Translation for "dégouttement" to spanish
Dégouttement
Translation examples
Il dégoutte jusqu’au sol
gotea hasta el suelo
Il ne peut pleuvoir sur moi sans qu’il dégoutte sur vous. »
No puede llover sobre mí sin que gotee sobre usted.
Un ruisseau de sang dégoutte de leurs mentons.
Un hilo de sangre les gotea de la barbilla.
Et puis je déteste que l’eau me dégoutte dans le cou !
Además, odio que la ropa me gotee encima de la cabeza.
— Quoi ? — Des cheveux… Ça ne te dégoûte pas… Tu as du sang plein ta chemise…
—¿Qué? —En el pelo, ya no gotea. Tienes la camisa llena de sangre.
s’assoit, jambes croisées, sous le robinet du jardin qui dégoutte.
y se sienta, con las piernas cruzadas, bajo el grifo del jardín que gotea.
La vapeur monte en strates dans l’air et l’eau dégoutte du plafond de la cuisine.
El vapor llena la habitación y el techo de la cocina gotea agua.
Le seul bruit que l’on entend est le moteur de la voiture qui dégoutte de quelque chose, huile, antigel, essence.
Lo único que se oye es el motor, del que gotea algo, el aceite, el anticongelante, la gasolina.
L’eau qui dégoutte maintenant entre ses doigts fermés a la transparence de l’eau, c’est tout.
El agua que gotea ahora entre los apretados dedos de Clay tiene el color que le corresponde, nada más.
Des poutres du toit qui vous abrite dégoutte du sang de jeunes enfants et d’hommes valides.
De las vigas del techo que la cobija a usted gotea sangre de niños y de hombres válidos.
Jocundra entendait le punch dégoutter sur le tapis.
Jocundra pudo oír el ponche gotear sobre la moqueta.
Il s’arrêta une minute, mit les avirons à plat et les laissa dégoutter.
Se detuvo un minuto, colocó los remos en horizontal y los dejó gotear.
Sans le sentir, sans en avoir conscience, jusqu’au moment où il vit le sang lui dégoutter sur la main.
No lo notó, no se dio cuenta hasta que vio gotear la sangre sobre su mano.
L'huile commencait a degoutter sur le drap de bain, ses mollets devaient etre completement imbibes.
El aceite empezaba a gotear en la toalla, debía de tener las pantorrillas completamente empapadas.
La neige tourna à la pluie alors qu’ils descendaient des hautes terres et le lugubre dégouttement du ciel semblait s’accorder à leur humeur.
La nieve se convirtió en lluvia al dejar atrás las montañas y el lúgubre gotear del cielo pareció acompasarse a su estado de ánimo.
Le jeune homme lui couvrit la bouche avec la main qui tenait le couteau, faisant dégoutter du sang sur son chemisier. — Chut, fit-il.
El chico le tapó la boca con la mano que empuñaba el cuchillo, haciendo que le goteara sangre sobre la blusa. —Shhh —dijo.
Le devant de sa robe de chambre n’était pas encore taché, mais du sang commençait à dégoutter par en dessous sur ses brodequins à lacets.
La pechera de la bata aún seguía inmaculada, pero la sangre empezaba a gotear del dobladillo, repiqueteando sobre los zapatos de hombre de Ramona Norville.
Déjà le front froid qui avait apporté la neige prématurée était en train de se déplacer et elle entendait la neige fondre, dégoutter des avant-toits.
El frío que había traído consigo la inusual nevada ya se alejaba, y Lisey oía la nieve derretirse y gotear de los alerones.
Une torche fut passée à Hadon, qui y noua sa corde, et l’emporta ainsi, la tenant de côté afin qu’elle ne dégoutte pas sur ceux qui étaient en dessous de lui.
Hadon recibió una antorcha por el aire y la sujetó a la cuerda para subirla consigo, junto a la pared, de forma que no goteara sobre los de abajo.
Puis ce fut de nouveau le silence, et on entendit seulement des mottes de neige humides tomber des branches et l’eau du dégel dégoutter des toits.
Después se hizo otra vez el silencio. Sólo se oían caer los copos de nieve, medio derretidos por efecto del deshielo, de las ramas de los árboles, y gotear el agua de los tejados.
Vous devriez vérifier encore votre compteur, Mr Sneed, vous retrouverez plus facilement l’endroit de la bande où je reconnais ça. J’en ai gros sur le cœur d’avoir été placée devant une telle alternative. Et de ressentir ce que je ressens maintenant. L’image de Brigham effondré sur la chaussée lui revint en un éclair et elle ne put s’empêcher d’ajouter une phrase de trop. — Et quand je vous vois tous essayer de vous en laver les mains, ça me dégoûte.
