Translation for "écrit la" to spanish
Translation examples
Deux cent cinquante-quatre. En chiffres romains, ça s’écrit CCLIV.
Escríbelo como una fecha: doscientos cincuenta y cuatro, CCLIV.
Et de toute façon, pas question de prendre le risque. — Un ordre écrit de ta main, Alviarin.
Sin embargo, no podía correr el riesgo—. Escríbela tú misma, Alviarin.
Bien... Toi, assieds-toi et note tout par écrit. Avec les détails. Et écris lentement parce que vos pattes de mouche, à vous autres indigènes, sont indéchiffrables.
Ahora siéntate y escríbelo todo. Escribe despacio, porque no puedo leer vuestras patas de gallo.
Écris, si tu y parviens, je veux rester en paroles écrites, et si tu n’écris pas tout de suite, eh bien enregistre au moins tout ça dans ta tête, mentalement, pour écrire ensuite avec tes propres mots, comme j’ai compris que tu savais le faire, quelqu’un te raconte une chose et ce que tu écris en semble une autre… Dis à la Frau qu’elle vienne m’administrer la morphine, et repasse plus tard, la dose précédente a déjà fait son effet, la douleur me pousse à la plainte même si je ne le veux pas et cela me déprime… T’ai-je déjà parlé de Vanda ?, je ne me souviens plus…
Escribe, si eres capaz, quiero perdurar en palabras escritas, y si no escribes enseguida, por lo menos grábatelo en la cabeza, mentalmente, y escríbelo después con palabras tuyas, como he entendido que sabes hacer, que uno te cuenta una cosa y tú la escribes y parece otra cosa… Dile a la Frau que venga a ponerme la morfina, y pasa más tarde, el efecto de la otra ya se ha pasado, el dolor hace que me queje aunque no lo quiera y eso me deprime… ¿Ya te he hablado de Vanda?, no me acuerdo…
Mais il nous faut d’abord mettre les choses au clair, car je ne voudrais pas que tu aies la conviction que c’est moi qui t’ai demandé de venir… ça a été toi, tu le sais mieux que moi, moi je t’ai sifflé et tu es accouru aussitôt parce que tu n’attendais que ça… ça te faisait envie… Excuse-moi de te le dire seulement aujourd’hui, les pactes devraient être stipulés tout de suite, comme entre gentlemen, une poignée de main et si on est d’accord l’affaire est faite, mais c’est que j’ai commencé à raconter et je me suis un peu perdu, même si je voulais te le dire d’entrée, tu peux me croire… Voilà… la proposition c’est que je voudrais qu’en échange tu dises une chose… je tiens à ce que nous nous mettions d’accord parce que vous les écrivains je vous connais, peut-être qu’à un certain moment la narration vous prend, elle s’impose, il vous apparaît qu’une chose comme celle-là n’a rien à voir avec le reste car elle casse le rythme, et ça passe à la poubelle… Cette histoire c’est moi qui la raconte, mais c’est toi qui l’écris, et qui me garantit que tu mettras dans ton livre une chose qui pourra te sembler insignifiante et qui pour toi n’a rien à voir avec le reste ?… Et au contraire elle a à voir, elle a beaucoup à voir, et c’est pour ça qu’il faut se mettre d’accord, moi je te raconte ce que j’ai promis de te raconter, mais toi ce détail tu l’écris, car les choses écrites ont une autre valeur, dit-on… précise bien que c’est un héros national qui l’a demandé, et pas le premier venu, un type avec la croix de guerre sur la poitrine, et qui sait si ça ne fera pas un certain effet aux Anglais, les Anglais ont de l’estime pour l’héroïsme, ils l’ont pratiqué sans compter, et s’ils n’avaient pas été là quand Tristano se trouvait dans les montagnes… ça tu peux l’écrire, que Tristano les admira sincèrement, à cette occasion… en d’autres occasions moins, je veux dire pour certaines choses qu’ils ont faites ailleurs, et il n’y a pas besoin d’aller si loin, il suffit de penser au pays de sa Daphné, où ils soutinrent ce gros fasciste de maréchal Papagos, et donnèrent aux Grecs un nouveau duce et un nouveau roi, après Metaxás, voilà comment les Anglais conçoivent la démocratie chez les autres… Mais venons-en au concret… personnellement je ne saurais pas trouver la formule adaptée, mais les mots justes c’est ton travail, il faut