Translation for "grever" to spanish
Translation examples
Le Klan mit fin à la dernière grève qu’ils avaient déclenchée.
La última huelga se la cargó el Klan.
Je suis responsable de la grève, s/ essuyant la bouche avec la main, la regardant encore fixement en écarquillant les yeux.
Estoy a cargo de la huelga, y se secó la boca con la mano sin dejar de mirar.
Si vous voulez du bois de grève pour votre foyer, Dame Blythe, j'vous en apporterai une charge un bon jour.
Si quiere madera del mar para su fuego, un día le llevaré una carga, señora Blythe.
Les gars du piquet de grève furent surpris quand les camions s/ engagèrent sur la piste menant au quai de chargement mais cela ne dura qu/ une seconde.
Los hombres del piquete se sorprendieron cuando los camiones salieron de la avenida dirigiéndose a la plataforma de carga, pero sólo durante un segundo.
De nouveau, il chargea Blackstock sur ses épaules et entreprit de ramener le commandant de leur mission à l’endroit où l’on entendait les vagues se briser sur la grève.
Y nuevamente cargó a Blackstock sobre sus hombros y siguió transportando al jefe de la misión hacia el sonido de las olas que rompían en la playa.
Ma mère ne quittait pas la fenêtre de l’étage… J’entendais dire : grève, bagarre, charge de police… Et tout à coup, on a fait des cris, en bas.
Mi madre no se separaba de la ventana del primer piso… Yo oía hablar de huelga, motín, carga a la policía… Y, de repente, se oyeron gritos abajo.
— J’en sais fort peu de chose, sauf qu’elles sont lourdement grevées de dettes ; mais même s’il s’agissait de la moitié du comté, je ne pense pas que cela empêcherait Jack Aubrey de prendre la mer.
–Sé muy poco de esas tierras aparte de que tienen una considerable carga fiscal, pero, aunque abarcaran la mitad del condado, Jack Aubrey no dejaría de hacerse a la mar por ellas.
Elle avait commencé à remuer les hanches, son sexe le caressait comme les vagues léchant la grève, et les vagues allaient et venaient...
Había empezado a balancear las caderas, el peso de su sexo rompía contra él como olas en una playa. Las olas entraban y salían.
Moody ne s’attarda pas, mais tourna le dos et remonta rapidement la plage, passant devant les abattoirs, les latrines publiques, la rangée de cabanes brise-vent au bord de la grève, les tentes grises alourdies par quinze jours de pluie.
Moody no se entretuvo. Se dio la vuelta y se fue corriendo por la playa, dejando atrás los mataderos, las letrinas, las barracas cortavientos que salpicaban el arenoso borde de la orilla, las tiendas de campaña que se combaban bajo el ceniciento peso de dos semanas de lluvia.
Tout était ébranlé, il suffisait de pousser encore un peu, de secouer un bon coup, il suffisait que les ouvriers continuent la grève encore quelques semaines, peut-être quelques jours, et toute la société absurde allait s’écrouler sous le poids de ses propres appétits.
Todo estaba trastornado, bastaba un pequeño empujón más, asestar un buen golpe, bastaba que los obreros continuaran la huelga unas semanas, tal vez sólo unos días, y toda la sociedad absurda se iba a desmoronar bajo el peso de sus propios apetitos.
Peut-être devrais-je préciser que je me suis morphé pour prendre l'apparence de Bias - il existe un capitaine pylien ainsi nommé dans l'armée de Nestor, mais je parle de son homonyme servant Ménesthée. Cet infortuné capitaine souffre de la typhoïde en ce moment et, bien qu'il soit destiné à survivre pour s'illustrer durant le chant XIII, il quitte rarement sa tente, qu'il a dressée assez loin sur la grève. Vu son grade, badauds et hommes de troupe s'écartent devant lui, ce qui me permet d'avoir accès aux premiers rangs.
Debería mencionar que a estas alturas me he morfeado en la forma de Biante, no el capitán peleo del mismo nombre que lucha en las filas de Néstor, sino el capitán que sirve a Menesteo. Este pobre ateniense está enfermo de tifus y, aunque sobrevivirá para combatir en el Canto Decimotercero, rara vez sale de su tienda, que está lejos, costa abajo. Por su grado de capitán, Bíante tiene peso suficiente para que los lanceros y curiosos le dejen paso, permitiéndome acceder al círculo central.
