Translation for "decouvrez" to spanish
Translation examples
Découvrez de qui il s’agit, combien ils sont et revenez au camp.
Descubrir quiénes eran, cuántos, y regresar al campamento.
Je vous en conjure, monsieur Poirot, découvrez ce qui s’est passé.
Por favor, monsieur Poirot, debe descubrir qué ha ocurrido.
Ce n’est pas parce vous me découvrez plus puissant que vous ne le supposiez, dans des domaines que vous ne soupçonniez pas, que je représente un plus grand danger pour vous.
Descubrir que soy más poderoso de lo que pensabas no significa que sea más peligroso que tú.
Mais il y a une façon de regarder votre propre histoire ; découvrez les structures possibles, et piochez.
Pero hay una forma de analizar su propia historia, descubrir las posibles estructuras, y elegir entre ellas.
C’est quelque chose que vous découvrez sur les Arabes – ils sont parfaitement à l’aise dans deux rôles en même temps.
Es algo que uno acaba por descubrir en los árabes: están perfectamente a gusto en ambos papeles al mismo tiempo.
Travaillez ensemble, découvrez ce qui doit être découvert et combattez ce qui doit être combattu.
Debéis trabajar juntos, descubrir las cosas que todavía ignoráis y luchar contra aquello que debe ser combatido...
Vous découvrez plus de choses sur le sexe que vous ne le voudriez – ou plus qu’il ne devrait vous être permis d’en découvrir à votre âge.
Descubres más cosas del sexo de las que quieres saber, o más de las que deberían permitírsete descubrir mientras todavía eres joven.
Vous parlez ainsi parce que vous autres, de Scotland Yard, ne découvrez qu’une mince partie des crimes commis quotidiennement.
Eso lo dice simplemente porque hay una infinidad de crímenes que ustedes, los de Scotland Yard, nunca podrán descubrir.
En étudiant les pères et les attributs de ces amours, vous découvrez la nomenclature sociale la plus complète, et nous croyons inventer quelque chose !
Estudiando a los padres y los atributos de tales amores, se puede descubrir la más completa nomenclatura social; ¡y nosotros creemos haber inventado algo!
C’est exactement ce que fit monsieur José quand cette idée échevelée et providentielle de l’onde déchiffreuse et de l’onde photographe lui traversa la cervelle, il s’abandonna aussitôt à son imagination qui lui montra les ondes envahissantes fouillant dans toute sa chambre à la recherche des fiches, qui finalement n’étaient pas restées sur la table, et devenant perplexes et honteuses parce qu’elles étaient incapables d’exécuter l’ordre reçu, Vous êtes prévenues, ou bien vous découvrez les fiches, vous les lisez et vous les photographiez, ou bien nous retournons à l’espionnage classique.
Eso fue lo que hizo don José cuando le surgió aquella descabellada y providencial fantasía de la onda fotográfica y de la onda lectora, acto seguido se abandonó a la imaginación, la puso a mostrarle las ondas invasoras rebuscando en todo el cuarto tratando de hallar las fichas, que al final no se habían quedado sobre la mesa, perplejas y avergonzadas por no poder cumplir la orden que habían recibido, Ya saben, o encuentran las fichas y las leen y las fotografían, o regresamos al espionaje clásico.
Tu t’assois à côté de moi. Tu me prends la main. Tout se couvre d’un voile blanc, oui, je suis à la hauteur, Emperatriz, crois-moi, bien que Peta soit la partenaire désignée d’Humberto Peñaloza, il est capable de te rendre heureuse, je veux te montrer que j’ai un sexe, en conséquence je soulève drap et couverture, et c’est aussi pour cela, pour te le prouver, te prouver que ça en vaut la peine, pour que tu me fasses faire encore une piqûre afin d’effacer ton horrible figure, que je relève ta robe de mariée pour te violer, c’est ça que tu veux, Emperatriz, ne le nie pas, n’essaie pas de m’empêcher, par un simulacre d’escarmouche, de me redresser, ne fais pas semblant de te lamenter en essayant d’arracher de tes seins mes mains qui se sont fourrées dans ton horripilant décolleté de vieille naine à taches terreuses, et mes doigts qui cherchent ton sexe pour l’exciter, quoiqu’il soit toujours lubrifié et excité, ne t’en va pas, ne t’en va pas, ne me laisse pas seul, ne t’échappe pas en poussant des cris perçants parce que je tente de te violer, ne cours pas en trébuchant dans la traîne de ta robe de mariée, ne proteste pas, tu m’as pressé de te posséder ici, sur-le-champ, tu m’as abandonné dans cette cave sans issue, avec des éprouvettes