du tact, de la diplomatie, autrement quel écrivain serais-tu… Le problème, ce serait les marbres du Parthénon… c’est cela que Tristano voudrait que tu demandes, les marbres qu’un lord anglais, qui était ambassadeur en Turquie quand les Ottomans dominaient la Grèce, avait fait dépiauter du Parthénon pour les emmener en Grande-Bretagne, comme quelqu’un qui, sur une route déserte, trouverait une femme évanouie à qui il arracherait son collier pour le porter à sa femme… Exactement ainsi, les dépiauter, c’est le mot, l’écrivain, les ouvriers de ce brigand travaillaient au pic et au marteau… j’ai lu il y a longtemps la description détaillée de quelqu’un qui avait assisté au viol, mais je te l’épargne… Tu sais, ils n’ont alors pas emporté un tableau, qui irait bien sur n’importe quel mur, non, c’est un paysage qu’ils ont volé… les gens qui justifient ce viol ont certaines théories… je ne sais pas, qu’au British Museum les frises sont magnifiquement éclairées… comme si le soleil de la Grèce était moins lumineux que les néons anglais… ou encore que quand le lord les emmena elles n’étaient déjà plus les frises du temple d’origine, étant donné que les Ottomans avaient transformé celui-ci en mosquée… beau raisonnement, mais les Ottomans avaient seulement changé le contenu, qui n’est pas grand-chose, il en faut peu pour substituer un dieu par un autre, ils n’avaient en rien changé le contenant… les chers petits, j’aimerais bien les voir, ces braves théoriciens, s’ils retrouvaient la flèche de leur abbatiale de Westminster au musée d’Athènes… Le lord en question s’appelait Elgin, lord Elgin, écris-le, pour que les Anglais n’aient pas à le confondre avec un autre lord, étant donné tous les lords qu’il y a en Angleterre… Bref, écris que Tristano aurait voulu qu’ils restituent ces marbres au propriétaire légitime, qui est un temple sublime sans la construction duquel par Athènes ils n’auraient pas leur Chambre des lords et se consacreraient encore à l’élevage des moutons… et rappelle-leur Byron, qui mourut pour ces choses-là, ça leur fera peut-être de l’effet, qui sait… Et si tu veux, ajoute qu’outre la diplomatie normale, qui formule ses justes requêtes, ces marbres avaient déjà été demandés par un grand poète que cependant personne ne connaissait, car il vivait comme n’importe quel quidam dans des chambres de location, le sieur Cavafis, et que Tristano se permettrait volontiers de renouveler la gentille proposition de ce poète, un siècle a désormais passé depuis cette requête, elle devrait être arrivée aux oreilles des Anglais… Voilà, c’est ma proposition, je te raconte ce que tu voulais entendre, et tu m’écris le souhait de Tristano, d’après moi tu y gagnes… Ça te va ?
Pero antes tenemos que poner las cosas en claro, porque no quisiera que tú te convencieras de que he sido yo el que te ha pedido que vinieras… fuiste tú, lo sabes mejor que yo, yo te silbé y tú acudiste de inmediato porque no esperabas otra cosa… se te hacía la boca agua… discúlpame por no decírtelo hasta ahora, los acuerdos deberían estipularse desde el principio, como se hace entre caballeros, un apretón de manos y si se está de acuerdo, trato hecho, pero es que me lancé a contarte cosas y me distraje un poco, aunque quisiera habértelo dicho desde el principio, créeme… Pues verás… la propuesta es que quisiera que a cambio tú dijeras una cosa… me interesa que nos pongamos de acuerdo porque a vosotros los escritores os conozco bien, a la hora de la verdad la narración acaba por arrastraros, se impone, os parece que una cosa como esta no tiene nada que ver con todo lo demás porque rompe el ritmo, y adiós muy buenas… Esta historia la cuento yo pero la escribes tú, y ¿quién me garantiza que en tu libro meterás algo que podría parecerte insignificante y que para ti no tiene nada que ver con todo lo demás?