Señor Sneed, puede que quiera volver a asegurarse de que le queda cinta, ahora que estoy admitiendo esto. Estoy pasando un infierno por lo que ocurrió. No pueden imaginarse cómo me siento... —vio la imagen de Brigham boca abajo en la acera, y no pudo contenerse—: Los veo a todos ustedes intentando escurrir el bulto, y me dan ganas de vomitar. —Starling...
Un peu de sang dégoutte au fond de la boîte, déjà rougi.
Caen unas gotas de sangre, que se juntan con otras en el fondo de la caja.
Au moins, la pluie s’était arrêtée, laissant seulement la jungle dégoutter autour de nous.
La lluvia había cesado completamente; sólo caían las gotas de la mojada vegetación que nos rodeaba.
Le vent était tombé et la pluie avait cessé, bien que l’eau continuât de dégoutter du toit de chaume.
El viento había amainado y, aunque la lluvia había escampado, de los aleros de la techumbre seguían cayendo gotas.
— Doux Jésus, murmura Lambert, la bouche pâteuse, en essuyant avec dégoût le fluide gluant sur ses épaules et ses hanches. J’ai froid !
—¡Diablos! —Murmuró Lambert, viendo con repugnancia cómo caían gotas de sus hombros y costados—. ¡Tengo frío!
Sue sentit s'accroître son dégoût en voyant les premières gouttes sombres de sang menstruel s'étaler sur le carrelage en taches rondes comme des pièces de dix cents.
Sue experimentó un asco creciente cuando las primeras oscuras gotas de la sangre de la menstruación golpearon las baldosas del piso y formaron círculos del tamaño de una moneda.
A ce moment le silence était aussi profond qu’à l’église, et on pouvait entendre l’eau dégoutter de la veste de Nemecsek par terre. Ce fut le petit blond qui brisa le silence :
Los chicos estaban como en misa y se oía con toda claridad el ruido que hacían las gotas de agua que caían de la ropa de Nemecsek al golpear en el suelo endurecido… Nemecsek rompió el silencio profundo:
Il pensa : « Je ne veux pas de l’argent, p’pa, parce que déjà un peu de rouge a dégoutté sur les numéros verts et si je touche à l’argent il en viendra sur mes mains et m’man pensera que je me suis battu. » — Réfléchis, mon garçon !
Él pensó: No quiero el dinero, papi, porque han caído unas gotas de sangre en algunos de los billetes, y si los toco, me mancharé las manos y mamá creerá que me he peleado. ¡Piensa, muchacho! ¡Piensa!
Elle lui paraissait trop discutailleuse et trop garce, sa voix. Et elle en ressentit un vif dégoût pour elle-même, qui, immédiatement, amena des gouttes de transpiration sur son front. Pourtant sa voix, malgré elle, l’emporta.
Le sonaba quisquillosa y maligna, y sintió una oleada de odio hacia sí misma que, de un modo literal, provocó de nuevo la aparición de gotas de sudor en su frente. Pero su voz continuó, a pesar de ella misma—: No quiero decir que haya nada horrible en él o algo por el estilo.
Le gréement laissait dégoutter une eau visqueuse, et les hommes se tenaient en rang, les bras croisés, à l’abri du rouf – tous, sauf l’oncle Salters, qui restait assis avec entêtement sur le panneau principal à dorloter ses mains piquées.
Del cordaje caía una lluvia de gotas pegajosas, y los hombres estaban repantigados a cubierto en el interior. Todos, a excepción del tío Salters, que se hallaba sentado en la escotilla principal, curándose las manos llenas de picaduras de fresa.
Tibulus regarda dégoutter ce sang rouge qui était le sién avec tout le franc intérêt qu’un Pline l’Ancien aurait pu mettre à décrire une procession de fourmis rouges et puis, terrible, fit tournoyer son épée dans les airs au grand ravissement de la foule.
Tibulo observó la hilera de gotas rojas con el mismo y declarado interés que Plinio el Viejo habría puesto en una fila de hormigas león en marcha. A continuación blandió su espada de modo horrífico, para deleite del populacho.
gota a gota
Mais son dégoût de la marotte de Jill était tellement devenu chez lui un réflexe qu’il n’aurait pour rien au monde avoué qu’il prenait un plaisir occasionnel à déambuler parmi les galeries et les arcades ou à gravir hors d’haleine les escaliers en colimaçon menant aux tours.
No obstante, odiar la afición de Jill se había convertido en un reflejo para él, de modo que antes preferiría sentarse en un aparato oriental que echara gota a gota agua sobre su cabeza a reconocer que, de vez en cuando, disfrutaba recorriendo las arcadas y las galerías, los pasajes y los túneles, y quedar sin aliento subiendo las altas escaleras en caracol de las torres.
