Translation for "avalent" to spanish
Translation examples
Que les gens avalent ces mensonges et ne réagissent pas – c’est incompréhensible.
Que la gente se tragara aquellas mentiras y no reaccionara... sencillamente resulta incomprensible.
Pendant que je bâfrais comme quatre, pareil à ces chiens qui avalent tout sans mâcher, j’observais Lopito, remarquant combien le fils du grand Lope de Vega avait changé depuis le jour lointain de son duel avec mon ancien maître sur la côte de la Vega, peu avant qu’ils troquent leurs épées contre une sincère amitié et que nous l’aidions, le capitaine et moi, avec le concours de don Francisco de Quevedo et du capitaine Contreras, à faire sortir Laura Moscatel de chez elle et à faciliter le mariage de celle-ci avec le garçon qui n’était encore qu’un aspirant au grade d’enseigne.
Mientras embaulaba a dos carrillos como esos canes que por tragar no mascan, observé a Lopito, considerando lo mucho que el hijo del gran Lope de Vega había cambiado desde aquel lejano día de su duelo con mi antiguo amo en la cuesta de la Vega, poco antes de que, trocados los aceros en sincera amistad, colaborásemos el capitán y yo mismo, con el concurso de don Francisco de Quevedo y el capitán Contreras, en sacar de su casa a Laura Moscatel y facilitar su boda con el entonces todavía pretendiente a alférez.
Les gens avalent des tranquillisants plus souvent que du pain.
La gente traga tranquilizantes mucho más de lo que come pan.
On disait dans le livre: «Les serpents boas avalent leur proie tout entière, sans la mâcher.
En el libro se afirmaba: "La serpiente boa se traga su presa entera, sin masticarla.
Les deux battants de la porte s’ouvrent et se referment comme une bouche, elles avalent Jim.
Y entonces las puertas dobles se abren y se cierran como si fueran una boca que se lo traga.
On leur offre du macareux salé qu’ils avalent à grosses bouchées, accompagnées de grandes lampées de café ;
Les ofrecen carne de ave en salazón, que comen ansiosos, acompañada de largos tragos de café;
Alors l’eau purifie les pleurs et les gémissements avalent la culpabilité d’être spectateur et de faire partie de ce cirque.
Entonces el agua purifica el llanto y el gemido se traga la culpa de ser espectador y parte de este circo.
La bouteille d’alcool fort passe de main en main. Ashida refuse d’en boire. Les pharmaciens avalent de solides lampées.
La botella corrió de mano en mano. Ashida la rehusó. Los farmacéuticos echaron generosos tragos.
Je m’arrête pour les lever devant moi, mais les ténèbres les avalent. Je progresse sur un linoléum gondolé. Il y a moins de débris et de gravats dans cette partie-là. Le silence est impressionnant, à peine troublé par le lointain gémissement du vent, dehors. J’ai de plus en plus froid.
Me detengo para enfocar más adelante, pero la negrura se traga la luz. Hay menos escombros en el suelo de linóleo combado bajo mis pies y no se oye nada, salvo el suave y lejano gemido del viento. Hace más frío.
C’est bien lui, en tout cas, comme il le pressent tandis qu’ils se dirigent vers l’ascenseur – Celso devant, marchant rapidement, avec un sac orange fluorescent dans son dos et l’allure enfantine de ces gamins qui avalent en cachette et à longs traits des boissons colorées, que possèdent les individus de petite taille qui font des haltères, lui derrière, soudain surpris par une bouffée de parfum qui l’enveloppe comme une écharpe rance – et comme il le vérifie quelques secondes plus tard, dans l’ascenseur, lorsqu’ils montent sans dire un mot, en se souriant à tour de rôle, forcés de partager une intimité pour laquelle ils n’étaient pas préparés.
