Translation for "lui plaire" to spanish
Lui plaire
Translation examples
Lui plaire, ou l’inquiéter ?
¿Fue para complacerle o para inquietarle?
Elle parle pour lui plaire.
Ella le habla para complacerle.
Elle demanda, pour lui plaire :
Ella le preguntó, por complacerlo:
Ceci a paru lui plaire.
Eso pareció complacerlo.
Elle a peur de ne pas lui plaire.
Tiene miedo de no complacerle.
Tu dois t’efforcer de lui plaire.
Debes procurar complacerlo.
— Alors, c’est seulement pour lui plaire ?
—¿Es solamente por complacerle a él entonces?
Cette attention parut lui plaire.
La atención parecía complacerle.
— Je m’efforce en permanence de lui plaire, Sarathi.
—Hago lo que puedo para complacerla, Sarathi.
favor de él
Sa théorie n’allait sûrement pas plaire à ses chefs.
No se ganaría el favor de los comisarios con esa teoría.
Il rendit à ces gens quelques services, sut leur plaire, et ceux-ci, qui n’ont point coutume de demander aux passants leurs papiers, ne voulurent point en savoir davantage.
Hizo algunos favores a aquellas gentes, supo agradarlos, y éstos, que no suelen pedir papeles a los pasajeros, no quisieron saber más.
On le savait plus avide encore de victoires que la plupart des commandants en chef : une victoire évidente et positive ne pourrait en effet que plaire à l’opinion publique et plus encore au ministre actuel, source de tous les honneurs.
Además, todos sabían que estaba más ansioso que otros comandantes generales por conseguir una victoria, una importante victoria que le hiciera ganar el favor de sus conciudadanos y, sobre todo, de los actuales ministros, que eran quienes concedían los honores.
Je me suis procuré des bas de différentes couleurs… quinze ou seize paires. Auriez-vous l’obligeance de mettre de côté les six paires qui vous paraîtront les plus susceptibles de plaire ? — Très volontiers. »
—Me quita usted un peso de encima. Le diré cuál es el favor que quiero que me haga. He comprado unos pares de diferentes colores. Creo que deben ser unos quince o dieciséis. ¿Sería usted tan amable de darles una ojeada y seleccionar media docena de las que le parezcan más bonitas?
« Nègres, obéissez en toutes choses à vos maîtres selon la chair, non pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais avec simplicité de cœur, dans la crainte du Seigneur. » Le claquement du fouet ponctuait chaque syllabe, et le gémissement de la victime.
«Negros, obedeced a vuestros amos terrenales en todo y no solo cuando os vigilan y ganaos sus favores solo con sinceridad de corazón y reverencia al Señor.» Con el gato de nueve colas y un lamento de la víctima puntuando cada sílaba.
Il avait été assassiné par deux kamikazes marocains fanatiques dotés de passeports volés en Belgique. Les deux hommes, envoyés par Ben Laden qui voulait, par cette opération, plaire à son ami le mollah Omar, avaient réussi à se faire passer pour des journalistes afin d’approcher Massoud et de l’exécuter.
De hecho, lo habían asesinado dos terroristas suicidas, unos marroquíes ultrafanáticos que fingieron ser periodistas gracias a unos pasaportes belgas robados, y que fueron enviados por Osama bin Laden como favor a su amigo el mulá Ornar. El saudí no había tramado aquel ardid;
Sans doute avait-il d’autres dons que celui de plaire aux femmes : il était rusé et ambitieux, et sut si bien manœuvrer — en jouant de son grand atout, la faveur d’Agnès — que les chanoines du Saint-Sépulcre adoptèrent sa candidature au patriarcat. Guillaume de Tyr, se voyant opposer un tel concurrent, proposa de retirer sa propre candidature et supplia le chapitre de désigner quelque autre prélat, voire d’en faire venir un d’outre-mer, plutôt que d’élire un homme si notoirement indigne.
Debía tener sin duda otros dones que el de gustar a las mujeres; era astuto y ambicioso y supo maniobrar tan bien —aprovechándose del favor de Inés— que los canónigos del Santo Sepulcro presentaron su candidatura al patriarcado, Guillermo de Tiro, al ver que se le enfrentaba con tal contrincante, propuso retirar su propia candidatura y suplicó al capítulo que designara a cualquier otro prelado, o incluso que hiciera venir a uno de ultramar, antes que elegir a un hombre indigno a los ojos de todo el mundo.
À l’époque où la mode voulait qu’en quittant l’état de célibat les femmes fassent précéder d’un « de » le nom de famille de leur époux, Berta n’était pas insensible dans son choix à l’effet tant visuel que sonore du nom qu’elle porterait dans un lointain avenir : ce n’était pas la même chose de devenir Berta Isla de Nevinson, un nom qui évoquait aventures ou contrées exotiques (un jour elle aurait une carte de visite qui préciserait cela, et en plus ça se verrait), plutôt que Berta Isla de Suárez, s’il faut mentionner le nom du camarade qui avait eu l’heur de lui plaire jusqu’à ce que Tom fasse son apparition au collège.
En unos tiempos en que aún se estilaba que al dejar la soltería las mujeres añadieran un ‘de’ a su apellido, seguido del del marido, a Berta le influían a favor de su elección hasta los efectos visual y sonoro de su nombre futuro lejano: no era lo mismo pasar a ser Berta Isla de Nevinson, que evocaba aventuras o parajes exóticos (un día tendría una tarjeta de visita que pondría eso exactamente; qué más, ya se vería), que Berta Isla de Suárez, por mencionar el apellido del compañero que le había gustado hasta la aparición de Tom en el colegio.
Rubin lui avait expliqué, lors d’un voyage qu’ils avaient effectué ensemble à l’étranger, que les femmes qui cessent de se teindre les cheveux et de surveiller leur ligne, celles qui mettent des chemises en flanelle à carreaux et de grosses chaussettes de laine, peuvent répéter mille fois qu’elles sont partisanes du « look naturel », qu’elles en ont assez de ressembler à des poupées et qu’elles luttent pour la libération de la femme de toutes les bêtises que les hommes leur ont imposées, la vérité n’en reste pas moins que ces femmes-là sont désespérées, qu’elles ont renoncé à la possibilité de plaire aux hommes et même de prétendre qu’elles espèrent trouver celui qui les désirera et les aimera.
Rubin le explicó una vez, en un viaje al extranjero, que las mujeres que dejaban de teñirse el pelo y de vigilar su figura, aquellas que se cubrían el cuerpo con camisas de franela a cuadros y medias gruesas de lana, aunque repitiesen una y mil veces que estaban a favor de «la naturalidad» y que se habían hartado de actuar como muñecas y estaban luchando por liberarse de todas aquellas tonterías dictadas por los hombres, realmente eran mujeres desesperadas, que se daban por vencidas ante la posibilidad de gustar a los hombres, lo mismo que ante la necesidad, y de mostrarse como mujeres que todavía creían en la existencia de alguien que pudiera amarlas, e incluso de fingir que tenían la esperanza de encontrar a alguien así.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test