Translation for "le croisement" to spanish
Translation examples
J’ai croisé les valets et j’ai croisé les porcs.
Me crucé con los criados y me crucé con los cerdos.
– Je l'ai à peine croisé.
—Apenas me crucé con él.
Jusqu’au croisement des tulipes.
Hasta el cruce de los tulipanes.
S’arrêta au croisement.
Se detuvo en el cruce.
J’ai croisé les bras.
Me crucé de brazos.
J’ai croisé une femme.
Me crucé con una mujer.
– J'ai croisé Onega.
—Me crucé con Onega.
Nous sommes parvenus à un croisement.
Llegamos a un cruce.
— Des croisements, monsieur ?
—¿En el cruce, monsieur?
Au croisement je m’arrêtais.
En el cruce me detenía.
Ils arrivèrent au croisement.
Entre tanto, habían llegado a una travesía.
Croiser trois transversales, tourner à droite ;
Cruzar tres travesías, girar a la derecha;
Il a été cuisinier sur les paquebots et peut-être Yersin l’a-t-il croisé sur l’une de ses traversées.
Ha sido cocinero en los paquebotes y puede que Yersin se lo haya cruzado en alguna de sus travesías.
Tout au long de la traversée, Marta demeura silencieuse, et ses yeux évitèrent soigneusement de croiser les miens.
A lo largo de toda la travesía Marta ha permanecido en silencio, evitando con cuidado que su mirada se cruzara con la mía.
Elle avait glissé des billets de nairas à toutes les coiffeuses, aux vigiles à l’extérieur, et aux policiers au croisement de la route.
Había repartido billetes de naira a todas las empleadas de la peluquería, a los guardias de seguridad en el exterior, a los policías en la travesía.
Il rapportait dans son baluchon une médaille en argent noirci de la Virgen de la Luz. Un marin de Tarifa, croisé lors de sa dernière traversée, l’avait portée autour du cou.
En el petate traía una medalla de plata ennegrecida de la Virgen de la Luz que había llevado al cuello un marinero de Tarifa con el que estuvo embarcado en su última travesía.
Rocannon compta six croisements avant d’arriver à l’extrémité de la rue : un mur. Haut de cinq mètres, il s’étendait dans les deux sens, sans solution de continuité.
Rocannon contó seis travesías antes de llegar hasta el cabo de la calle: una pared, cinco metros de altura que se extendían hacia los lados, sin discontinuidades.
Une image lui revint en mémoire, celle de Torkenbrand, le marchand d’esclaves que Murtagh et lui avaient croisé pendant leur fuite chez les Vardens ; soumis, il était agenouillé dans la poussière, et Murtagh s’avançait vers lui, le décapitait.
Una imagen se le apareció en la mente: Torkenbrand, el esclavizador con el que él y Murtagh se habían encontrado durante su travesía hacia la ciudad de los vardenos, de rodillas sobre el polvo, y Murtagh que se le acercaba con paso firme y lo decapitaba.
Les croisées accélèrent le pas.
Las cruzadas aceleran el paso.
Au passage piéton, j’ai croisé une connaissance.
En el paso de peatones me encontré con un hombre al que conocía.
Et pour atteindre la cité, il fallait croiser les lazars.
Y, para llegar a la ciudad, había que abrirse paso entre los lázaros.
— Sans vouloir vous offenser, vous avez eu l’occasion de croiser un tas de gens.
—Perdone, pero usted se ha encontrado con mucha gente de paso. —Ya no.
Omar fait un pas en arrière, croise les bras et écoute.
Omar retrocede un paso, cruza los brazos y escucha.
Chaque pas de leur progression avait été l’occasion de croiser la route de tirailleurs primuls.
A cada paso que daban habían tenido que defenderse de los ataques de los primuls.
Les croisées tressaillent : le bout du monde est désormais tout proche.
Las cruzadas se estremecen: ahora el confín del mundo está a un paso.
Je passai rapidement mon chemin, veillant à ne croiser le regard de personne.
Apreté el paso, cuidando de no mirar a nadie a la cara.
Il fit un pas vers elle, l’obligeant à croiser son regard.
Dio un paso hacia ella de tal modo que se vio obligada a mirarle a los ojos.
Ils sont nés du croisement de l’homme avec les machines.
Han nacido del cruzamiento del hombre con las máquinas.
Cinq cents ans de croisements avec d’autres peuples y ont veillé.
Quinientos años de cruzamientos con otros pueblos lo demuestran.
la fécondation véritable ne se produit que par le croisement d'une idée et d'une expérience.
en el campo de la investigación la verdadera fecundación sólo se produce con el cruzamiento de una idea y una experiencia.
Des croisements de races, le sang des ancêtres oubliés qui se renouvelle dans les générations futures.
Cruzamientos de razas, sangre de antepa­sados olvidados que revive en generaciones posteriores.
Je crains seulement d’être entraîné au-delà de ma route pendant ces croisements de courants atmosphériques.
pero temo ser arrastrado más allá de donde vamos durante estos cruzamientos de corrientes atmosféricas.