Es él, desde luego, como lo intuye mientras se encaminan hacia el ascensor, Celso adelante, a paso rápido, con una mochila color naranja fluorescente pegada a la espalda y ese aire infantil, como de chicos que beben a escondidas tragos largos de colores, que tienen las personas bajas de estatura que hacen pesas, él atrás, sorprendido de pronto por una ráfaga de olor que lo envuelve como una bufanda rancia, y como lo comprueba unos segundos después, en el ascensor, cuando suben sin hablar, sonriéndose por turnos, obligados a compartir una intimidad para la que no estaban preparados.
On ne parlait pas beaucoup de la Seconde Guerre mondiale, que pouvait-on en dire d’ailleurs, ils avaient eu faim, mangé du pain à base de chiffons et d’épluchures de pommes de terre ; des anguilles de l’épaisseur d’un bras avaient nagé dans l’Escaut ; les Allemands, den Duits, étaient toujours restés polis quand ils les croisaient lors d’un contrôle inattendu, il n’y avait pas à dire, ah si, un peu plus loin, dans les environs, on avait bombardé la mine de sel, mais cela tenait du fait divers. Ils restent assis, se taisent, soupirent, rient, toussent, avalent, prennent tout compte fait encore une petite gorgée, disent : oui oui, mon vieux, c’est quelque chose, la vie. Je les vois devant moi, les mains posées sur leurs genoux, les unes noueuses avec les pourtours des ongles sales, les autres fines ou pâles.
De la Segunda Guerra Mundial nunca decían gran cosa, porque qué podían decir más allá de que habían pasado hambre, que habían comido pan hecho a base de desperdicios y mondas de patata, que en el Escalda había anguilas gordas como brazos, que los alemanes siempre habían sido respetuosos cuando tuvieron que pasar algún control imprevisto —de eso no tenían queja—, y, ah sí, que habían destruido la mina de sal —como llamaban ellos al depósito de sal que había allí cerca—, pero todo aquello no eran más que faits divers. Sentados en sus sillas y sillones resoplan, ríen, tosen, carraspean, dan otro trago a su copa y murmuran: «Qué vida esta, ¿eh?» Todavía veo sus manos reposando encima de sus respectivos regazos, unas huesudas y con los bordes de las uñas negros, otras blancas y delicadas.
Est-il possible que les gens avalent cela après vingt-quatre heures seulement ?
¿Cómo era posible que pudieran tragarse aquello, si no habían pasado más que veinticuatro horas?
Ces conférences sont fréquentées par des jeunes pleins de vice, qui viennent là pour rigoler, et par des timides qui avalent cette potion savoureuse – elle serait inoffensive si on l’administrait à des femmes de fermiers ou à de pieux assistants pharmaciens, mais elle constitue un traitement assez dangereux pour ces « futurs meneurs d’hommes ».
A estas conferencias acuden los jóvenes revoltosos a reírse y a hacer chistes y los tímidos a tragarse las sabrosas píldoras, píldoras que no harían ningún daño si se recetaran a mujeres de granjeros o a devotos mancebos de botica, pero que se convierten en medicina más bien peligrosa para estos «futuros dirigentes».
elle qui, autrefois, avait gémi de façon compatissante à la vue du mercurochrome, semblait maintenant vivre de la faiblesse d’Aadam, comme si leur mariage avait été une de ces unions mythiques dans lesquelles des succubes apparaissent aux hommes comme d’innocentes demoiselles qui, après les avoir attirés dans le lit conjugal, reprennent leur aspect véritable et horrible et avalent leurs âmes… Ma grand-mère, à cette époque, avait une moustache presque aussi fournie que le poil affaissé et poussiéreux qui recouvrait la lèvre supérieure de son seul fils encore en vie.
ella, que en otro tiempo había gemido lamentablemente a la vista del mercurocromo, parecía ahora alimentarse de la debilidad de él, como si su matrimonio hubiera sido una de esas uniones míticas en que los súcubos se aparecen a los hombres como inocentes damiselas y, después de atraerlos al lecho conyugal, recobran su verdadero y horroroso aspecto, empezando a tragarse sus almas… mi abuela, en aquellos tiempos, había adquirido un bigote casi tan exuberante como el pelo polvorientamente hundido del labio superior de su único hijo superviviente.
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