Translation for "déshabillent" to spanish
Translation examples
Ils achètent une prostituée qu’ils déshabillent complètement, puis ils se contentent de la regarder. D’autres qui la font se déshabiller, et concluent eux-mêmes leur petite affaire en sa présence.
Alquilan los servicios de una prostituta, hacen que se desnude y se limitan a mirarla fijamente. También los hay que, una vez desnuda, se masturban delante.
Au second quart, de quatre à huit heures, les matelots montent sur le pont, se déshabillent et se lancent mutuellement des seaux d’eau.
De seis a ocho de la mañana, los marineros subían a cubierta desnudos y se rociaban unos a otros con cubos de agua.
Il regarda la femme ouvrir une porte et disparaître, probablement dans le vestiaire des femmes. Elles sont toutes là, se dit-il, tout excité. Elles se déshabillent, se douchent, se frictionnent avec des serviettes. Ça le faisait transpirer, d’être si près d’elles.
El hombre observó que la mujer empujaba una puerta y desaparecía. Seguramente aquel era el vestuario de las mujeres. Allí estarían todas, pensó el individuo, excitado, desnudas, duchándose, frotándose con la toalla.
ils se déshabillent en hâte, les uns les regardent, les autres les imitent et quand Vincent et Julie voient autour d’eux une superbe copulation collective en plein déploiement, avec un sens raffiné de la mise en scène ils se lèvent, regardent encore quelques secondes les couples qui s’ébattent, puis, tels des démiurges qui s’éloignent après avoir créé le monde, ils s’en vont.
la gente se desnuda a toda prisa, unos les miran, otros les imitan y cuando Vincent y Julie ven a su alrededor una soberbia copulación colectiva en plena evolución, con refinado sentido de la puesta en escena se levantan, miran unos segundos más los embates de las parejas y, cual demiurgos que se alejan tras haber creado el mundo, se van.
La Mitteleuropa est rivée à la terre, elle est alpenstock et habits de gros drap vert, ordre pointilleux des trésoreries et des chancelleries : civilisation de gens qui ont cessé d’être des familiers de l’élément liquide, de l’amnios maternel et des anciennes eaux des origines, et qui ne se déshabillent pas facilement, parce que sans veston, sans contour, sans grade, sans uniforme et sans numéro matricule on se sent sans défense, mal à l’aise.
La Mitteleuropa es terrícola, alpenstock y ropas de pesada tela verde, meticuloso orden de erarios y cancillerías: civilización de quien ha perdido la familiaridad con el elemento líquido, con el amnios materno y con las antiguas aguas originarias, y no se desnuda fácilmente, porque sin chaqueta, frontera, grado, distintivo y número de registro se siente expuesto e incómodo.
Ce qui suivit je l’ignore, je vois la femme toujours nue, ses mains arrachant les lambeaux de vêtements, déboutonnant un pantalon et le tirant jusqu’aux chevilles, je vois ses yeux dans les miens, une seule paire d’yeux dédoublés, quatre mains qui arrachent, déchirent, déshabillent, gilet, chemise, slip, et maintenant que je dois me le rappeler, que je dois l’écrire, ma maudite profession et mon infaillible mémoire m’apportent une chose différente, également vécue de manière indicible mais non vue, le passage d’une nouvelle de Jack London dans laquelle un trappeur du Grand Nord lutte pour une mort propre tandis qu’à ses côtés, réduit à une masse sanguinolente qui conserve encore un semblant de conscience, son compagnon d’aventures crie et se tord sous les tortures des femmes de la tribu qui font de lui un atroce prolongement de vie parmi les spasmes et les hurlements, le tuant sans le tuer, exquisément raffinées dans chacune de leurs nouvelles variantes qui jamais ne furent décrites mais sont cependant là, sont là comme nous étions là, jamais décrites nous non plus mais faisant ce qu’il nous fallait faire, ce que nous devions faire.
