Translation for "couillons" to spanish
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Translation examples
— Mais je t’aime, couillon.
– Te quiero, pendejo.
Et si nous n’étions pas couillons nous nous débarrasserions d’elle aussi.
Y si no fuéramos pendejos, también a esta vieja la deberíamos despachar de una vez.
Puis il m’a donné une accolade et dit : occupe-toi bien de ce grand couillon et salue le chef pour moi.
Luego me dio un abrazo y dijo: cuidá bien a ese pendejo y saludes al jefe.
Il demanda, mais ils le regardaient telle une bestiole qui ne parle pas leur langue : « Ici, les rues n’ont pas de nom, couillon ! » criaient-ils.
Preguntó, pero lo miraron como se mira a un bicho que no sabe la lengua: «Aquí las calles no tienen nombre, pendejo», oyó que le gritaban.
Ils ont vite été détrompés par leurs chefs et invités à se joindre à la bande criminelle ou à être abandonnés sur place, à poil, comme les têtes de mule et couillons qu’ils étaient.
Pronto fueron desengañados por sus jefes, incitados a unirse a la banda criminal o ser abandonados allí mismo, encuerados, por rejegos y pendejos.
— Qu’est-ce qu’ils pourraient faire d’autre, puisqu’on leur vole ces putains d’élections ? Ils ne veulent pas perdre ? Alors, qu’ils n’organisent pas ces putains d’élections et on arrêtera de se faire couillonner !
—¿Qué quieren que hagan si les roban las pinches elecciones?, ¿no quieren perder?, ¡pues no organicen las putas elecciones y dejamos de hacernos pendejos!
Je lui posais des questions comme si j’étais une gamine écervelée, ou une étudiante curieuse : qui c’est ce sénateur ? Pourquoi tel autre a autant de pouvoir ? Et il commençait : tu sais, ma poupée, ce type est un dur, un dur de chez dur, et ainsi il me livrait des informations que j’assemblais, et je me disais qu’à travers ce couillon, j’allais arriver à d’autres, j’ai eu la patience qu’il fallait pour ça.
Yo le hacía preguntas como si fuera una niña tonta, una estudiante, ¿quién es este senador?, ¿por qué tiene tanto poder aquel otro?, y él empezaba, pues mira, nena, ese man es un duro, de los duros duros, y así me soltaba cosas que yo iba montando, y me decía, a través de este pendejo voy a llegar a otros, tuve paciencia y así fue.
Un couillon quelconque te déclare qu’il ne peut pas vivre sans toi, que tu ressembles à sa sœur qui est morte d’une leucémie, qu’il t’a vue dans un film et que depuis il ne dort plus, et il dépose sa dot sur la table : j’ai un ranch avec des taureaux de combat à Tlaxcala, je suis le propriétaire d’une usine de petites culottes, j’ai une maison à Houston et un avion privé, je suis sénateur du Parti révolutionnaire institutionnel, etc. Ce sont des choses qui arrivent, putain, ne me regarde pas comme ça.
Llega un pendejo y te dice que no puede vivir sin ti, que te pareces a una hermana que se murió de leucemia, que te vio en una película y que desde entonces no duerme, y pone encima de la mesa su dote: tengo un rancho con toros de lidia en Tlaxcala, soy dueño de una fábrica de pantaletas, tengo una casa en Houston y un avión privado, soy senador del PRI, esas cosas… Eso pasa, carajo, no me mires así.
Et mes petits camarades étaient là, pauvres couillons, à dépenser leur salive pour parler, raconter, et les institutrices qui disaient, très bien les enfants, vos parents vous aiment beaucoup, vous devez leur être reconnaissants et la meilleure façon c’est de bien étudier, alors apprenez pour demain la deuxième campagne pour l’Indépendance, après quoi elles ramassaient leurs craies et leur sac, s’en allaient avec un claquement de talons, et peu après on les voyait dans la salle des professeurs tremper leur bec dans une tasse de café, ou boire du vin et fumer, chuchoter entre elles pour partager qui sait quels secrets ou mesquineries, se donner des conseils pour nous humilier davantage, mieux se venger de la vie sur notre dos, nous les enfants heureux, pour tout ce qu’elles avaient voulu être sans y parvenir, pour être devenues ce qu’elles étaient, des corbeaux bossus, car, croyez-moi, monsieur le consul, la méchanceté de l’âme se colle au corps et le déforme, fait sortir des cors et des verrues, des excroissances, le mal se voit et il a aussi une odeur, j’en ai fait l’expérience chaque jour de mon enfance et de mon adolescence, et c’est justement pourquoi la plupart de mes camarades ont fini par s’intégrer à ce système, à cette manière de vivre dans la haine et le ressentiment.
Y ahí estaban mis compañeritos, pobres pendejos, rapándose la palabra para hablar y contar, y las profesoras diciendo, muy bien, niños, sus papás los quieren mucho, deben sentirse agradecidos y el mejor modo es estudiar, así que para mañana traigan aprendida la segunda campaña libertadora, y luego agarraban sus tizas y su bolso, se iban taconeando y un rato después uno las veía en el salón de profesores metiendo sus picos en pocillos de café, tomando tinto y fumando, cuchicheando entre ellas, contándose quién sabe qué secretos o mezquindades, dándose consejos de cómo humillarnos más, cómo vengarse mejor de la vida a través de nosotros, niños felices, por todo lo que quisieron ser y no lograron, por haberse convertido en lo que eran, cuervos jorobados, porque, créame, señor cónsul, la maldad del alma se pega al cuerpo y lo deforma, le hace salir callos y verrugas, excrecencias, el mal se ve y también se huele, yo lo experimenté cada uno de los días de mi infancia y adolescencia, y justamente por eso la gran mayoría de mis compañeros acabó por incorporar ese sistema, ese modo de vivir en el odio y el resentimiento, ¿qué otra cosa podían hacer si era lo que veían a diario?
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