La police montée recrutait les plus agiles et les plus athlétiques des agents, et pour un jeune enfant, il était fascinant d’en voir passer un dans la rue, majestueux et nonchalant, s’arrêter pour rédiger un procès-verbal et se pencher très bas sur sa selle pour le glisser sous l’essuie-glace de la voiture mal garée, expression physique s’il en fut jamais d’une superbe condescendance envers l’ère de la machine. Au fameux carrefour des Quatre Coins, il y avait des gardes en faction aux points cardinaux, et le samedi, on emmenait souvent les gamins voir les chevaux, caresser leur museau sans nez, leur donner des morceaux de sucre, apprendre que chaque policier à cheval en valait quatre à pied, et poser bien sûr les questions classiques : « Comment il s’appelle ? » « C’est un vrai ? » « En quoi il est, son sabot ? » Parfois, on voyait un cheval attaché le long d’une rue animée du centre-ville, tranquille comme baptiste sous la selle bleu et blanc ornée de l’insigne NP, un hongre d’un mètre quatre-vingts au garrot pesant une demi-tonne, une longue cravache menaçante accrochée à son flanc, l’air aussi blasé qu’une vedette de cinéma dans toute sa splendeur, tandis que le policier qui venait de mettre pied à terre demeurait à proximité dans ses jodhpurs indigo, ses bottes cavalières noires, son holster de cuir pornographique dont la forme évoquait à s’y méprendre celle des organes mâles tumescents, indifférent au danger dans le tintamarre des klaxons des voitures, des camions et des bus, régulant d’un enchaînement de gestes vifs la circulation de la ville pour lui rendre toute sa fluidité. C’étaient des flics aux mille talents ; ils savaient même, pour le plus grand chagrin de mon père, fendre une foule de manifestants au galop en envoyant voltiger les piquets de grève. Voir si près de moi ces héros pleins de panache m’aida à calmer mes nerfs et à me blinder contre la catastrophe à venir.
Pasaron varios días antes de que remitiera la emoción y dejara de sentirme conmovido por el acto de heroísmo que había presenciado. Reclutaban a los agentes más flexibles y atléticos para adiestrarlos como policías montados, y un niño pequeño podía quedar hipnotizado ante la mera contemplación de uno de aquellos hombres que se hubiera detenido majestuosamente con su caballo a un lado de la calle para extender una multa de aparcamiento, y después se inclinara mucho desde su montura a fin de colocar la multa bajo el parabrisas, un gesto físico, como jamás existió otro, de magnífica condescendencia a la era de las máquinas. En las famosas Cuatro Esquinas de la ciudad había puestos de patrullas montadas, cada uno mirando a un punto cardinal diferente, y un sábado llevaron a los niños a aquel lugar del centro para ver a los caballos de servicio, acariciarles los hocicos, darles terrones de azúcar y aprender que cada policía a caballo valía por cuatro hombres a pie y, naturalmente, poder hacer las preguntas habituales a los policías montados: «¿Cómo se llama?», «¿El caballo es de verdad?», y «¿De qué están hechos los cascos?». A veces podía verse un caballo atado en un lateral de una concurrida calle del centro, impertérrito y tranquilo a más no poder bajo la sudadera marcada con las letras NP, un caballo castrado de casi dos metros de altura y media tonelada de peso, con una amenazante y larga porra fijada al flanco y una expresión tan displicente como la del más guapo actor de cine, mientras el policía que acababa de desmontar estaba cerca, con sus pantalones de montar azul oscuro y botas negras de caña alta, la pornográfica pistolera de cuero con la forma perfecta de los genitales masculinos en estado de erección, indiferente a sufrir posibles daños en medio del pandemónium de ruidosos coches, camiones y autobuses y haciendo elegantes señales con los brazos para recuperar un suave flujo de tráfico en la ciudad. Aquellos policías tenían talento para todo, incluso para hacer algo que disgustaba a mi padre, galopar hacia una multitud de huelguistas y hacer que los miembros de los piquetes salieran huyendo, y el hecho de que estuvieran tan cerca y con un aspecto tan magníficamente heroico me ayudaba a apuntalar mis nervios para la calamidad inminente.