On ouvrit : ils étaient tous nus dans le boudoir d’Emperatriz, tous les monstres qui me traînent, Melchor, Basilio, je vois leurs insolentes difformités comme s’ils n’en avaient pas honte, ne faites pas semblant de ne pas avoir honte, vous vous cachez ici, à la Rinconada, où vous savez que personne ne va se retourner pour vous regarder en criant, vous êtes des réfugiés, le cercle de terreur vous tient prisonniers, vous ne sortez jamais de la Rinconada, vous pourriez sortir si vous vouliez, vous avez la permission, mais vous ne sortez pas, vous ne pouvez pas sortir, tout comme moi qui ai la permission de sortir mais ne peux pas, bien que je sois normal, vous voyez bien que je suis normal, comment ne le verriez-vous pas en m’allongeant sur la chaise longue en moire rose d’Emperatriz… vous, les monstres, vous avez peur de sortir, nous avons peur de sortir, nous avons peur d’être vus, c’est pourquoi nous nous réfugions ici, comment le Dr Azula ne craindrait-il pas les regards, lui qui a tout le corps couvert d’écailles et des mains de rapace qui me touchent, me fouissent, m’examinent, tandis qu’Emperatriz m’ôte ma robe de chambre, me laisse en pyjama, me palpe le front et va continuer et au contact de la naine je ne peux plus me contenir, je m’ouvre tout entier et je chie et, en s’écoulant, ma merde liquide, fétide et noire souille la moire, l’Aubusson, les petits meubles, les voilages des rideaux, les monstres nus se couvrent la figure avec des mouchoirs blancs, se bouchent le nez, s’enfuient, ils ne peuvent pas me supporter, je suis trop dégueulasse, le Dr Azula pense que je suis en train de perdre mon sang depuis plusieurs jours, c’est très grave, il faut opérer, et on ne peut pas opérer parce que je suis trop faible, j’ai perdu trop de sang, il me soulève la paupière, blanche, une analyse de sang, prendre la température, apportez-moi mes appareils, la tension ne cesse de baisser, les monstres se bouchent le nez, ma personne les dégoûte mais la curiosité les cloue autour de moi, ils se couvrent la figure avec des mouchoirs parce que je continue de chier, transfusion sanguine, dit Azula, je n’ai rien à craindre entre les mains du Dr Azula. Qui veut donner son sang pour don Humberto ? Moi, moi, moi, ils veulent tous donner leur sang monstrueux comme s’ils avaient envie de s’en débarrasser, ils se sont habillés de blanc pour dissimuler que je les ai surpris en pleine orgie, nus mais vêtus de blanc, déguisés en infirmiers avec des blouses et des masques en tissu qui ne cachent pas leurs monstruosités, toi, c’est Melisa, je te reconnais à tes lunettes noires, toi, Basilio, impossible de se tromper, toi Emperatriz, toi Azula et toi Mateo, même la téléphoniste aux oreilles en ailes de chauve-souris a quitté son standard pour s’habiller elle aussi de blanc et assister à ce qui pourra se passer – membres d’un ordre mystérieux, moines à domino blanc pour un bal de fantaisie où le masque n’est pas de rigueur, car chacun en a un différent, et les monstres attifés de dominos blancs et de masques fantastiques manipulent des thermomètres, des sondes, des seringues, des lavements et des rayons X, d’en haut un flacon de sérum se vide lentement en moi. Un ballon rouge me remplit la veine de l’autre bras du sang d’un autre monstre et je sens la puissance du sang de Basilio s’infiltrer en moi, mes bras grossissent, ma mâchoire se développe, on est en train de me monstruifier, le sang de Berta m’immobilise les jambes, je ne pourrai plus que les traîner de façon décorative, telle la queue d’un lézard, et leurs monstruosités spécifiques étant anéanties par leurs dominos blancs, je ne distingue plus qui ils sont, ça n’a pas d’importance, car je fais la différence des sangs qui me pénètrent, comme s’ils avaient des saveurs distinctes pour les reconnaître, le sang d’Emperatriz me rabougrit, celui de Boy me fait pousser une bosse, celui de Melchor me remplit de bourgeons rouges qui font comme des marbrures en se détachant sur le blanc du sang que m’a donné Melisa, j’ai perdu forme, je n’ai plus de limites définies, je suis fluctuant, changeant, comme vu à travers une eau courante qui me déforme au point que je ne suis plus moi, je suis ce vague crépuscule de conscience peuplé de figures blanches qui viennent me piquer la veine, combien de globules rouges ?
