Translation for "assortir" to spanish
Translation examples
La famille régalait les joueurs, après le match, d’un thé assorti de chocolats, gâteaux, meringues et glaces.
La familia regalaba a los jugadores, después del partido, con un té acompañado de chocolates, gelatinas, merengues y helados.
Ce furent, cette fois, deux bracelets sertis de rubis et de diamants. Et deux bagues ornées de rubis. Et deux paires de pendants d’oreilles assortis aux bracelets. Tout en double.
En esta ocasión, le regaló a su mujer dos pulseras de rubíes y brillantes, dos sortijas de rubíes y dos pares de pendientes de rubíes y brillantes, todo por partida doble.
À l’occasion du match contre l’Olympiakos au stade Apostolis-Nikolaidis, en face du GADA, je décidai d’enfiler mon survêtement noir sans aucune marque distinctive, un T-shirt assorti et une paire de baskets noires.
Para el partido contra el Olympiacos, en el estadio Apostolos Nikolaidis, situado frente al cuartel general de la GADA, elegí llevar un chándal negro, una camiseta a juego y unas zapatillas deportivas negras.
Sa belle-sœur se lançait à nouveau dans des histoires de départ et d’adieux, elle se plaignait de ne pas retrouver tel ou tel objet, soupirait pour son Rinuccio, le tout assorti de propos contradictoires, puisqu’elle se lamentait que la mer, l’odeur des jardins et la plage allaient lui manquer.
Su cuñada volvía a escenificar sus propósitos de partida, adioses, quejas por haberse dejado este o aquel objeto, suspiros por su Rinuccio, todo salpicado contradictoriamente por la añoranza del mar, los olores de los jardines, la playa.
Il la suivit dans un tout petit vestibule qui sentait le chat et le renfermé, comme chez de nombreuses personnes âgées, puis dans un salon-salle à manger dans lequel se trouvaient un canapé et deux fauteuils assortis et un grand téléviseur qui diffusait un match de cricket.
Grace la siguió a un vestíbulo minúsculo y estrecho, que desprendía un olor a viejo y gato, luego a un salón-comedor pequeño. El salón estaba dominado por un juego de sofá, dos sillones y un televisor grande que emitía un partido de críquet.
Il préférait cela aux tournois privés assortis de plaisanteries convenues et d’épouses disposant des fleurs dans des vases, un format qui exerçait une séduction sur la vanité de Terry, se dit-il, mais qui ne pouvait le disputer à l’anonymat crucial de ces jours et de ces semaines, à ce mélange d’existences innombrables que ne reliait entre elles aucune histoire.
Prefería esto a las partidas privadas con intercambio de bromas y con las esposas disponiendo las flores, un formato que tentaba la vanidad de Terry, pensó, pero que en modo alguno podía compararse al decisivo anonimato de estos días y semanas, la mezcolanza de incontables vidas que carecían de historia adjunta.
Placide voulut riposter, mais Doré l’évita, reprenant sa position de départ, et ils se tournèrent de nouveau autour, concentrés, un coup de vent venant étirer les flammes des torches. Il savait encaisser, ce vieux. Toujours aussi alerte, il ne montrait aucun signe de souffrance. Doré devrait probablement le briser pièce par pièce, le pousser dans ses retranchements, mais c’était une bonne chose. Il s’échauffait à la tâche. Le souffle court, il émit un grognement assorti d’une expression féroce, inspirant la force et expirant les doutes, ses hontes et déceptions changées en bois mort servant à attiser sa colère. Doré se frappa dans les mains, feinta à droite puis attaqua à gauche, plus vite et plus fort qu’avant, assenant deux autres coups au vieil homme, le nez en sang. Il le déséquilibra et se recula avant qu’il puisse riposter, la tribune résonnant d’encouragements et d’insultes dans une dizaine de langues différentes.
Cuando Lamb le devolvió el golpe, Dorado lo evitó, y entonces se separaron tan rápidamente como antes se habían juntado, volviendo a dar vueltas uno alrededor del otro, vigilándose mutuamente cuando un golpe de viento que recorrió el anfiteatro hizo que la luz de las antorchas se estremeciese. Aquel viejo que se movía lentamente y sin bajar la guardia sabía encajar un golpe porque no acusaba ningún dolor. Si Dorado hubiera conseguido mantenerlo dentro de su radio de acción, habría podido machacarlo, pero no pudo. Comenzaba a acalorarse. Su respiración se hacía más rápida, haciéndole jadear, mientras su rostro se contorsionaba por el acopio de energía que estaba realizando, olvidando cualquier duda cuando su ira extinguió la vergüenza y la frustración que sentía. Juntó las palmas de sus manos con mucha fuerza, soltó el aire a través de los dientes, hizo una finta y se lanzó contra Lamb más deprisa que antes, alcanzándolo con dos directos lanzados desde lejos y haciéndole sangrar por la nariz ya partida, sorprendiéndolo y alejándose de él antes de que le devolviera los golpes, mientras las piedras del anfiteatro resonaban por las burlas, las palabras de ánimo y las apuestas proferidas en una docena de idiomas. Dorado comenzó a tomárselo en serio.
