Translation for "causerie" to spanish
Translation examples
Va sur un tchat et on cause, d’accord ?
Metete en un chat y hablamos, ¿dale?
Quelques minutes plus tard, la patrouille de Chato monta à son tour et s’éloigna, à une allure plus lente à cause du chariot cahotant.
Al cabo de algunos minutos, la patrulla de Chato montó también y partió, a paso más lento a causa del carro.
Les philosophes ont émis l’idée que le poids est causé par l’attirance d’une grande assiette plate sur laquelle Mesklin est posé.
Los filósofos entienden que el peso es causado por el tirón de una enorme placa chata, situada en el lugar donde se apoya Mesklin;
Brunetti étudia ce visage au nez plat, aux cheveux orange frisottés qui dépassaient de la toque blanche. Elle avait une peau brillante, soit à cause de la transpiration, soit qu’elle fût naturellement grasse.
Brunetti observó su cara, vio la nariz chata, el encrespado pelo color naranja que escapaba del gorro y el cutis reluciente, no se sabía si de sudor o de grasa natural.
En outre, le conglomérat consacrait aux bonnes causes des sommes de plus en plus ahurissantes, ce qui renforçait le statut de héros de Black. Et pourtant, malgré tous ses efforts, il était haï de nombreux invités des salons de discussion virtuels.
No solo eso, sino que el conglomerado desembolsaba fondos más astronómicos si cabía para buenas causas, con lo que Black acrecentó más todavía su imagen de héroe. A pesar de todo eso, sin embargo, el nombre de Douglas Black era anatema para muchas de las salas de chat.
En tout cas, nous avons trouvé pour le moins étrange que cette lettre fût surtout remplie de commentaires relatifs à la cause pour laquelle Ben avait donné sa vie, et qu’elle insistât par exemple sur le fait que les pilotes fascistes étaient des lâches. « Ben pilotait un biplan russe « Chatos », complètement démodé.
De todos modos, parecía más bien raro que la carta se compusiera principalmente de argumentos sobre la causa por la cual había muerto Ben y de afirmaciones según las cuales los aviadores eran unos cobardes. Ben pilotaba un “Chato” biplano, ruso.
En dépit de sa corpulence, il y avait une certaine dureté dans ses traits : ses yeux déjà petits et méchants paraissaient plus petits et plus méchants encore à cause des rondeurs qui les entouraient, et même le nez, qu’elle avait pourtant court, ne suffisait pas à adoucir son expression car ses lèvres, trop fines, ne formaient qu’une entaille dans son visage.
A pesar de sus redondeces, sus facciones resultaban duras. Tenía los ojos pequeños y de mirada mezquina, y su rostro mofletudo aún hacía que parecieran más pequeños y más mezquinos. Ni siquiera la nariz chata conseguía suavizar su aspecto, pues sus labios eran muy finos, tanto que casi parecían una línea que le dividía el rostro en dos mitades.
— Il faudrait dénicher l’entrepôt Redman, répondis-je. — Tu finiras par te causer du tort à refiler les tuyaux à la pelle comme ça, observa-t-il en mettant le moteur en marche. Trois blocks plus loin, nous aperçûmes une enseigne délavée qui portait : Redman et Cie. Le bâtiment décoré de cette raison sociale était long, bas et étroit, avec un toit en tôle ondulée et quelques rares fenêtres.
–Tenemos que encontrar el almacén de Red Man -dije. –Te buscarás un lío siendo tan hablador. Al cabo de tres manzanas de recorrido vimos un rótulo estropeado que decía: «Red Man y Cía.» El edificio sobre el que lucía el rótulo, era alargado y chato, con tejado de hierro galvanizado y algunas ventanas. –Dejaremos el bote a la vuelta de la esquina -le dije-. Y ahora vendrás conmigo.
Un jour qu’il lui avait offert un verre de Porto, Querelle ayant répondu qu’à cause d’une chaude-pisse il ne pouvait pas boire d’alcool, (Querelle mentait. Spontanément, afin d’augmenter encore le désir du lieutenant, il venait de s’inventer une maladie de mâle, de « baiseur enragé ») Seblon, dans son ignorance de ce mal, imagina sous la toile bleue le sexe ulcéré, coulant comme un cierge pascal où cinq grains d’encens sont incrustés.
Un día que le había invitado a un chato de oporto, habiéndole respondido Querelle que a causa de una blenorragia no podía beber alcohol (Querelle mentía: espontáneamente, con el fin de aumentar aún más el deseo del teniente, acababa de inventarse una enfermedad de macho, de «jodedor furibundo»), Seblon, sin la menor experiencia de una dolencia tal, se imaginó bajo la tela azul el sexo llagado derritiéndose como un cirio pascual que llevara incrustados cinco granos de incienso.
ils devenaient minuscules et uniquement mouvement sans galop, et la plaine à perte de vue, gris jaune à présent avec devant le dos de tweed de ce vieux Compie et le chapeau de feutre marron. Ensuite, ils se trouvèrent au-dessus des premières hauteurs avec les gnous qui les escaladaient par les pistes puis au-dessus des montagnes avec de brusques abîmes de forêts dressant le vert de leurs cimes, les pentes couvertes de bambous qui se détachaient si nettement, et de nouveau l'épaisse forêt sculptée en saillants et en creux, jusqu'à ce qu'ils l'eussent franchie, et les monts peu à peu dévalèrent, puis une autre plaine, brûlant à présent et d'un brun pourpre – ballottés à cause de la chaleur et Compie se retournant pour voir comment il supportait le voyage.
