Translation for "apportez" to spanish
Translation examples
Vous m’apportez un thé ?
¿Me puedes traer un té?
Apportez vos matériaux la nuit.
Tienen que traer el material por la noche.
— Quand est-ce que vous apportez vos bagages ?
—¿Cuándo traerá usted su equipaje?
– Débarrassez la table. Apportez du vin.
—¡Limpiad la mesa y traer más vino!
— J’espère que vous ne m’apportez pas une mauvaise nouvelle ?
—Espero que no me traerá ninguna mala noticia.
Apportez-vous les canards, demain ? — Oui, dit-elle.
—¡Ah! —¿Traerás los patos mañana?
Pouvez-vous y apporter votre kimchi quand il sera prêt ? Apportez tout.
¿Puedes traer tu kimchi cuando esté terminado? Tráelo todo.
sortez bombes nova du vaisseau apportez-les au bord du champ déplacer le champ
TRAER BOMBAS NOVA DE NAVE PONERLAS BORDE CAMPO TRASLADAR CAMPO
— Il va nous falloir la grosse artillerie, transmit Carl. Apportez tout ce que nous avons sous la main.
—Necesitaremos material pesado —emitió Carl—. Traer todo el que podáis conseguir.
Ce n’est pas pour des prunes que vous venez tous les jours à Ostende et que vous apportez des cadeaux à ne savoir où les mettre… »
Para algo vendrá usted todos los días a Ostende y traerá tantos regalos, que ya no se sabe dónde ponerlos…
Apportez vos souliers et je les mettrai dans ma chambre.
Traiga los zapatos y los llevaré a mi dormitorio.
Apportez-la-moi, et je vous emmènerai avec moi quand je m’évaderai.
Traédmela, y os llevaré conmigo cuando escape.
Vous apportez le fric et je vous conduis chez Agnès.
Traiga el dinero y yo le llevaré hasta Agnes.
— Oui, mademoiselle ? — Vous apportez ce plateau au prince, par hasard ?
—¿Sí, señorita? —¿No irá por casualidad a llevar eso al príncipe?
— Apportez l’argent, dit Spenser, et vous aurez le Bouddha.
—Usted traiga el dinero y se llevará el Buda —replicó el marchante.
Apportez-vous une serviette pour travailler ? — En général, oui. — Comment est-elle ?
¿Sueles llevar una cartera a la oficina? —añadió. —Sí. Casi siempre. —¿Cómo es?
La conférence qui a suivi était donnée par un pédiatre comportementaliste, qui avait fait plusieurs apparitions à la télévision, un Canadien aux cheveux gris et à la voix douce, qui a proposé, à un moment donné, une journée « Apportez votre peluche à l’école ».
El siguiente discurso corrió a cargo de un psicólogo infantil que había salido muchas veces en televisión, un canadiense de voz suave y pelo plateado que llegó a sugerirnos organizar un día de llevar los peluches al colegio.