Je suis devenue bête traderidera Je voudrais tant savoir de ton vrai toi Sol parce que je sais que tu as un grand respect déchiré sans espoir mais je ne sais pas C’est littéraire ce que je dis Au fond tu es naïf Vous êtes mon seigneur je le proclame Lui c’est le diable il sait tout il peut tout il méprise tout il ne m’aime pas il n’aimera personne et demain avec le même sourire il me quittera pour toujours Toi aimé à quoi penses-tu Ta petite est là qui attend que tu parles que tu te réveilles aimé grand ne compliquons pas Je sais que tu m’aimes Ne ferme pas tes beaux yeux va et ne t’étire pas va Je t’aimerai sans ces belles attitudes poseur va théâtral hypocrite bandigou-javoyou lèse-majesté tant pis un peu de liberté Toi quand tu partiras sur le cheval blanc de tes rêves emporteras-tu ta petite avec toi ou la laisseras-tu sur la grève avec du sable entre les doigts Littéraire mais c’est pour te plaire même si tu ne m’entends pas Toi enfant chéri tu es si drôle quand tu parles des destinées du parti tu es pire que socialiste mais tu es si enfant avec tes grands airs sombres tu crois peut-être ce que tu dis ça m’est égal regarde-moi Pas toi Jacques petit chien allons couché kss mais Lui l’aimé qui t’a écrasé pauvre petit menuet gazouillonsoso Toi le merveilleux Sol vois comme je suis très belle méprise-moi au moins un peu de me pencher pour que tu voies mes seins si beaux Ta bouche sur eux longlongtemps que ma peau se pique Ah que je lui arrache ses cheveux et qu’il crie cet homme pauvre Adrienne écrasée locomotive Moi aussi je suis jalouse de toi où vas-tu que fais-tu pourquoi pas toujours avec moi que m’importent tes succès je te veux rien qu’à moi Toi tant de femmes sûrement tes yeux cernés tu es mauvais sale bonhomme peut-être même cette sale actrice de père sûrement n’as-tu pas honte Oh un enfant j’ai droit à un enfant Moi j’ai épousé un dieu et je suis peu rassurée tu es le fils de Dieu qu’est-ce que ça fait que je le dise puisque personne n’entend et il est si diaboliquement intellijuif qu’il sourit l’arrière-sourire devine ce que je pense quoi après tout en réalité il dirige un journal et c’est un député socialiste père a été furieux de ça mais maintenant il file doux car c’est une puissance mon mari Mon mari des parfums pour te troubler il a toujours peur qu’on l’offense oui mais il attend la métamorphose joli mot fleur qui s’ouvre être Jeanne d’Arc j’aimerais assez ou impératrice avec un autre amant tous les soirs pardon pardon Aimé ce n’est pas vrai je ne pense qu’à toi qu’à nous deux Comme il a su faire cet homme S’il me regarde long chaud lourd dans les yeux un moment je m’ouvre au centre exfolié J’ai du talent ta langue Et c’est déjà comme si possédée Ooh bon c’est bon si bon au fond toi Sol tu es terriblement chaste pas toujours dieumercynisme et alors c’est terrible et j’attends plus ouverte que la mer et j’étais Aude tennis fierté cétacé eh bien quoi Sol tu ne bouges pas tu es de marbre ou endormi Oui il y a des choses que je ne sais pas Les maris expliquent à leurs femmes celui-là n’explique jamais rien du tout pontife va Moi je ne sais rien je ne sais pas même vraiment comment c’est puisque c’est toujours dans l’obscurité Je voudrais savoir aussi les vices et les voluptés effrayantes Sol j’achèterai des livres de médecine gever Je te préviens je n’ai pas peur de toi ancien secrétaire et je saurai tout et raconterai à Ruth C’est par les yeux seulement que je ne sais pas Je veux mourir toujours sous lui éternellement noir Les hommes me dégoûtaient avant comme les chiens Oh il a su faire celui-là Pardonne aimé je te respecte La nuit pendant que moi sous lui quatre cinq fois je je n’ose pas dire ce mot j’ai lu dans un livre qu’on dit jouir mais quand il expire je ne sais plus folle de joie fierté je le