Cada vez eran más pequeños, el movimiento no se notaba, y la llanura parecía estar lejos, muy lejos. Ahora era gris-amarillenta. Estaban encima de las primeras colinas y las bestias les seguían siempre el rastro. Luego pasaron sobre unas montañas con profundos valles de selvas verdes y declives cubiertos de bambúes, y después, de nuevo los bosques tupidos y las colinas que se veían casi chatas. Después, otra llanura, caliente ahora, morena, y púrpura por el sol. Compie miraba hacia atrás para ver cómo cabalgaba.
on est venus pour causer – pour causer affaires.
hemos venido para hablar, para hablar de negocios.
Causer un peu. — Causer un peu, tu parles.
Solo para hablar un rato. —Solo para hablar un rato.
— J’ai pas à vous causer.
—No tengo por qué hablar contigo.
On aurait dû causer.
Hubiéramos debido hablar.
nous serons mieux pour causer.
Estaremos mejor para hablar.
On aurait pu causer.
Habríamos podido hablar.
Je voudrais causer avec lui.
Quisiera hablar con él.
Tu veux lui causer ? 
¿Quieres hablar con él?
En dînant, on cause.
Mientras se cena, se charla.
    « Nous avons bien causé ensemble, n'est-ce pas, mademoiselle ?
—Hemos tenido una bonita charla, ¿verdad?
Ça nous permet de causer critique.
Eso nos permite charlas críticas.
La causerie est prévue pour dimanche prochain ;
Tendremos la charla el próximo domingo;
Il nous a donné plusieurs causeries.
Nos ha dado varias charlas.
Nous n’en avons pas terminé avec notre petite causerie au coin du feu.
No hemos terminado con nuestra charla hogareña.
— À M. Charles, puisque c’est à cause de lui que vous êtes ici.
—Por monsieur Charles, pues es a causa de él que estamos aquí.
Jack et moi, on va causer.
Yo y Jack vamos tener una pequeña charla.
La perspective de cette causerie lui était-elle agréable ?
¿Le resultaba agradable la perspectiva de aquella charla?
Allez causer avec elle.
Vaya a charlar con ella.
mais je l’écoute causer avec les autres ;
pero le oigo charlar con los demás;
— Nous avons le temps de causer, dit-il.
—Tenemos tiempo para charlar —dijo—.
Il a l’air d’aimer causer.
Parece que le encanta charlar.
« On peut vous causer un moment ?»
—¿Puedo charlar un momento con usted?
– Vous ne voulez pas causer un peu avec moi ?
—¿Le apetece charlar un rato conmigo?
d’abord je veux causer.
Primero, quiero charlar un rato.
– Ces messieurs ont sans doute à causer.
—Seguro que estos caballeros quieren charlar.
Viens que je te cause un peu.
Ven a charlar un rato conmigo.
Ça m’a été une joie de causer avec vous.
Me ha gustado mucho poder charlar contigo.
— Ça me fatigue de causer, Geralt.
—Me ha cansado tanta plática, Geralt.
Ces causeries donnèrent un semblant de plus à notre mariage éphémère.
Estas pláticas prestaron un simulacro más a nuestro matrimonio efímero.
Les heures, d’abord remplies par de douces causeries, avaient abouti à quelques silences méditatifs.
Las horas, colmadas al principio por dulces pláticas, habían desembocado en algunos meditativos silencios.
— Ah ! À quoi bon causer ? dit Ortillette qui jusque-là était resté silencieux. Vous êtes sorceleur, non ?
—Y a qué más plática —dijo el hasta entonces silencioso Tapadera—. ¿Vos sois brujo, no?
mais si vous me permettez une suggestion, c’est de ne pas essayer de faire causette, lorsque vous vous rendez dans les chaumières, mais de causer tout simplement.
pero, si me permite una sugerencia, creo que no debería darles pláticas a los campesinos cuando va a verlos, sino sencillamente platicar.
Ling Sao jeta un grand cri, s’élança hors de la chapelle, traversa la pelouse, et se précipita dans le hall où se trouvaient les autres femmes, et là, haletant et gémissant, elle leur raconta ce qui était arrivé à Orchid et comment le dieu de la femme étrangère avait causé sa mort.
Exhalando un agudo grito, huyó del templo, atravesó el césped, penetró en el local donde estaban las mujeres con los niños y les contó, jadeante y llorosa, lo que le había pasado a Orquídea y cómo el dios de la mujer blanca había dispuesto su muerte. En los pocos instantes que su plática le invirtió, dejó espantadas a todas las mujeres.