Certains jours, il doit se rendre jusque dans cinq dépôts différents – éloignés les uns des autres et situés, en général, dans des lieux écartés de la ville, qu’il met plusieurs heures à atteindre – pour tomber non pas sur le meilleur d’entre eux, ni sur celui qu’on lui a recommandé, ni même sur le moins cher, mais simplement sur celui qui affiche ses prix – un prix qu’il soit prêt à payer, ce qui, à ce point de la partie, vu l’augmentation du coût de la vie à hauteur de cent cinquante pour cent tous les mois, signifie un prix raisonnablement inadmissible – et n’a pas décidé de stocker tout ce qu’il a à vendre, comme le font la plupart des dépôts, en attendant que les prix grimpent à nouveau, le prix des briques, du sable, du ciment, de tout ce que la horde des maîtres d’ouvrage, des architectes et des maçons, alertés avant lui de l’existence du lieu, n’ont pas déjà emporté. Il trouve l’endroit et l’atteint enfin, et lorsqu’il passe sa commande, tout heureux mais tremblant, tant il sait que la poursuite immédiate des travaux dépend de la réponse que va lui donner le contremaître du dépôt, deux possibilités se présentent à lui : ou on lui dit oui, que tout ce qu’il veut est disponible et l’argent qu’on lui demande pour l’acheter ne compromet pas de façon irréversible son budget bien malade, et tout le monde est content, ou on lui dit oui, que tout est disponible, et cetera, mais au moment de payer on refuse les pesos – et c’est justement la seule monnaie qu’il a sur lui, moins par sens pratique que par prudence, car, signe des temps, il suffit qu’on se doute que quelqu’un cache une poignée de billets étrangers pour que ce dernier devienne la cible d’une agression – et qu’on exige des dollars, et des dollars en billets – la monnaie refuge de quatre-vingts pour cent des commerçants d’alors, qui demeureront cependant toujours retranchés derrière elle, même plus tard, lorsque rien ne le justifiera plus, un peu comme ces téléviseurs qui débarquent dans les bars avec les premiers championnats du monde de football et finissent par faire partie des meubles – ce cash vert qu’il devra se débrouiller pour trouver tout seul, s’il ne veut pas perdre sa commande et que les travaux s’arrêtent, avant la fermeture du dépôt, au plus tard à six heures de l’après-midi, c’est-à-dire, étant donné que les banques et les bureaux de change sont déjà fermés depuis une demi-heure, pour les dégoter dans de sordides galeries de quartier, arrière-boutiques d’agences de voyages qui ne sont que des vitrines, toilettes de bars, escaliers de parkings, tous ces nids furtifs où fleurissent depuis des mois les petits arbres, comme ils se sont baptisés eux-mêmes, bien assortis au vert végétal du dollar, ces fauchés qui cherchent à gagner leur journée et sortent pour acheter et vendre lorsque les banques et les bureaux de change ont déjà baissé leur rideau et qu’il n’y a plus de cours des monnaies, ni officiel ni parallèle, un dollar totalement libre, postés en train de fumer derrière des colonnes, piétinant sur place, à première vue oisifs mais tous les sens en alerte, attentifs à l’apparition de gens désespérés comme lui, qui avec le temps apprennent à leur tour à les repérer tout de suite, y compris sur place, infiltrés dans la queue du dépôt, chauffant dans leurs poches les billets qu’ils vont revendre avec une surcote sidérale. Comment fait-il pour ne pas s’effondrer.