et des tubes en ébullition, des sondes de sérum et de transfusions, sans compter de nombreux fils dont je ne sais pas à quoi ils servent et qui m’immobilisent, je veux m’enfuir, oui, je dois fuir, pour qu’on ne me tue pas par asphyxie, ouvrir la fenêtre pour respirer un peu d’air non confiné, mais la fenêtre n’en est pas une, maintenant je me rends compte du truquage, c’est un agrandissement photographique de fenêtre qu’on a collé sur le mur d’adobe pour simuler une lumière et un espace fallacieux, pour que j’aie envie de l’ouvrir, d’en toucher le verre qui n’est pas frais car ce n’est pas du verre, mais un papier très mince plaqué sur l’argile, photographie, camouflage, il n’y a pas de fenêtre, il n’y a pas de porte, pas de sortie, pas d’issue, je griffe, j’égratigne, j’arrache des lambeaux de cette photographie qui propose mensongèrement un extérieur qui n’a jamais existé nulle part, je l’arrache par lanières, je déchire des morceaux de la photo de fenêtre dans l’espoir qu’il y ait un orifice pour de bon, j’ai mal aux ongles, je griffe, j’égratigne, rien, il n’y a rien, pas même de lumière dans cette chambre minuscule comme une tombe, j’arrache toute la photo, il n’y a rien, un mur d’argile, un mur de boue tapissé de journaux périmés, avec des nouvelles épouvantables qui n’ont plus d’importance, inondation du Yang Tsé-Kiang, tremblement de terre à Skoplje, famine dans le Nordeste brésilien, casse-tête d’horreurs, couches successives de nouvelles qui ne sont plus des événements, j’ai arraché la fenêtre, sa fausse lumière, son faux air, son faux vent, sa rue sans intérêt où j’aurais pu fuir en suivant le chemin indiqué par les vieilles qui m’appelaient, rien, un tombeau de prémices caduques, de sujets fanés, de discussions closes une fois pour toutes, ce n’est pas même une chambre, c’est de la terre, il n’y a plus ni papier ni argile ni pierres, un trou, un souterrain non excavé que je creuse dans la boue desséchée, un cachot où l’on m’a enfermé et scellé au centre de la terre, ça ne sert à rien de demander secours à grands cris, Emperatriz, Emperatriz, sauve-moi, car ma voix est inaudible, le Dr Azula m’a ôté la gorge, je ne veux plus parler, je ne veux pas crier, car personne ne m’entendra, je suis seul au centre de la terre, entouré de murs aveugles dans cette cave qui m’oppresse, des rochers, des briques, de la terre, des os, je creuse et je brise des ongles et des dents le souvenir de cette fenêtre menteuse qu’on avait accrochée là pour me faire croire qu’il y avait un extérieur, et pourtant il doit y en avoir un, car j’ai encore un autre souvenir, mais pas grand-chose d’autre que cette cellule close où je me débats, où mon corps tient à peine, j’use l’air, forer des tunnels, des galeries, des couloirs, des boyaux dans la terre pour sortir, créer des cours et des chambres à parcourir, ne fût-ce qu’un peu de place, pas cet enfermement sépulcral que je mords, griffe et déchire sans arriver à quoi que ce soit, mon espace rétrécit, j’étouffe parce qu’il n’y a jamais eu de fenêtre, il n’y a rien à regarder par les fenêtres, l’air frais ne fut qu’une hallucination, l’eau qui coule dans la rigole une invention qu’on ne me laisse pas toucher, pas plus qu’on ne me laisse sentir sur mon visage le petit vent nerveux qui agite les orangers, montrant qu’il faut porter un foulard, ni le timide soleil à travers les branches des orangers, qui donne un faux-semblant de lumière aquatique où l’on nage sans hâte, les décombres de ce mur, il faut les balayer pour que tout soit propre, les vieux journaux déchirés, balaie tout, Mudito, qu’il en soit fait un beau petit tas pour qu’on ne voie pas de saleté, oui, Dora, ne me faites pas presser, je suis un peu fatigué, vous ne voyez donc pas que je suis en train de balayer pendant que vous vous cachez la bouche avec votre châle pour rire de quelque chose que vous dit la Rita, et ensuite, vous découvrez cette caverne édentée, ici, il n’y a personne à visage découvert, il n’y a non plus ni masques vénitiens, ni loups ni masques antiseptiques ou d’aucune sorte, non, tous ici ont leur propre visage qui se détériore en suivant l’ordre d’un temps linéaire, comme il se doit, et le balai du Mudito fait un petit tas de plus de morceaux de crépi détaché et de journaux déchirés, ce qu’il y a de journaux, il y a dans la Maison des pièces remplies de vieux journaux, tout ce papier inutile que nous envoie l’archevêque.
