Translation for "abasourdie" to spanish
Translation examples
Elle était abasourdie.
Se sentía aturdida.
Exilées et abasourdies.
Exiliadas y aturdidas.
Elle le regarda, abasourdie.
Ella lo miró aturdida.
Samia était abasourdie.
Samia estaba como aturdida.
Je crois qu'elle était un peu abasourdie
—Muy poco. Creo que estaba aturdida.
« Oh. » Elle était abasourdie.
—¡Uf! —exclamó ella, con mirada aturdida.
Abasourdie, Nuria se tait.
Nuria, aturdida, calla.
Je me redressai, un peu abasourdie.
Me reincorporé en la cama algo aturdida.
J’étais amorphe, hébétée, abasourdie.
Me quedé paralizada, aturdida, desconcertada.
J’étais si abasourdie que je n’ai pu lui répondre.
Yo estaba aturdida y no pude contestarle.
— Je suis comme abasourdie... pas vous ? 
—Estoy pasmada… ¿usted también?
Bellis avait accepté, abasourdie.
Pasmada, Bellis había accedido.
Akhila la regarda, abasourdie.
Akhila la miró pasmada.
 Abasourdie, elle se mit à pleurer.
Ella se quedó pasmada y empezó a llorar.
Laurie fut abasourdie par ce que son père lui suggérait.
Laurie estaba pasmada por la sugerencia de su padre.
Jeannie et Lisa le dévisagèrent, abasourdies.
Jeannie y Lisa se lo quedaron mirando, pasmadas.
Otsū le considéra en silence, abasourdie.
Otsū le miró a la cara, pasmada y silenciosa.
« Mais bien sûr ! s’écria Leah abasourdie.
—¡Por supuesto! —gritó Leah pasmada—. Por supuesto.
Et puis j’ai compris les raisons de cette fascination, et j’en suis restée abasourdie.
Y llegué a comprender el motivo de mi fascinación, y me dejó pasmada.
— Bonjour, Matt, répond Heather en agitant la main et je suis abasourdie par leur échange.
—Hola, Matt. Heather corresponde al saludo con la mano y me quedo pasmada.
Abasourdie, Daisy murmura :
Atontada Daisy susurró:
«D'après ce qu'elle écrit, elle semble abasourdie.
—Escribe como si estuviera atontada.
Quant à moi, j’étais comme abasourdie par la soudaineté de l’événement.
En cuanto a mí, estaba como atontada por lo súbito del suceso.
Abasourdie, Fleur de soufre ne bougeait toujours pas.
Piel de Azufre seguía aún como atontada.
Le palmier l’avait manquée de moins de cinquante centimètres, et elle était abasourdie et terrifiée.
La palmera cayó a escasos centímetros de ella y se quedó atontada y aterrorizada.
Lorsque, enfin, il parvient à se soustraire aux bousculades, Zunaira est abasourdie par le soleil.
Cuando consigue por fin librarse de los empujones, el sol ha dejado ya atontada a Zunaira.
Au début, trop abasourdie pour rire ou pleurer, elle ne peut qu’écouter, captivée.
Al principio, demasiada atontada para reír o llorar, ella solo puede oír, asombrada.
Tandis qu'elle le regardait, abasourdie, il prit une ample robe blanche, sans manche et sans ceinture, simplement deux hauteurs, d'étoffe blanche et fine, cousues aux épaules et sur les côtés. « Vous enlevez ça ou dois-je vous aider ?
Mientras Lessa le miraba con aire atontado, F'lar sacó del baúl un vestido blanco, sin mangas y sin cinturón, algo tan simple como dos trozos de tela fina cosidas por los hombros y los costados. —¿Te desvistes tú o te desvisto yo?