regarde et c’est moi qui lui donne cette joie Il me désire veut mes lèvres ma langue peut-être en ce moment et je ne sais pas mais d’ailleurs c’est bon aussi que je veuille et qu’il ne sache pas que je veux Ô pureté d’antan ô bonds dans le jardin ô regards clairs et gestes je penserais moins à ça si j’étais sûre que tu m’aimes mais il se désennuie avec moi en attendant la métamorphose brave Jacques gentil plus attaché militaire qu’est-ce que tu fiches au Maroc contente qu’il ait un peu de succès avec sa peinture mais je n’aime pas ce qu’il fait pauvre Jacques ça manque de tu vois je sais des mots que j’ai appris dans le dico dictionnaire mesper mais le plus important Sol c’est tes yeux de bonté et je serai pure pure pour toi et toujours loyale fidèle Toi mon seigneur de tout oh tout le corpslâme Je pense terriblement à ça même s’il me parle de sa Chambre Députés ou Spinoza c’est à ça qu’il me fait penser Affreux fille perdue et toutes les femmes sont comme moi Touche prends tout fort Lourd sur moi Méchant puissant autoritaire on ne peut résister il ordonne phallix phœnus Entre bien préparée pour toi depuis toujours ta nuptiale Sol est mon amant amé mari Terrible chaleur les yeux poitrine soif boire esclave battue et le sang jaillit tant mieux mais du sang blanc Pourquoi presque jamais Alors quand il consent grand événement mystique pour pauvre moi aride espérant desséchée tour dans le désert Je voudrais tous les soirs toutes les heures et encore et encore jusqu’à la mort et dans le ciel je veux bien s’il y a encore sinon non Oh coulées de lave partout Soupir impatient chaud et chaude Ahaa l’engloutir tout à moi à moi Mordre le cou Les jambes si relevées pressent la taille Quel abîme Eh bien ils le font tous quel mal y a-t-il Moi je le pense et je ne fais pas Pauvre Aude Ahaa si relevées qu’elles s’appuient largement Maintenant rêche langue et tout manger affreux puis tout garder Quel appel Oh bénis-moi Sa peau velours mais aussi grand poids Je voudrais moi aussi une fois comme lui pour voir s’ils sont privilégiés Eh nous avons bien derrière notre tête un petit sourire un peu méprisant pour l’ennemi même si adoré Comme un serpent au fond Quand le grandissement commence terrible Mais tout de même le plus beau c’est sa poitrine et plus encore ses yeux qui rient et pardonnent Ô le plus aimé je m’accroche au salut des yeux Votre seigneurie veut-elle jouir de sa petite esclave Aude Moi d’abord joie vivre il est temps et happer par mille bouches le jeune dieu cuisses de cèdre étendu parmi les hautes herbes mais une herbe plus haute qui regarde Moi du cœur un grand fleuve jusque-là et là tourbillonne agite les rives qui se tendent vers la terreur Je littéraire peut-être ah non trop désir Et il ne me regarde pas exprès Peignoir entrouvert Maudit mais regarde donc qui a ces cuisses plus belles que moi Toute ma peau est maladésir Honte Eh bien oui je suis cynique ce soir Après tout j’ai bien le droit Oui tu ne me prends pas assez souvent Mais enfin pourquoi pas tous les soirs Il est vrai que quand tu prends c’est terrible Quelle affreuse femme je suis devenue Pourtant je sais que je suis pure Mais tu me rends folle avec tes gestes tes silences tes immobilités distractions Mon Dieu si je pèche c’est d’amour pardonnez à votre servante Aude oh Sol viens viens Viens frappe plus rapide encore puis impersonnel et nécessaire éternellement Beau lait pleines Aha-haha Tes yeux Mort dans la forêt Aiméaiméaimé oh oh Et il n’a pas su Fatiguée oh trétiguée Si bon Les yeux restent de beauté Eh bien Sol c’est fini ce silence je commence à en avoir assez je n’aime pas ces grands airs mystérieux on le sait que tu es élégant grand seigneur Amoureuse de mon mari mon mari Je voudrais dans ma bouche Je t’avertis que c’est moi qui commande désormais.