On ouvrit : ils étaient tous nus dans le boudoir d’Emperatriz, tous les monstres qui me traînent, Melchor, Basilio, je vois leurs insolentes difformités comme s’ils n’en avaient pas honte, ne faites pas semblant de ne pas avoir honte, vous vous cachez ici, à la Rinconada, où vous savez que personne ne va se retourner pour vous regarder en criant, vous êtes des réfugiés, le cercle de terreur vous tient prisonniers, vous ne sortez jamais de la Rinconada, vous pourriez sortir si vous vouliez, vous avez la permission, mais vous ne sortez pas, vous ne pouvez pas sortir, tout comme moi qui ai la permission de sortir mais ne peux pas, bien que je sois normal, vous voyez bien que je suis normal, comment ne le verriez-vous pas en m’allongeant sur la chaise longue en moire rose d’Emperatriz… vous, les monstres, vous avez peur de sortir, nous avons peur de sortir, nous avons peur d’être vus, c’est pourquoi nous nous réfugions ici, comment le Dr Azula ne craindrait-il pas les regards, lui qui a tout le corps couvert d’écailles et des mains de rapace qui me touchent, me fouissent, m’examinent, tandis qu’Emperatriz m’ôte ma robe de chambre, me laisse en pyjama, me palpe le front et va continuer et au contact de la naine je ne peux plus me contenir, je m’ouvre tout entier et je chie et, en s’écoulant, ma merde liquide, fétide et noire souille la moire, l’Aubusson, les petits meubles, les voilages des rideaux, les monstres nus se couvrent la figure avec des mouchoirs blancs, se bouchent le nez, s’enfuient, ils ne peuvent pas me supporter, je suis trop dégueulasse, le Dr Azula pense que je suis en train de perdre mon sang depuis plusieurs jours, c’est très grave, il faut opérer, et on ne peut pas opérer parce que je suis trop faible, j’ai perdu trop de sang, il me soulève la paupière, blanche, une analyse de sang, prendre la température, apportez-moi mes appareils, la tension ne cesse de baisser, les monstres se bouchent le nez, ma personne les dégoûte mais la curiosité les cloue autour de moi, ils se couvrent la figure avec des mouchoirs parce que je continue de chier, transfusion sanguine, dit Azula, je n’ai rien à craindre entre les mains du Dr Azula. Qui veut donner son sang pour don Humberto ? Moi, moi, moi, ils veulent tous donner leur sang monstrueux comme s’ils avaient envie de s’en débarrasser, ils se sont habillés de blanc pour dissimuler que je les ai surpris en pleine orgie, nus mais vêtus de blanc, déguisés en infirmiers avec des blouses et des masques en tissu qui ne cachent pas leurs monstruosités, toi, c’est Melisa, je te reconnais à tes lunettes noires, toi, Basilio, impossible de se tromper, toi Emperatriz, toi Azula et toi Mateo, même la téléphoniste aux oreilles en ailes de chauve-souris a quitté son standard pour s’habiller elle aussi de blanc et assister à ce qui pourra se passer – membres d’un ordre mystérieux, moines à domino blanc pour un bal de fantaisie où le masque n’est pas de rigueur, car chacun en a un différent, et les monstres attifés de dominos blancs et de masques fantastiques manipulent des thermomètres, des sondes, des seringues, des lavements et des rayons X, d’en haut un flacon de sérum se vide lentement en moi. Un ballon rouge me remplit la veine de l’autre bras du sang d’un autre monstre et je sens la puissance du sang de Basilio s’infiltrer en moi, mes bras grossissent, ma mâchoire se développe, on est en train de me monstruifier, le sang de Berta m’immobilise les jambes, je ne pourrai plus que les traîner de façon décorative, telle la queue d’un lézard, et leurs monstruosités spécifiques étant anéanties par leurs dominos blancs, je ne distingue plus qui ils sont, ça n’a pas d’importance, car je fais la différence des sangs qui me pénètrent, comme s’ils avaient des saveurs distinctes pour les reconnaître, le sang d’Emperatriz me rabougrit, celui de Boy me fait pousser une bosse, celui de Melchor me remplit de bourgeons rouges qui font comme des marbrures en se détachant sur le blanc du sang que m’a donné Melisa, j’ai perdu forme, je n’ai plus de limites définies, je suis fluctuant, changeant, comme vu à travers une eau courante qui me déforme au point que je ne suis plus moi, je suis ce vague crépuscule de conscience peuplé de figures blanches qui viennent me piquer la veine, combien de globules rouges ?