Lo que sigue no lo sé, veo a la mujer siempre desnuda, sus manos arrancando pedazos de ropa, desabotonando un pantalón y bajándolo hasta arrugarlo contra los pies, veo sus ojos en los míos, un solo par de ojos desdoblados y cuatro manos arrancando y rompiendo y desnudando, chaleco y camisa y slip, ahora que tengo que recordarlo y que tengo que escribirlo mi maldita condición y mi dura memoria me traen otra cosa indeciblemente vivida pero no vista, un pasaje de un cuento de Jack London en el que un trampero del norte lucha por ganar una muerte limpia mientras a su lado, vuelto una cosa sanguinolenta que todavía guarda un resto de conciencia, su camarada de aventuras aúlla y se retuerce torturado por las mujeres de la tribu que hacen de él una horrorosa prolongación de vida entre espasmos y alaridos, matándolo sin matarlo, exquisitamente refinadas en cada nueva variante jamás descrita pero ahí, como nosotras ahí jamás descritas y haciendo lo que debíamos, lo que teníamos que hacer.
Tu jettes le petit animal en plastique dans le brasero, il crame, tu le regardes brûler de tes yeux courroucés qui attendent qu’il se consume dans une vague de fumée fétide, il fond en pétillant sur les braises, la fumée du plastique pique les yeux, quelle odeur dégoûtante, ça doit être le soufre, quelle fumée épaisse, tandis que les vieilles te déshabillent dans le nuage de fumée, te dépouillent de ta bonne robe de laine au profit de María, il va falloir que je prenne un peu sur l’emmanchure, je t’ai vue dans la fumée, Inés, ton corps nu et grelottant, oui, je l’ai vu, tu ne pourras pas me refuser ça, que maintenant oui j’ai vu ton corps et je le connais, maintenant que les vieilles t’ont déshabillée en riant de ton échec et que, courbée sous la défaite, tu es sortie la tête basse, avec, sur le seuil de la porte dégageant une fumée puante, les trois vieilles qui te disaient de faire attention aux courants d’air, voyez un peu comme le vent emporte la fumée de la chienne jaune, dormez bien, misiá Inés. — Plût à Dieu. — Bonne nuit. — Bonne nuit. 23
Tiras el animalito de plástico al brasero, se chamusca, lo miras arder con tus ojos iracundos que esperan que se consuma en la oleada de humo fétido, se disuelve chirriando sobre las brasas, los ojos pican con el humo del plástico, qué olor más asqueroso, a azufre será, qué humo más tupido, mientras las viejas te desnudan en la humareda despojándote de tu buen vestido de lana negra para la María, voy a tener que tomarle un poco de la sisa, te vi en el humo, Inés, tu cuerpo desnudo tiritando, sí, lo vi, lo vi, no podrás negarme que ahora sí que vi tu cuerpo y lo conozco ahora que riéndose de tu fracaso las viejas te desnudaron y encorvada por tu derrota saliste con la cabeza gacha, mientras desde la puerta que despedía humo fétido las tres viejas te decían que tuvieras cuidado con las corrientes de aire, mire cómo el viento se lleva el humo de la perra amarilla, que duerma bien, misiá Inés. —Ojalá. —Buenas noches. —Buenas noches. 23
Anna et Andréa se déshabillent à gestes rapides.
Anna y Andrea comienzan a desnudarse rápidamente.
Les femmes qu’il fréquente ont d’habitude plus de pudeur quand elles s’habillent ou se déshabillent.
Él está acostumbrado a mujeres bastante más cohibidas en su manera de vestirse y desnudarse.
Les clercs ne se déshabillent pas, monsieur de Zoet.
Los funcionarios no tienen que desvestirse, señor de Zoet;
« Je peux voir comment leurs ailes sortent, lorsqu’ils se déshabillent : facile, les vêtements glissent sur les plumes.
Tengo claro cómo sacan las alas al desvestirse, ésa es la parte fácil: la tela se desliza sobre las plumas en la dirección correcta.
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