Ou plutôt : par un étrange croisement d’influences amoureuses, nos deux êtres, réciproquement, se déformaient.
O, mejor dicho, por un extraño cruzamiento de influencias amorosas, nuestros dos seres se deformaban recíprocamente.
Nous ne sommes que des nœuds, peut-être, des croisements éphémères d’énergies, de forces, de tendances diverses et contradictoires que la mort débloque.
Quizá no somos más que nudos, cruzamientos efímeros de energías, de fuerzas, de tendencias diversas y contradictorias que la muerte desbloquea.
Traverse ici. Par les cœurs de croisement et les éclisses où les locomotives crachent tels des lions dans l’obscurité du dépôt.
Cruza aquí. Junto a eclisas y carriles de cruzamiento donde unas locomotoras tosen como leones en la oscuridad del apartadero.
De nombreux oiseaux les suivaient, ainsi que toute une variété de chiens de chasse, certains tirant plutôt vers le loup ou le chacal, ou un croisement des deux ;
Les seguían numerosas aves y varias clases de perros; algunos eran poco más que lobos o chacales, o cruzamientos de ambos.
Je lui parlais de Hanovriens et de Holstein, de pur-sang anglais et de croisements expérimentaux dont j’avais entendu parler avec des poneys du Connemara.
Hablé de líneas de sangre de Hannover, Holstein e Inglaterra, y de experimentos, de los que había oído hablar, de cruzamientos con ponies de Connemara.
Près de son domicile, elle avait croisé un voisin qui vivait dans la même maison.
Cuando llegó a su pasaje se encontró con un vecino que vivía en la misma casa;
Deux ans plus tard, quand ils s’étaient croisés pour la seconde fois, sur le relais de la Lune, il l’avait étonnée en se souvenant d’elle.
Dos años más tarde, cuando compartieron pasaje para el relevo de la Luna, a Hutch le sorprendió que la recordara;
Nous divisions le monde en deux camps, les gens de Main Street, qui n’étaient que croisements et entrecroisements, et nous, les rues piétonnes et ruelles colorées du Meat Packing District.
Dividimos el mundo en dos campos. La gente de Main Street, la avenida principal de Queens, que eran calles cuadriculadas y transversales, y nosotros, las calles peatonales y los animados pasajes del barrio de moda, el Meatpacking District.
Quand elles étaient arrivées à l’aéroport, Arleigh l’avait accompagnée pour l’enregistrement à la J.A.L., avait trouvé quelqu’un pour la conduire au salon (qui était un croisement entre un bar et un très beau bureau) et lui avait donné un sac contenant une veste de roadie de la tournée Lo/Rez.
Cuando llegaron al aeropuerto, Arleigh pidió un pasaje en JAL, encontró a alguien que la acompañó hasta el salón (cafetería y a la vez elegante oficina comercial) y le entregó una bolsa con una chaqueta de Lo/Rez dentro.
Jambes croisées et pieds nus délicieusement à l’air, son gibus coquinement de côté, tout coquet et réjoui, caressant de temps à autre le reste de son furoncle, il déclama son chef-d’œuvre en grand acteur, avec des grâces de cour et des œillades à la reine, s’admirant à intervalles dans le miroir disposé à cet effet sur la table, non sans émettre de temps à autre, aux passages particulièrement réussis, de gracieux vents d’appréciation.
Con las piernas cruzadas y los pies descalzos colgando deliciosamente, la chistera traviesamente ladeada, coqueto y gozoso, acariciando de cuando en cuando los restos del forúnculo, declamó su obra de arte a lo gran actor, con gráciles visajes de cortesano y mohines de reina, admirándose a intervalos en el espejo dispuesto a tal efecto sobre la mesa, no sin soltar de cuando en cuando, en los pasajes particularmente logrados, donosos vientos de apreciación.
D’autres ne hantent le passage que par rencontre : le désœuvrement, la curiosité, le hasard… ou bien c’est un jeune homme timide qui craignait d’être vu avec elles au grand jour, ou bien c’est un roué qui a ici ses aises et qui vient examiner sa prise dans ce coin tranquille. Souvent les femmes qu’on croise viennent pour la première fois dans ces retraits commodes : elles ne sont pourtant pas des provinciales, elles s’asseyaient chaque jour aux terrasses voisines.
Las otras sólo rondan por el pasaje por casualidad: la ociosidad, la curiosidad, el azar… o bien se trata de un joven tímido que temía ser visto con ellas en plena luz del día, o bien de un granuja que encuentra aquí sus deleites y que viene a examinar a su presa en este plácido rincón. A menudo las mujeres con las que nos cruzamos están haciendo su primera incursión en estos confortables lugares de retiro; eso sí, lejos de ser unas provincianas, previamente ya se habían dejado ver cada día en las terrazas de los alrededores.