Le jour de Noël, nous dînâmes chez Maria Vîctorovna, puis nous retournâmes chez elle presque chaque jour pendant les fêtes. Personne ne venait la voir ; elle avait raison de dire que, sauf le docteur et moi, elle n’avait pas de connaissances en ville. Nous passions la plus grande partie du temps en causeries. Parfois Blagovo apportait un livre et lisait à haute voix.
El primer día de Navidad comimos en casa de María Victorovna, y durante las fiestas la visitamos casi diariamente. Tenía razón al afirmar que no mantenía relación alguna con los habitantes de la ciudad: salvo nosotros dos, nadie la visitaba. Casi todo el tiempo que estábamos con ella lo dedicábamos a pláticas y a discusiones de orden trascendental. Algunas veces el doctor llevaba un libro o el último número de una revista, y nos leía en alta voz.
(Un jour durant cet été de Brooklyn, je poussai Sophie à lire un ouvrage de H. I. Mencken, qui était à cette époque, et est resté un de mes favoris, et je tiens à dire, quand bien même la chose est sans importance, que le style mordant de Mencken lui rappelait, me dit-elle, celui de son père.) Elle prit sa dictée avec soin, mais à cause de la ferveur qui le soulevait, avec une certaine hâte, aussi fut-ce seulement quand elle s’attela à la tâche de mettre son travail au propre pour l’imprimeur, que dans cette marmite grouillante d’allusions historiques, d’hypothèses dialectiques, d’interdits religieux, d’exemples de jurisprudence et de propositions anthropologiques, elle commença à voir bouillonner comme une présence fumeuse et menaçante un certain mot – répété à plusieurs reprises – qui la plongea dans la perplexité, puis la consternation et l’effroi, surgissant là dans ce texte par ailleurs d’un prosaïsme parfaitement convaincant, cette habile polémique qui, avec une ironie âpre et désinvolte, exprimait la propagande sournoise que plus d’une fois elle avait sans y prêter attention entendue au dîner à la table Bieganski. Mais ce mot qui provoquait en elle cette inquiétude était un nouveau départ. Car cette fois à plusieurs reprises, il lui avait fait remplacer « élimination totale » (vollständige Abschaffung) par Vernichtung. Extermination. Au bout du compte tout était parfaitement simple et dépourvu d’équivoque. Pourtant, même amené avec cette subtilité, noyé dans ce potage agréablement assaisonné par les récriminations décousues et plaisamment acerbes du Professeur, le mot, dans toute sa vigueur et sa signification – et donc la signification dont il parait la substance de l’essai tout entier –, était tellement horrible qu’elle se contraignit à le reléguer à l’arrière-plan de sa pensée durant tout le glacial week-end d’hiver qu’elle passa à s’échiner sur le long message passionné de son père. Elle constata qu’elle redoutait de provoquer sa fureur, au cas où elle aurait déplacé un accent, oublié un tréma.
en consecuencia, sólo en el momento de pasar a máquina el original que debía entregarse al impresor, comenzó a vislumbrar en aquel hirviente caldero de alusiones históricas, de dialécticas hipótesis, de imperativos religiosos, de antecedentes legales y proposiciones antropológicas, la nebulosa y siniestra presencia de una palabra que aparecía varias veces en el texto y que, además de sorprenderla y confundirla, la asustó sobremanera (una palabra que ella ya había oído más de una vez en las polémicas pláticas, tan persuasivas y prácticas como el folleto en cuestión, que su padre pronunciaba a modo de astuta y festiva propaganda en las cenas de los Biegański). Era la palabra «supresión». Un vocablo que sin embargo sólo representaba un punto de partida, porque las últimas veces el profesor había indicado a Sophie que escribiera Vemichtung, «exterminio», en lugar de vollstandige Abschaffung, «supresión total». Exterminio. La cosa no podía ser más simple ni evidente. Por eso, por muy sutilmente que el profesor hubiera introducido aquel término en el texto, y por amena que fuese su manera de expresar las corrosivas animadversiones que encubría, la palabra «exterminio», con toda su fuerza y significado —tal como se desprendía de la esencia del ensayo—, era tan horrible que Sophie tuvo que empujarla hacia lo más profundo de su mente y mantenerla allí durante el invernal fin de semana que dedicó a poner en limpio la apasionada diatriba de su padre, y preocuparse tan sólo de no despertar sus iras con la omisión de una diéresis o la mala colocación de un acento. Y siguió reprimiendo el verdadero significado de Vemichtung hasta que en el lloviznoso atardecer del domingo —mientras se dirigía presurosa, con el fajo de hojas mecanografiadas nerviosamente agarrado, hacia el café de la plaza del Mercado para reunirse con su padre y su esposo—, se dio cuenta con horror de lo que el profesor le había dictado y de su complicidad en ello.
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