Todos desnudos en el boudoir de Emperatriz, todos los monstruos que me arrastran, Melchor, Basilio, veo sus deformidades desafiantes como si no tuvieran vergüenza de ellas, no jueguen a que no tienen vergüenza, ustedes están escondidos aquí en la Rinconada donde saben que nadie va a dar vuelta la cabeza para mirarlos riéndose, están refugiados, el círculo de terror los tiene presos, no salen nunca de la Rinconada, podrían salir si quisieran, tienen permiso, pero no salen, no pueden salir, como yo tengo permiso para salir pero no puedo salir a pesar de ser normal, ven que soy normal, cómo no van a verlo si me están tendiendo en la chaise-longue de moaré color rosa de Emperatriz… ustedes, monstruos, tienen miedo de salir, tenemos miedo de salir, tenemos miedo de que nos vean y por eso nos refugiamos aquí, cómo no va a tener miedo el doctor Azula de que lo vean con todo su cuerpo cubierto de escamas y sus manos de ave de rapiña que me tocan, me hurgan, me examinan, mientras Emperatriz me saca la bata, me deja en piyama, me palpa la frente y me va a seguir palpando y con ese contacto de la enana no puedo contenerme más, me abro entero y me cago y mi mierda líquida y fétida y negra cae manchando el moaré, el Aubusson, los petits meubles, los velos del cortinaje, los monstruos desnudos se cubren la cara con pañuelos blancos, se tapan las narices, huyen, no me soportan, soy demasiado asqueroso, el doctor Azula opina que debo llevar varios días desangrándome, esto es muy grave, hay que operar, no se puede operar porque estoy demasiado débil, he perdido demasiada sangre, me abre el párpado, blanco, necesario el examen de sangre, tomar presión, tráiganme mis aparatos, baja y baja y baja y baja la presión de la sangre, los monstruos se tapan las narices asqueados de mi persona pero la curiosidad los clava cerca, se cubren la cara con pañuelos porque sigo cagándome, transfusiones de sangre, dice Azula, no puedo temer nada en manos del doctor Azula. Quién quiere donar sangre para don Humberto, yo, yo, yo, yo, todos quieren donar su sangre monstruosa como si desearan deshacerse de ella, se han vestido de blanco para disimular que los sorprendí en una orgía, desnudos pero vestidos de blanco, disfrazados de enfermeros con delantales y con mascarillas que no ocultan sus monstruosidades, tú eres Melisa, te reconozco por las gafas negras, tú Basilio, cómo confundirte, y tú Emperatriz y tú Azula y tú Mateo y hasta la telefonista de orejas de alas de murciélago ha abandonado el conmutador para vestirse también de blanco y presenciar lo que haya que presenciar, miembros de una orden misteriosa, monjes de dominós blancos para un baile de fantasía en que la careta no es de rigor porque cada cual tiene la propia, y los monstruos ataviados con dominós blancos y caretas fantásticas manejan termómetros, sondas, inyecciones, lavativas y rayos equis, un frasco de suero va vaciándose lentamente dentro de mí desde lo alto. Una bolsa roja me llena la vena del otro brazo con sangre de monstruo y siento cómo la sangre poderosa de Basilio va escurriéndose dentro de mí y crecen mis brazos y se me abulta la mandíbula, me están monstruificando, la sangre de la Berta me inutiliza las piernas que ya sólo podré arrastrar decorativamente como la cola de un lagarto, y con sus monstruosidades específicas e individuales anuladas por sus dominós blancos ya no distingo quién es quién, no importa porque distingo las sangres que me van penetrando como si tuvieran sabores distintos que reconozco, la sangre de Emperatriz me encoge, la de Boy me produce una joroba, la de Melchor me llena de grumos colorados formando una especie de mármol al revenirse en la blancura de la sangre que me dio Melisa, he perdido mi forma, no tengo límites definidos, soy fluctuante, cambiante, como visto a través de agua en movimiento que me deforma hasta que yo ya no soy yo, soy este vago crepúsculo de conciencia poblado de figuras blancas que vienen y me pinchan la vena, cuántos glóbulos rojos, ya casi no le quedan, me inyectan, esto es para que no sienta dolor, pero si no siento dolor, ustedes me están inventando esta enfermedad, para qué quieren convencerme de que estoy grave si no siento dolor, vienen y me toman la temperatura, vienen y me toman la presión, mueven la cabeza, mal, esto va mal, va perdiendo demasiada sangre, habrá que ponerle otra unidad más de sangre, de quién será, atento, trato de descifrar lo que contiene esa sangre, qué monstruosidad ajena se va incorporando a mi ser, qué sangre opulenta se va sumando a mi sangre insignificante, de quién es este calor desconocido que gota a gota va penetrándome con la intención de salvar mi vida.
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