Me he vuelto tonta tralaralará Me gustaría tanto conocer tu auténtico yo Sol porque sé que sientes un gran respeto desgarrado sin esperanza pero no sé Resulta literario lo que estoy diciendo En el fondo eres ingenuo Sois mi señor lo proclamo Él es el demonio lo sabe todo lo puede todo lo desprecia todo y no me quiere nunca querrá a nadie y mañana con la misma sonrisa me abandonará para siempre Tú amado en qué piensas Está aquí tu niña esperando que hables que te despiertes amadísimo basta de complicaciones Sé que me quieres No cierres tus hermosos ojos anda y no te estires anda Te amaré sin tanta posturita venga fachendoso teatral hipócrita bandidobribongolfo lesa majestad qué se le va a hacer un poco de libertad Tú cuando desaparezcas montado en el caballo blanco de tus sueños te llevarás a tu niña contigo o la dejarás abandonada en la playa con arena entre los dedos Literario pero es para agradarte aunque no me oigas Tú niño querido eres tan gracioso cuando hablas de los destinos del partido eres peor que socialista pero resultas tan niño con esos aires tétricos puede que creas en lo que dices tanto me da mírame Tú no Jacques perrito vamos échate kss sino El el amado que te ha aplastado pobre minuetillo picobobo Tú el maravilloso Sol contempla qué guapa soy despréciame al menos un poco por inclinarme para que me veas los pechos tan hermosos Tu boca en ellos mucho mucho tiempo que se me irrite la piel Ah le arrancaré el pelo y que grite este hombre pobre Adrienne aplastada locomotora Yo también tengo celos de ti adónde vas qué haces cómo no estás siempre conmigo qué me importan tus éxitos te quiero sólo mío Tú tantas mujeres seguramente esas ojeras eres malo asqueroso tipejo hasta puede que con esa asquerosa actriz de padre seguro cómo no te da vergüenza Oh un hijo tengo derecho a obtener un hijo Yo me he casado con un dios y no estoy nada tranquila eres el hijo de Dios qué más da que lo diga si no me oye nadie y es tan diabólicamente intelijudío que sonríe sonrisa solapada en plan adivina lo que pienso bueno al fin y al cabo en realidad dirige un periódico y es diputado socialista lo furioso que se puso mi padre pero ahora ni chistar porque es muy poderoso mi marido Mi marido perfumes para turbarte siempre tiene miedo de que le ofendan sí pero espera la metamorfosis bonita palabra flor que se abre ser Juana de Arco me gustaría bastante o emperatriz con otro amante todas las noches perdón perdón Amado no es cierto sólo pienso en ti en nosotros dos Cómo ha sabido envolverme este hombre Si me mira fijo cálido profundo a los ojos un momento me abro en el centro exfoliado Tengo talento tu lengua Y ya como si me poseyeras Ooh bueno es bueno tan bueno en el fondo tú Sol eres tremendamente casto no siempre adiosgracinismo y entonces es tremendo y aguardo más abierta que el mar y antes era Aude tenis altivez y basta pero bueno Sol no te mueves estás marmóreo o dormido Sí hay cosas que no sé Los maridos se las explican a sus mujeres éste nunca explica nada estás hecho un pontífice Yo no sé nada ni siquiera sé realmente cómo es porque siempre ocurre a oscuras Me gustaría conocer también los vicios y los placeres horripilantes Sol compraré libros de medicina gaver Te advierto que no te tengo el menor miedo exsecretario y me enteraré de todo y se lo contaré a Ruth Únicamente por la vista no sé Quiero morir siempre debajo de él eternamente negro Los hombres me asqueaban antes como los perros Oh ése ha sabido envolverme Perdona amado te respeto Por la noche cuando estoy debajo de él cuatro cinco veces no no me atrevo a decir esa palabra leí en un libro que se dice gozar pero cuando él expira ya no sé loca de alegría orgullo lo miro y yo le he dado ese placer me desea quiere mis labios mi lengua quizá en ese momento y no sé pero además