Similar context phrases
Translation examples
— Foc et trinquette.
—¡Foque y trinquetilla!
— Une voile et un foc.
—Una vela y un foque.
Et les focs étaient largués.
Luego, largaron los foques.
Nous hissâmes le foc.
Pusimos el botalón de foque.
– Hisse le foc et la misaine !
—¡Izad el foque y la de trinquete!
Les focs claquèrent quelques instants.
Los foques restallaron unos instantes.
– Toi, Oofty, à la drisse du grand foc !
—¡No te muevas y largarás el foque, Oofty!
– Bas le foc, et pousse à la gaffe !
—¡Abajo los foques! ¡Impulsadla con la pértiga!
— Bordez cette écoute de foc ! aboya Enders.
—¡Tensad ese foque! —gritó Enders—.
Amène les focs et veille à atterrir par bâbord.
Amaina los foques e intenta atracar por babor.
Après le départ d’Irina, j’ai appuyé dessus et, depuis cette nuit-là, j’ai toujours dormi entre le lit et le plafond, me retournant parfois d’un côté ou de l’autre, comme un nageur dans une eau paresseuse et miroitante. Quand j’étais enfant et que nous rendions visite à ma tante, dans le quartier Dudeşti-Cioplea, ce qui était alors une aventure, parce que cela arrivait rarement et que l’on se levait tôt, parce que les matins d’été me surprenaient par leur fraîcheur, surtout que maman m’enfilait simplement un petit maillot dans lequel j’allais rester toute la journée, parce que nous traversions la ville, effectuant un trajet long et sinueux en changeant trois fois de tramway et en passant par des lieux portant des noms magiques, Obor, Foişorul de Foc, l’Institut d’endocrinologie, dont le nom étrange m’évoquait toujours les crinoles des jardins, la première chose que je faisais quand nous arrivions et que ma tante nous ouvrait la porte avec des gestes larges de plaisir exagéré, c’était d’explorer les recoins de sa maison de couturière, d’ouvrir les petits tiroirs de la machine à coudre à pédale et de m’occuper avec les merveilles de la vitrine du buffet, les poissons en verre, la boîte de rummy, les amoureux et les ivrognes en porcelaine, hôtes habituels des salles à manger des périphéries.
Desde aquella misma noche, en la que pulsé el botón en cuanto se marchó Irina, he dormido siempre entre la cama y el techo, dando vueltas de un lado a otro como un nadador en un agua perezosa y brillante. Cuando era niño íbamos de vez en cuando de visita a casa de mi tía, a Dudeşti-Cioplea. En aquella época lo consideraba toda una aventura, porque era algo excepcional y nos levantábamos muy temprano y aquellas mañanas de verano eran sorprendentemente frías, sobre todo porque mi madre me ponía tan solo una camisetita con la que tendría que pasar todo el día, aunque el viaje por la ciudad —cambiando tres veces de tranvía y pasando por lugares con nombres mágicos: Obor, Foişor de Foc, Instituto de Endocrinología, algo que me recordaba siempre a los lirios escondidos en su curioso nombre[8]— era largo y complicado. Lo primero que hacía en cuanto llegábamos y mi tía nos abría la puerta haciendo gestos exagerados con los brazos era explorar los escondrijos de su casa de modista, abrir los cajoncitos de la máquina de coser con pedal y enredar con las maravillas del aparador: peces de cristal, la caja del dominó, parejas de enamorados y borrachos de porcelana… los moradores habituales de los comedores de la periferia.
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