Te sientas junto a mí. Me tomas la mano. Todo cubierto con un velo blanco, sí soy capaz, Emperatriz, créeme, Humberto Peñaloza a pesar de ser la pareja de la Peta es capaz de hacerte feliz, te quiero mostrar que tengo sexo, por eso levanto la ropa de la cama, por eso, porque quiero probártelo para que sepas que valgo la pena y me consigas una inyección para borrar tu rostro horrible, levanto tu vestido de novia para violarte, eso es lo que quieres, Emperatriz, no lo niegues, no trates de impedir, con una escaramuza simulada, que yo me incorpore, no finjas lamentaciones al tratar de arrancar mis manos que se meten por tu horripilante escote pecoso de enana vieja y mis dedos que buscan tu sexo para excitarlo aunque siempre está resbaladizo y excitado, no te vayas, no te vayas, no me dejes solo, no huyas chillando porque trato de violarte, no corras tropezando en la cola de tu traje de novia, no protestes, tú me apremiaste para que te poseyera aquí mismo y ahora me has abandonado en este sótano sin salida, probetas y tubos que bullen, sondas de suero y transfusiones además de muchos hilos que no sé lo que son y me fijan, quiero huir, sí, tengo que huir para que no me maten de ahogo, abrir la ventana para respirar un poco de aire no enclaustrado, pero la ventana no es ventana, ahora me doy cuenta del engaño, es la ampliación fotográfica de una ventana que han pegado en la pared de adobe para simular luz y espacio mentirosos, para que desee abrirla, tocar su vidrio que no es fresco porque no es vidrio sino papel muy delgado tendido sobre el barro, fotografía, mentira, no hay ventana, no hay puerta, no hay salida, no hay hacia dónde salir, araño, rajo, arranco jirones de esa fotografía que miente un exterior que jamás ha existido en ninguna parte, la arranco a tiras, rompo trozos de la fotografía de la ventana con la esperanza de que haya un orificio de verdad, me duelen las uñas, rajo, araño, nada, no hay nada, no hay ni luz en este cuarto minúsculo como una tumba, arranco toda la fotografía, no hay nada, pared de adobe, muro de barro empapelado con diarios pretéritos, con noticias espeluznantes que no importan, inundación en el Yang-Tse-Kiang, terremoto en Skopje, hambruna en el nordeste de Brasil, este rompecabezas de horrores, capa tras capa de noticias que ya no son noticia, he arrancado la ventana y su luz fingida y su aire y su viento y su calle sin interés por donde podía haber huido siguiendo el camino señalado por las viejas que me llamaban, nada, tumba de primicias caducas, de tópicos desvanecidos, de discusiones zanjadas de una vez y para siempre, no es ni siquiera una habitación, es tierra, ya no hay papel, barro, piedras, un hoyo, socavón no socavado que estoy cavando en el barro reseco, mazmorra donde me encerraron en el centro de la tierra y me sellaron, no saco nada con pedir auxilio a gritos, Emperatriz, Emperatriz, sálvame, mi voz no se oye, el doctor Azula me extirpó la garganta, no quiero hablar, no quiero gritar porque nadie me oirá, estoy solo en el centro de la tierra, rodeado de paredes ciegas en este sótano que me comprime, rocas, ladrillos, tierra, huesos, cavo, cavando y rompiendo con las uñas y los dientes el recuerdo de esa ventana mentirosa que habían colgado para que creyera que existía un afuera, cavando con mis manos ensangrentadas tendré que llegar a algo, arriba, abajo, no hay dirección porque no hay afuera aunque debe haber porque recuerdo algo más, pero poco más que esta celda cerrada en que me debato, en que mi cuerpo apenas cabe, estoy agotando el aire, horadar túneles y galerías y pasillos y pasadizos en la tierra para salir, crear patios y habitaciones que recorrer, un espacio siquiera, no este encierro de tumba que muerdo, araño, rompo sin conseguir nada, mi espacio se encoge, me estoy ahogando porque no hubo jamás ventana porque no hay nada que mirar por las ventanas, el aire fresco fue alucinación, el agua que corre por la acequia un invento que no me dejan tocar, ni sentir en mi rostro el airecillo revoltoso que agita los naranjos indicando la necesidad de una chalina, y el sol endeble a través de las ramas de los naranjos mintiendo una luz subacuática en que nadamos sin urgencia, los destrozos de este muro hay que barrerlos y dejarlo todo limpio, diarios viejos rajados, bárrelo todo, Mudito, que quede hecho un montón bien hechito para que no se vea mugre, sí, Dora, no me apure porque estoy un poco cansado, que no ve que estoy barriendo mientras usted se cubre la boca con su chal para reírse de algo que le dice la Rita y después descubre esa caverna desdentada, aquí no hay nadie con la cara cubierta, no hay máscaras ni antifaces ni caretas ni mascarillas, no, aquí todos tienen su propia cara deteriorándose en el orden de un tiempo lineal, como debe ser, y el Mudito con su escoba hace otro montoncito más con los trozos del enlucido que se derrumbó y más diarios rotos, tanto diario, hay habitaciones llenas de diarios viejos en la casa, tanto papel inútil que nos manda el arzobispo.
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