Mais peu à peu, chaque fois que je sors du métro au croisement de la 34e Rue et de la Sixième Avenue, et que je traverse en vitesse la Cinquième Avenue pour arriver ponctuellement en cours, ce séminaire auquel j’apporte mes photocopies de passages de littérature ou de correspondances espagnoles, je me rends compte que chaque étudiant porte aussi en lui son exil personnel, son histoire de fuite et de voyage vers New York, capitale de tant de déracinements, de tant de rêves d’un monde nouveau ou de vie meilleure, accomplis ou écroulés.
Pero poco a poco, cada día que salgo del metro en la calle 34 y la Sexta Avenida y cruzo aprisa hasta la Quinta para llegar puntualmente a clase, en el seminario al que llevo mis fotocopias con pasajes de literatura o de cartas españolas, me doy cuenta de que cada alumno trae consigo también su propio exilio personal, su historia de huida y viaje a Nueva York, capital de tantos destierros, de tantos sueños cumplidos o fracasados de mundos nuevos y de vidas mejores.
Jérusalem est pittoresque, certes – mais taxer un endroit de pittoresque revient à le condamner –, avec ses étroites rues en pente, son antique et robuste maçonnerie, ses étals grouillants où s’empilent pots et casseroles, poissons et pommes, gâteaux et agneaux dépiautés, avec, aussi, ses odeurs d’épices étranges et ses vieux bédouins au profil de faucon, mais un vent froid siffle dans les ruelles crasseuses, et tous les gens qu’il croise, enfants ou mendiants, marchands ou acheteurs, portiers ou ouvriers, affichent la même expression de morne désespoir ; dans leurs yeux enfoncés se lit la même ruine de l’âme qui signale non l’endurance, mais l’anticipation de la défaite et l’abandon : Les Assyriens arrivent, les Romains arrivent, les Perses arrivent, les Sarrasins arrivent, les Turcs arrivent, le pourrissement arrive, et nous serons écrasés, nous serons annihilés à tout jamais. Impossible d’échapper au XXIe siècle, même entre ces murs moyenâgeux. Sur la route qui monte vers le Golgotha, Shadrak ne cesse de se heurter au portrait standard de Mangu, jeune visage neutre sur fond jaune vif. Non que la présence du défunt ne se fit pas sentir à Nairobi, mais dans cette ville spacieuse et aérée, les affiches n’avaient pas un caractère aussi oppressant et se laissaient facilement occulter par l’éclat des bougainvillées ou des jacarandas. Ici, l’image de Mangu suinte des lourdes murailles et hurle au-dessus de passages à peine assez larges pour que trois personnes puissent y avancer de front ; on ne peut échapper à ces éclaboussures jaunes et, à les voir, on sent peser sur toute la ville la main de Gengis Mao, sa volonté maléfique qui dicte un deuil peu spontané en l’honneur du vice-roi.
Jerusalén es sin duda una ciudad pintoresca, sí —pero decir de una ciudad que es pintoresca es lo mismo que maldecirla—, con sus calles estrechas y empinadas y su antiquísima edificación maciza, sus bazares atestados de gente, colmados de cacharros y vasijas, pescados y frutas, pasteles y corderitos desollados, con sus fragancias de exóticas especies, sus ancianos de mirada penetrante adornados con distintivos beduinos. Pero un viento frío silba a través de las sucias callejuelas, y toda la gente de la ciudad, niños y mendigos, comerciantes y vendedores, mandaderos y albañiles, todos muestran una triste expresión de desesperanza, una mirada quebrantada y hueca, una mirada que no refleja resignación, sino que anticipa el desastre y la derrota: Ya se acercan los asirios, ya se acercan los romanos, ya se acercan los persas, ya se acercan los sarracenos, ya se acercan los turcos, ya se acerca la descomposición orgánica, y con ella la destrucción, y la ruina eterna. Es imposible escaparse de las garras del siglo XXI, aun bajo o la protección de estas murallas medievales. Sadrac sube la cuesta hacia el Gólgota, y en el trayecto ve por todas partes los clásicos carteles de duelo donde se refleja el rostro joven y manso de Mangú, quien también estaba presente en Nairobi, desde luego, pero en aquella ciudad espaciosa y aireada, las imágenes parecían menos imponentes, disimuladas entre el colorido de las buganvillas y los jacarandaes. Aquí, las compactas murallas de piedras que se elevan sobre pasajes estrechos donde sólo tres personas caben a lo ancho, ofrecen llamativas figuras de Mangú, manchones amarillos imposibles de eludir, y al mirarlos, se siente como si la mano maléfica dé Genghis Mao pasara sobre la ciudad, imponiéndole un dolor que no siente por la muerte del joven virrey. Genghis Mao también está presente: sus característicos rasgos curtidos brillan en las principales bocacalles, en estandartes que flamean con la brisa. Para los nativos del lugar estas imágenes extrañas son, sin duda, tan naturales como lo fueron alguna vez los carteles o estandartes de Nabucodonosor, de Tolomeo de Tito;
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