Todos desnudos en el boudoir de Emperatriz, todos los monstruos que me arrastran, Melchor, Basilio, veo sus deformidades desafiantes como si no tuvieran vergüenza de ellas, no jueguen a que no tienen vergüenza, ustedes están escondidos aquí en la Rinconada donde saben que nadie va a dar vuelta la cabeza para mirarlos riéndose, están refugiados, el círculo de terror los tiene presos, no salen nunca de la Rinconada, podrían salir si quisieran, tienen permiso, pero no salen, no pueden salir, como yo tengo permiso para salir pero no puedo salir a pesar de ser normal, ven que soy normal, cómo no van a verlo si me están tendiendo en la chaise-longue de moaré color rosa de Emperatriz… ustedes, monstruos, tienen miedo de salir, tenemos miedo de salir, tenemos miedo de que nos vean y por eso nos refugiamos aquí, cómo no va a tener miedo el doctor Azula de que lo vean con todo su cuerpo cubierto de escamas y sus manos de ave de rapiña que me tocan, me hurgan, me examinan, mientras Emperatriz me saca la bata, me deja en piyama, me palpa la frente y me va a seguir palpando y con ese contacto de la enana no puedo contenerme más, me abro entero y me cago y mi mierda líquida y fétida y negra cae manchando el moaré, el Aubusson, los petits meubles, los velos del cortinaje, los monstruos desnudos se cubren la cara con pañuelos blancos, se tapan las narices, huyen, no me soportan, soy demasiado asqueroso, el doctor Azula opina que debo llevar varios días desangrándome, esto es muy grave, hay que operar, no se puede operar porque estoy demasiado débil, he perdido demasiada sangre, me abre el párpado, blanco, necesario el examen de sangre, tomar presión, tráiganme mis aparatos, baja y baja y baja y baja la presión de la sangre, los monstruos se tapan las narices asqueados de mi persona pero la curiosidad los clava cerca, se cubren la cara con pañuelos porque sigo cagándome, transfusiones de sangre, dice Azula, no puedo temer nada en manos del doctor Azula. Quién quiere donar sangre para don Humberto, yo, yo, yo, yo, todos quieren donar su sangre monstruosa como si desearan deshacerse de ella, se han vestido de blanco para disimular que los sorprendí en una orgía, desnudos pero vestidos de blanco, disfrazados de enfermeros con delantales y con mascarillas que no ocultan sus monstruosidades, tú eres Melisa, te reconozco por las gafas negras, tú Basilio, cómo confundirte, y tú Emperatriz y tú Azula y tú Mateo y hasta la telefonista de orejas de alas de murciélago ha abandonado el conmutador para vestirse también de blanco y presenciar lo que haya que presenciar, miembros de una orden misteriosa, monjes de dominós blancos para un baile de fantasía en que la careta no es de rigor porque cada cual tiene la propia, y los monstruos ataviados con dominós blancos y caretas fantásticas manejan termómetros, sondas, inyecciones, lavativas y rayos equis, un frasco de suero va vaciándose lentamente dentro de mí desde lo alto. Una bolsa roja me llena la vena del otro brazo con sangre de monstruo y siento cómo la sangre poderosa de Basilio va escurriéndose dentro de mí y crecen mis brazos y se me abulta la mandíbula, me están monstruificando, la sangre de la Berta me inutiliza las piernas que ya sólo podré arrastrar decorativamente como la cola de un lagarto, y con sus monstruosidades específicas e individuales anuladas por sus dominós blancos ya no distingo quién es quién, no importa porque distingo las sangres que me van penetrando como si tuvieran sabores distintos que reconozco, la sangre de Emperatriz me encoge, la de Boy me produce una joroba, la de Melchor me llena de grumos colorados formando una especie de mármol al revenirse en la blancura de la sangre que me dio Melisa, he perdido mi forma, no tengo límites definidos, soy fluctuante, cambiante, como visto a través de agua en movimiento que me deforma hasta que yo ya no soy yo, soy este vago crepúsculo de conciencia poblado de figuras blancas que vienen y me pinchan la vena, cuántos glóbulos rojos, ya casi no le quedan, me inyectan, esto es para que no sienta dolor, pero si no siento dolor, ustedes me están inventando esta enfermedad, para qué quieren convencerme de que estoy grave si no siento dolor, vienen y me toman la temperatura, vienen y me toman la presión, mueven la cabeza, mal, esto va mal, va perdiendo demasiada sangre, habrá que ponerle otra unidad más de sangre, de quién será, atento, trato de descifrar lo que contiene esa sangre, qué monstruosidad ajena se va incorporando a mi ser, qué sangre opulenta se va sumando a mi sangre insignificante, de quién es este calor desconocido que gota a gota va penetrándome con la intención de salvar mi vida.
