusait de me les rendre malgré mes demandes répétées, attitude qui avait déclenché en moi une combustion interne qui m’avait amené à réagir de manière inattendue, car tout ce que j’avais trouvé à faire avait été de prendre de la main droite le cube qui me restait et, au moment où l’effronté ne s’y attendait pas, de lui asséner sur la tête un coup de toutes mes forces, et d’écraser à plusieurs reprises mon cube en bois sur la tête de l’intéressé jusqu’à ce que ses cris de douleur attirent l’attention de l’éducatrice, qui s’était empressée de me soulever dans ses bras tandis que d’autres éducatrices couraient au secours de l’effronté qui gisait au sol la tête en sang.
Y para comprobarlo decidí continuar con la tarea de hurgar en mi memoria, que la tozudez en ciertas condiciones hasta virtud puede ser, y enseguida pasé a tratar de establecer lo que sería mi segundo recuerdo en la vida, lo que vendría después del bombazo —lindo título para un primer capítulo autobiográfico, valga la digresión, «Después del bombazo», un título espléndido, me repetí, entusiasta, como si estuviese en la faena de escribir mi vida—, el segundo evento que en mi infancia había calado en mi memoria y que tuvo lugar en el kínder Montessori en el que yo era insigne alumno, un kínder donde una mañana un compañerito osó quitarme mis cubitos de madera, con la mayor de las insolencias me quitó mis cubitos y se negaba a regresármelos pese a mis ruegos, ante lo que yo fui víctima de una combustión interna que me llevó a reaccionar de una forma inusitada, porque lo único que se me ocurrió fue tomar con mi mano derecha el cubito de madera que me quedaba y, en el instante en que el abusivo se descuidó, me le dejé ir con toda la fuerza de que era capaz a golpearle la cabeza, una y otra vez estrellé mi cubito de madera en la cabeza del susodicho hasta que sus gritos de dolor llamaron la atención de la profesora de juegos, quien presta se abalanzó a alzarme de los brazos mientras otras profesoras corrían a auxiliar al abusivo que yacía en el suelo con la cabeza sangrante.
Et tout en m’amusant à évoquer le deuxième souvenir de ma vie, en savourant ma vodka tonic à la terrasse de La Veiga et en contemplant les passants qui se dépêchaient sur l’avenue Insurgentes, je me suis dit que si je n’avais pas été expulsé de l’école Montessori, si je n’avais reçu qu’une timide réprimande, ce n’était pas parce que ma mère enseignait dans cette même institution, mais parce que mon grand-père était à l’époque président du puissant Parti national, et surtout parce que ma grand-mère était Lena Mira Brossa, une femme au caractère impulsif et au tempérament explosif, que la propriétaire et directrice de l’école maternelle devait avoir toutes les bonnes raisons de redouter, car j’étais certain que depuis l’instant où elle avait appris la tentative de vol de mes cubes et son dénouement sanglant, ma grand-mère Lena avait pris mon parti et n’aurait pas manqué d’accuser avec toute la sévérité possible le petit camarade effronté qui n’avait pas respecté la propriété d’autrui, c’était là une façon de réagir qui lui ressemblait, et elle aurait menacé avec une virulence particulière l’éducatrice en charge des jeux pour ne pas avoir fait preuve de la vigilance attendue et ne pas avoir stoppé à temps les actes d’un enfant délinquant qui essayait de s’approprier des biens appartenant à son petit prince, c’est-à-dire moi, son seul petit-fils à l’époque.
Y ahora que me solazaba en ese segundo recuerdo de mi vida, mientras sorbía mi vodka tónic en la terraza de La Veiga y contemplaba a los transeúntes recorrer deprisa la avenida Insurgentes, me dije que si no me habían expulsado del Montessori, si nada más había recibido una tímida amonestación, no fue gracias a que mi madre trabajara como profesora en esa misma institución, sino a que mi abuelo era en ese entonces el presidente del poderoso Partido Nacional, pero sobre todo a que mi abuela era doña Lena Mira Brossa, una mujer de carácter intempestivo y temperamento explosivo, a quien la dueña y directora del kínder debía de temer como la prudencia dictaba, pues no me cabía la menor duda de que desde el mismo instante en que se enteró del intento de robo de mis cubitos y del desenlace sangriento, mi abuela Lena había tomado partido a mi lado y habría acusado con el mayor rigor al compañerito abusivo por no respetar la propiedad ajena, que ése era el talante que la distinguía, y en especial habría vituperado amenazante a la profesora encargada de los juegos por no poner la atención debida y detener a tiempo las acciones de un niño delincuencial que trataba de apoderarse de las pertenencias de su príncipe, que era yo, a la sazón su único nieto.
Il était riche, puissant, génial en matière de mécanique, et il lui fallait encore fréquenter la maternelle.
Era rico, poderoso y un genio de la mecánica; pero le faltaba acudir todavía a un jardín de la infancia.
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