gouvernement du roi - Spanish translation

Le gouvernement du roi n’a pas d’autre adversaire grand comme lui !

¡El gobierno del rey no tiene ningún otro adversario tan grande como él!

« Mais si nous employons la force, l’Irlande risque de se soulever, analysait Wellington. Il faut soutenir le gouvernement du roi. » Pour son esprit pragmatique de soldat, c’était une question de sens du devoir.

–Pero si forzamos la situación es posible que los irlandeses se alcen -observó Wellington con amargura-. El gobierno del Rey debe continuar. En opinión de este pragmático soldado, era una cuestión de deber.

Dans le grand cloaque madrilène, ainsi que Suárez appelait à l’époque le petit Madrid du pouvoir, ces solutions – ces coups de bistouri ou de gouvernail, ces changements de cap – n’étaient un secret pour personne, et rares étaient les jours où la presse ne s’en faisait pas l’écho, et ce, presque toujours pour les encourager : un jour on parlait d’un gouvernement de gestion présidé par Alfonso Osorio – député de droite et vice-président du premier gouvernement de Suárez – et le lendemain on parlait d’un gouvernement de concentration présidé par José María de Areilza – également député de droite et ministre des Affaires étrangères du premier gouvernement du roi ;

En la gran cloaca madrileña, que es como Suárez llamaba por aquella época al pequeño Madrid del poder, esas soluciones —esos golpes de bisturí o de timón, esos cambios de rumbo— no eran un secreto para nadie, y raro era el día en que la prensa no se hacía eco de alguna de ellas, casi siempre para alentarla: un día se hablaba de un gobierno de gestión presidido por Alfonso Osorio —diputado de la derecha y vicepresidente del primer gobierno de Suárez— y al día siguiente se hablaba de un gobierno de concentración presidido por José María de Areilza —también diputado de la derecha y ministro de Asuntos Exteriores del primer gobierno del Rey—;

Dans le grand cloaque madrilène, ainsi que Suárez appelait à l’époque le petit Madrid du pouvoir, ces solutions – ces coups de bistouri ou de gouvernail, ces changements de cap – n’étaient un secret pour personne, et rares étaient les jours où la presse ne s’en faisait pas l’écho, et ce, presque toujours pour les encourager : un jour on parlait d’un gouvernement de gestion présidé par Alfonso Osorio – député de droite et vice-président du premier gouvernement de Suárez – et le lendemain on parlait d’un gouvernement de concentration présidé par José María de Areilza – également député de droite et ministre des Affaires étrangères du premier gouvernement du roi ;

En la gran cloaca madrileña, que es como Suárez llamaba por aquella época al pequeño Madrid del poder, esas soluciones —esos golpes de bisturí o de timón, esos cambios de rumbo— no eran un secreto para nadie, y raro era el día en que la prensa no se hacía eco de alguna de ellas, casi siempre para alentarla: un día se hablaba de un gobierno de gestión presidido por Alfonso Osorio —diputado de la derecha y vicepresidente del primer gobierno de Suárez— y al día siguiente se hablaba de un gobierno de concentración presidido por José María de Areilza —también diputado de la derecha y ministro de Asuntos Exteriores del primer gobierno del Rey—;