Hay días en que debe recorrer hasta cinco corralones diferentes —alejados entre sí y ubicados, por lo general, en puntos remotos de la ciudad, para llegar a los cuales pierde horas viajando— hasta dar no con el mejor, ni con el que le recomendaron, ni siquiera con el más barato, sino simplemente uno que tenga precio —un precio que él esté en condiciones de pagar, lo que, a esa altura del partido, con el costo de vida en alza a razón del ciento cincuenta por ciento mensual, quiere decir un precio razonablemente inadmisible— y no haya decidido acopiar lo que tiene para vender, como hacen la mayoría de los corralones, a la espera de que el precio vuelva a subir, ladrillos, arena, cemento, lo que sea que las hordas de maestros mayores de obras, arquitectos y albañiles, alertadas antes que él de la existencia del lugar, no se hayan llevado ya. Da con el lugar y llega, y cuando hace por fin su pedido, lleno de felicidad pero temblando, a tal punto sabe que la continuidad inmediata de la obra depende de la respuesta que le dé el capataz del corralón, una de tres: o le dicen que sí, que hay todo lo que pide y el dinero que le exigen por la compra no compromete de manera irreversible su ya diezmado presupuesto y todos contentos, o le dicen que sí, que hay todo, etcétera, pero llegado el momento de pagar no le piden pesos —que es lo que él lleva encima, menos por sentido práctico que por prudencia, porque, signo de los tiempos, basta la mera sospecha de que alguien esconde un puñado de billetes extranjeros para volverlo blanco de asalto— sino dólares, y dólares billete —moneda de asilo, por entonces, del ochenta por ciento de los comerciantes, que sin embargo seguirán atrincherados en ella cuando no haya motivos que lo justifiquen, un poco como los televisores que desembarcan en los bares con los primeros campeonatos mundiales de fútbol y terminan volviéndose parte del mobiliario cotidiano—, ese cash verde que él, si no quiere perder su pedido y que la obra se pare, deberá conseguir por las suyas antes del horario de cierre del corralón, a más tardar las seis de la tarde, es decir, dado que bancos y casas de cambio llevan ya media hora cerrados, rastrearlos en sórdidas galerías de barrio, trastiendas de agencias de viajes que son pura fachada, baños de bares, escaleras de playas de estacionamiento, todos esos nidos furtivos donde florecen desde hace meses los arbolitos, como se hacen llamar, bien a tono con el verde vegetal del dólar, esos lúmpenes que buscan hacerse el día y recién salen a comprar y vender cuando bancos y casas de cambio han bajado ya sus cortinas y no hay cotización de ningún tipo, ni oficial ni paralela, dólar libre total, fumando apostados detrás de columnas, dando vueltas sobre sí mismos, a primera vista ociosos pero con todos los sentidos alerta, atentos a la aparición de gente desesperada como él, que con el tiempo, a su vez, aprende a detectarlos enseguida, allí mismo, incluso, infiltrados en la cola del corralón, calentando en sus bolsillos los billetes que venderán con sobreprecios siderales.
(Le ton de Russ était brusque et le sourire de Lori n’était pas du tout assorti à son air désapprobateur.) Même si des gens répondant à ces noms existent réellement, ce n’est pas important. Il faut que nous… — Pas important ?
—El tono de Russ era cortante y la sonrisa de Lori distaba mucho de coincidir con la seriedad del rostro de él—. No importa que existan personas con esos nombres. Tendremos que… —¿Que no importa?
Une portion de ma vie et de mes voyages s’est passée à choisir les chefs de file d’une bureaucratie nouvelle, à les exercer, à assortir le plus judicieusement qu’il se peut les talents aux places, à ouvrir d’utiles possibilités d’emploi à cette classe moyenne dont dépend l’État.
Parte de mi vida y de mis viajes ha estado dedicada a elegir los jefes de una burocracia nueva, a adiestrarlos, a hacer coincidir lo mejor posibles las aptitudes con las funciones, a proporcionar posibilidades de empleo a la clase media de la cual depende el Estado.
— Tu as le chapeau assorti ?
—¿Te has comprado un sombrero a juego?
Assorti à la terre.
Hacían juego con la tierra.
Assorti à ses yeux.
Va a juego con el color de sus ojos.
Ce vert était assorti à ses yeux.
El verde hacía juego con sus ojos.
Et je te donnerai des boutons assortis !
¡Y le daré botones que hagan juego!
Et puis des costumes à paillettes assortis.
Y unos trajes con lentejuelas a juego.
Nous aurions des anneaux de nombril assortis. Ce serait pas génial ?
Así tendríamos anillos a juego. Mola, ¿no?
D’autres petits lapins, assortis à sa culotte.
Más conejitos, a juego con las bragas.
Si merveilleusement assortis à ses lèvres sensuelles.
A juego con sus labios sensuales.
Avions-nous déjà eu des salière et poivrier assortis ?
¿Alguna vez habíamos tenido un salero y un pimentero a juego?
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