Translation for "maiss" to spanish
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John Astley n’écoutait que d’une oreille : il calculait combien de rhums il lui faudrait commander pour que Maisie soit en état de tout accepter.
John Astley no la escuchaba en realidad, sino que calculaba cuánto ron tendría que darle para conseguir que estuviera dispuesta a cualquier cosa.
– En aucun cas je n’aurais oublié ! fit Maisie. Et ils se regardèrent, et ils virent que, ni l’un ni l’autre, ils ne ressemblaient plus aux camarades de tout à l’heure. Un miracle les avait transformés, un mystère qu’ils ne pouvaient pénétrer.
—No lo hubiese olvidado de todos modos —respondió Maisie. Y al mirarle comprendió que ambos habían cambiado y que ya no eran los camaradas de una hora antes, sino que uno y otro se habían transformado en una maravilla y en un misterio incomprensible.
Maisie Richardson avait joué un rôle prépondérant dans la protection des fées des prés et des fougères et Jane Gridall pouvait non seulement s’entretenir avec les primates, mais elle avait aussi inventé une langue des signes qui rendait possible la communication avec presque toutes les espèces de la planète.
Maisie Richardson había rendido grandes servicios a la protección de las hadas de la hierba y de los helechos, y Jane Gridall no solo podía charlar sin esfuerzo con todos los primates, sino que también era la inventora de un lenguaje de signos que posibilitaba la comunicación con casi cualquier especie del planeta.
Avec un petit effort, Jane aurait pu se souvenir de son nom. Une amie le lui avait dit, en ajoutant : « C’est une pairesse, mais pas de bonne souche… elle chantait jadis dans les chœurs de music-hall. » Un profond mépris avait percé dans la voix de l’amie en question, Maisie, une jeune masseuse diplômée, spécialisée dans l’art de réduire l’embonpoint disgracieux des dames mûres et coquettes.
Se dijo que no tendría que esforzarse mucho para recordar su nombre. Una amiga lo había mencionado, añadiendo que no era aristócrata por nacimiento, sino que era una corista o algo por el estilo. Su amiga lo había dicho con un profundo desdén. Sin duda había sido Maisie, la que era tan buena masajista.
Il se reprochait de n’avoir jamais présenté Maisie à son père, de n’avoir jamais invité le vieillard à séjourner dans le magnifique presbytère du Sussex, de l’avoir abandonné à son chagrin à l’aube d’une nouvelle ère, où une génération d’enfants gâtés, arrogants, impudents, tournaient le dos à leurs aînés qui avaient fait la guerre, méprisant leurs cheveux courts, leur vie rangée, leur indifférence au rock’n roll.
Estaba pensando en que nunca llevó a Maisie a conocer a su padre y nunca invitó al anciano a que les visitara en la hermosa rectoría de Sussex, sino que le dejó abandonado a su tristeza mientras alboreaba la new age y la arrogante, desvergonzada, mimada generación volvía la espalda a los padres que habían hecho la guerra y les despreciaban por su pelo corto y sus costumbres formales y su indiferencia al rock and roll.
Le journal de Chingford publia un article sur la jeune Maisie qui, issue d’un quartier populaire de la ville, s’était « élevée jusqu’aux plus hauts sommets », et ce fut de ces sommets, et pour unir leurs familles désintégrées, qu’ils décidèrent de se marier eux aussi, non pas pour respecter les conventions, mais parce que c’était au contraire extravagant, désopilant, inoffensif et démodé, comme les uniformes à épaulettes des Beatles sur les photos publicitaires, lors de la sortie de leur album sensationnel.
El periódico de Chingford publicó un artículo sobre la chica local de clase trabajadora que «ascendía a las alturas», y desde esas alturas, y para sostener el entorno que se desintegraba, decidieron casarse, no porque fuese una convención que respetar, sino precisamente porque era lo opuesto, era algo exótico, era divertidísimo, era camp e inofensivamente anticuado, como los uniformes militares con borlas que llevaban los Beatles en fotos de promoción para su sensacional LP. Por este motivo no invitaron, ni siquiera informaron, a sus respectivos padres.
Parmi ses titres les plus connus, on peut citer les romans Les Européens, Les Bostoniennes, Les Ambassadeurs, Les Ailes de la colombe, Ce que savait Maisie, La Princesse Casamassima… Plusieurs nouvelles de James, qui en a écrit beaucoup, sont aussi très célèbres : La Bête dans la jungle, L’Image dans le tapis, L’Élève, Daisy Miller, Le Dernier des Valerii, La Maison natale… À travers ces œuvres diverses apparaissent des thèmes constants. Un des plus évidents est celui de l’innocence américaine allant affronter la vieille Europe, ultra-civilisée, raffinée et corrompue. Elle y trouve la destruction et la mort. C’est un des grands leitmotive qui se sont imposés à la littérature américaine et que l’on retrouve, par exemple, chez Scott Fitzgerald.
Muchos lectores, entre los que me encuentro, consideran Las bostonianas la mejor novela de Henry James. (James, por su parte, la describió en 1885 como «la mejor obra de ficción que he escrito».)[1] Situada entre sus novelas de aprendizaje y las obras profundamente complejas y difíciles de su madurez, Las bostonianas resulta especial por varios motivos. El primer motivo puede parecer irrelevante: se trata de una de las novelas omitidas en la edición de Nueva York de la obra de ficción de James, compuesta por veintiséis volúmenes y publicada entre 1907 y 1909. Para esa edición, James (cuya última novela terminada, La copa dorada, había sido publicada en 1904) se comprometió no solo a reeditar la mayoría de sus novelas y relatos con prólogos nuevos, sino también a revisar exhaustivamente el estilo en el que habían sido escritas sus primeras obras.
« C’est Maisie qui étudie. »
—Ésa es Maisie, que está estudiando.
Ce que savait Maisie.
Lo que Maisie sabía.
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