Oui, c’est ainsi qu’avaient été les nuits à travers lesquelles il avait cheminé toute sa vie, les nuits qu’il avait passées en vigilance, redoutant l’inconscient qui dangereusement gît au-dessous des sphères nocturnes, ne redoutant pas moins la zone au-dessus d’elles, la zone sans ombres – oh ! menace de l’infidélité envers Pan – danger du sommet et de l’abîme, parce que l’un comme l’autre porte la menace de l’intemporel, la menace janusienne du sommeil. Oh ! les nuits de sa vie, nuits qui l’avaient cloué au seuil de ce double adieu, elles faisaient partie du sommeil universel qui demeure à jamais et que rien ne peut changer, bien que l’homme ait continuellement voulu l’interrompre ; il a voulu l’interrompre en bâtissant des villes et encore des villes, en y suscitant le tumulte de leurs places, leurs rues et leurs ruelles, leurs maisons obscènes et leurs cabarets, et il a voulu l’interrompre en s’adonnant de plus en plus à un déchaînement dont le vacarme vient comme un écho inaudible de toutes les parties du monde habité et de toutes les époques, même les plus lointaines, s’accumulant dans la conscience et l’aiguisant tout cela n’était qu’une forme de sommeil, et bien que les puissants du monde aient bâti des salles de fêtes et encore des salles, les remplissant de l’éclat des torches et de musique, s’y faisant entourer par des corps et encore des corps, par des visages et encore des visages, pour s’y faire courtiser par eux et recevoir leurs sourires admiratifs, mais aussi pour leur rendre leurs sourires et les courtiser en retour, afin qu’ils restassent des admirateurs fidèles, cela aussi n’était qu’une forme de sommeil, et bien que les feux de bivouac brûlassent non seulement ici, non seulement devant les palais et les forteresses, mais aussi partout où il y avait la guerre, là-bas sur les frontières, là-bas au bord des fleuves noirs de nuit, là-bas aux lisières des forêts qui bruissent dans leurs ombres dormantes, tandis que les barbares surgissaient de l’obscurité impénétrable des broussailles, tout en annonçant leur attaque par des rugissements coupants, cela aussi n’était qu’une forme de sommeil, c’était du sommeil et encore du sommeil, sommeil comme celui des vieillards nus dans leurs antres puants, sommeil vers lequel ils fuient, vers lequel ils se traînent pour s’y débarrasser de leur dernier reste d’éveil, et c’était un sommeil comme celui des nourrissons muets qui, après la misère de leur naissance morne, entrent en rêvant sans rêves dans un évanouissement qui sera l’éveil de leur vie future, et c’était un sommeil comme celui de la troupe enchaînée des galériens qui, enfermés au fond des navires, se jettent à l’heure du repos sur tout ce qui est proche, sur un rouleau de cordages ou, simplement sur les vergues, y tombent et restent allongés, ressemblant à un grouillement de vermine abasourdie, c’est du sommeil et encore du sommeil, et quelque forme qu’il prenne, il est le grand sommeil du grand troupeau ;
sí, tales habían sido esas noches, rechazadas al umbral de la doble despedida, noches del sueño de los mundos inmutablemente igual, tanto en las plazas como en las calles, como en las tabernas, iguales irrecusablemente desde el comienzo en ciudades y más ciudades, resonantes imperceptiblemente desde todas las lejanías del tiempo y por eso mismo más insistentemente sabidas; los hombres hacían ruido: también esto era sueño, aunque los poderosos del mundo se hicieran festejar en lugares de fiesta y más fiesta, rodeados por los reflejos de las antorchas y la música, sonreídos por rostros y más rostros, cortejados por cuerpos y más cuerpos, sonriendo ellos mismos, cortejando ellos mismos; sueño esto también, aunque ardieran los fuegos de guardia, no sólo ante los castillos, sino también fuera, donde había guerra, en los confines, en los ríos negros de noche y en las lindes de los bosques rumorosos de noche y entre el centelleante clamoreo del asalto de los bárbaros surgiendo de la oscuridad; oscuridad; sueño también esto, sueño y más sueño como el de los ancianos desnudos, que en cuevas pestilentes dormían para quitarse del cuerpo el último residuo de consciencia, como el de los lactantes que soñaban sin ensueños la sorda vigilia de una vida futura desde la miseria de su nacimiento, como el de la tropa de esclavos encadenados en los vientres de las naves, tendidos como gusanos atontados sobre los bancos, sobre las planchas, sobre los atados de sogas, sueño y más sueño, rebaño y más rebaño, destacándose sobre la confusión de su suelo primigenio como filas de alcores en la noche descansando en la llanura, sumergidos en lo inexorablemente materno, en el constante retorno que no es aún eternidad y a pesar de ello da a luz en cada noche de la tierra;
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test