Apportez tout ce que pouvez trouver qui puisse former un rebord.
Traigan todo lo que puedan para hacer un marco alrededor del cuerpo.
Vous, les mecs, vous apportez une très utile contribution, en particulier avec le forage vertical.
Vosotros vais a hacer una contribución útil, especialmente en la excavación vertical.
heu... votre copie d’examen est là-bas, sur la commode. En haut de la pile. Apportez- la-moi s’il vous plaît. »
Su boleta de examen está sobre la cómoda. Encima de la pila. ¿Quiere hacer el favor de alcanzármela?
En attendant, si vous l'arrêtez, apportez-moi vite ses empreintes, que je puisse faire les comparaisons dès que j'aurai quelque chose de mon côté...
Entre tanto, si lo detienes, mándame una tarjeta con las huellas para que pueda hacer la comparación en cuanto tenga algo aquí.
Gervasi, apportez-moi votre carnet : je veux voir si vous serez aussi contente du mot que vous devrez faire signer.
Gervasi, tráigame el cuaderno: quiero ver si también se pone contenta con la comunicación que tendrá que hacer firmar en casa.
Je vous invite à dîner à la maison, et comme accessoires de débauche, apportez donc tous les dossiers de l’affaire Espinet. — Je m’en doutais. Qu’allons-nous faire ?
Lo invito a cenar en mi casa, y como materiales de la orgía le propongo que traiga todos los expedientes del caso Espinet. —Ya me imaginaba algo así. ¿Qué vamos a hacer?
Si j’ai contribué de quelque manière que ce soit à l’aide que vous apportez aux habitants de cette ville, alors ce que vous avez gracieusement fait dans cette maison est une compensation plus que suffisante à mes yeux.
Si he contribuido de algún modo a facilitar los servicios que presta usted a las gentes de esta ciudad, lo que ha tenido la bondad de hacer por esta casa es recompensa más que suficiente.
— Charles ! Encore qu’il s’agisse d’un singe, vous êtes en train de chercher la petite bête ! Je sais que vous apportez vous-même des quartiers de pomme à Jacko, que vous lui apprenez mille tours et que vous recommandez aux enfants de bien le couvrir pour la nuit. Et ensuite vous venez me dire que c’est une vilaine bête dont vous voudriez vous débarrasser !
–¡Charles, eso lo dices sólo para fastidiarme! – exclamó ella-. No puedes darle trocitos de manzana a Jacko y enseñarle a hacer trucos, y decirles a los niños que por la noche lo tapen con una manta, y de repente ordenar que hay que librarse de él.
— Apportez-moi mon café. — Bien, monsieur. Le serviteur s’affaira auprès du percolateur et lui tendit une tasse d’expresso noir et corsé. — Qu’est-ce que je peux faire ? Elle me tient, fit Gram, prenant à témoin toute l’assistance. Il rangea la liasse de documents dans le tiroir du bureau, près de son lit. — Nous n’avons plus rien à discuter.
Dirigiéndose a uno de sus criados le ordenó: —Trae mi café. —Sí, señor. El ayudante se apresuró a preparar la cafetera y luego le dio una taza llena de un café negro, muy fuerte. —¿Qué puedo hacer? —preguntó Gram a sus ayudantes y a cuantos se hallaban en el dormitorio, como suplicándoles—. Me tiene cogido. —Dejó el fajo de documentos en el cajón de su mesita de noche—.
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