es bueno también que yo quiera y que él no sepa que quiero Oh pureza de antaño oh brincos en el jardín oh miradas claras y gestos pensaría menos en eso si estuviese segura de que me quieres pero se entretiene conmigo en espera de la metamorfosis el bueno y simpático de Jacques que ya no es agregado militar qué se te ha perdido por Marruecos contenta de que coseche éxitos con su pintura pero no me gusta lo que hace pobre Jacques es que le falta ves sé palabras que he aprendido en el diccionario permaes pero lo más importante Sol son tus ojos de bondad y seré pura pura para ti y siempre leal fiel Tú mi señor de todo oh todo el cuerpoalma Pienso tremendamente en eso aunque me hable de su Cámara Diputados o de Spinoza en eso me hace pensar siempre Espantoso muchacha perdida y todas las mujeres son como yo Toca tómame con fuerza Aplástame bien Malvado poderoso autoritario no se puede resistir él ordena phallix phoenus Entra bien preparada para ti desde siempre tu nupcial Sol es mi amante amado marido Terrible calor los ojos pecho sed beber esclava golpeada y brota la sangre tanto mejor pero sangre blanca Por qué casi nunca Entonces cuando consiente gran acontecimiento místico para pobre de mí árida esperando seca torre en el desierto Me gustaría todas las noches a todas horas y más y más hasta la muerte y en el cielo pues también si hay aún si no no Oh chorros de lava por todas partes Suspiro impaciente cálido y cálida Ahaa absorberlo todo mío mío Morder el cuello Las piernas tan levantadas oprimen la cintura Qué abismo Bueno pues lo hacen todos qué mal hay en ello Yo lo pienso y no hago nada Pobre Aude Ahaa tan levantadas que se apoyan ampliamente Ahora áspera lengua y comerlo todo horrendo y quedárselo todo Qué llamada Oh bendíceme Su piel terciopelo pero también gran peso Me gustaría también una vez igual que él a ver si son privilegiados Bueno en el fondo ocultamos en lo más hondo una sonrisilla un tanto despreciativa para el enemigo aun tan adorado Como una serpiente en el fondo Cuando empieza a crecer tremendo Pero aun así lo más bonito es su pecho y más aún sus ojos que ríen y perdonan Oh el más amado me aferro a la salvación de tus ojos Quiere Vuestra Señoría gozar de su pequeña esclava Aude Yo primero alegría vivir ya es hora y apresar con mil bocas al joven dios muslos de cedro tumbado entre las altas hierbas pero una hierba más alta que mira Yo desde el corazón un gran río hasta ahí y ahí remolinea agita las orillas que se estiran hacia el terror Yo literaria quizá ah no demasiado deseo Y no me mira adrede Batín entreabierto Maldito pero mira de una vez a quien tiene esos muslos más hermosos que yo Toda mi piel enferma de deseo Vergüenza Pues sí estoy cínica esta noche Al fin y al cabo estoy en mi derecho Sí no me tomas con bastante frecuencia Pero bueno por qué no todas las noches Cierto es que cuando tomas es tremendo En qué horrenda mujer me he convertido Y eso que sé que soy pura Pero me enloqueces con tus gestos tus silencios tus inmovilidades distracciones Dios mío si peco es de amor perdonad a vuestra esclava Aude oh Sol ven ven Ven golpéame más rápido aún y luego impersonal y necesario eternamente Hermosa leche intensos Ahahaha Tus ojos Muerte en el bosque Amadoamadoamado oh oh Y no ha sabido Fatigada oh mitigada Tan bueno Los ojos siguen maravillosos Bueno Sol se acabó ese silencio empiezo a hartarme no me gustan esos grandes aires misteriosos ya sabemos que eres elegante gran señor Enamorada de mi marido mi marido Me gustaría en mi boca Te advierto que a partir de ahora mando yo».
Et certainement pas endosser la responsabilité du déclenchement d/ une grève.
Lo que estaba claro era que no quería cargar con la responsabilidad de provocar una huelga. Mr.
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