… Pues tiene que ver, tiene que ver y mucho, y por eso es necesario que nos pongamos de acuerdo, yo te cuento lo que he prometido contarte, pero tú debes escribir ese detalle, porque las cosas escritas tienen un valor distinto, eso dicen… y especifica bien que lo ha pedido un héroe nacional, no un fulano cualquiera, uno con la cruz de guerra en el pecho, y quién sabe si eso no les causará a los ingleses un cierto efecto, los ingleses aprecian el heroísmo, lo han practicado sin contención, y si no hubiera sido por ellos cuando Tristano estaba en el monte… eso puedes escribirlo, que Tristano los admiró sinceramente, en aquella ocasión… en otras ocasiones, menos, y me refiero a otras cosas que han hecho en otras partes, y no es necesario irse demasiado lejos, basta con pensar en el país de su Daphne, allí apoyaron a ese fascistón del mariscal Papagos, y a los griegos les dieron un nuevo caudillo y un nuevo rey, después de Metaxas, es así como los ingleses conciben la democracia en casa ajena… Pero vayamos al grano… personalmente, yo no sabría encontrar la fórmula idónea, pero las palabras adecuadas son tarea tuya, hace falta tacto, diplomacia, en caso contrario, qué clase de escritor serías… El problema consiste en los mármoles del Partenón… es eso lo que Tristano quisiera que tú pidieras, los mármoles que un lord inglés que estaba de embajador en Turquía cuando los otomanos sojuzgaban Grecia hizo desollar del Partenón para llevárselos a Gran Bretaña, como alguien que se encontrase en una carretera desierta a una señora desmayada y le arrancara el collar para llevárselo a su mujer… Eso precisamente, desollarlo, esa es la palabra, escritor, los peones de aquel bandido le dieron al pico y a la maza… hace muchos años leí la descripción detallada de uno que asistió al estupro, pero prefiero ahorrártela… Verás, no es que se cogieran un cuadro, que está bien en cualquier pared, robaron un paisaje… los defensores del robo sostienen ciertas teorías… qué sé yo, que los frisos en el British Museum están magníficamente iluminados… como si el sol de Grecia fuera menos luminoso que las luces de neón inglesas… o bien que cuando el lord se los llevó, no eran ya los frisos del templo originario, dado que los otomanos lo habían transformado en una mezquita… bonito razonamiento, pero los otomanos solo habían cambiado su contenido, que es cosa nimia, qué cuesta sustituir a un dios por otro, no habían cambiado en absoluto el continente… qué simpáticos, ya me gustaría verlos, a estos brillantes teóricos, si se encontraran los pináculos de su abadía de Westminster en el museo de Atenas… El lord en cuestión se llamaba Elgin, Lord Elgin, escríbelo, no sea que los ingleses vayan a confundirlo con cualquier otro lord, con todos los lores que hay en Inglaterra… En definitiva, escribe que Tristano deseaba que restituyeran esos mármoles a su legítimo propietario, que es un templo sublime que, de no haber sido construido por Atenea, ellos ni la cámara de los lores tendrían y aún se dedicarían al pastoreo… y si acaso, recuérdales a Byron, que por estas cosas murió allí, tal vez les haga efecto, quién sabe… Y si quieres, añade que además de la diplomacia normal, que plantea sus justas peticiones, aquellos mármoles ya los había pedido un gran poeta a quien sin embargo no conocía nadie, porque vivía como un don nadie en habitaciones de alquiler, el señor Kavafis, y que Tristano se permite repetir la amable solicitud de aquel poeta, desde aquella solicitud ha pasado un siglo, hasta los oídos de los ingleses debería de haber llegado… Pues eso, la propuesta es esta, yo te cuento lo que quieres escuchar, y tú me escribes el deseo de Tristano, en mi opinión sales ganando… ¿De acuerdo?
Pourquoi lui aurait-elle écrit ?
¿Qué motivo tenía para escribirlo?
Pourquoi je lui aurais écrit ?
¿Por qué iba a escribirle?
Tu lui avais écrit un poème !
¿Vas a escribirle un poema?
Puis il l’avait de nouveau écrite ;
Después volvió a escribirla;
À elle, Brigid avait toujours écrit.
A ella, Brigid no había dejado de escribirle.
Je ne repartis pas à la maison pour tout mettre par écrit.
No fui a casa para escribirlo todo.
— Mais pourquoi par écrit puisque… — C’est un poète. — Mais pas elle.
—Pero ¿para qué escribirlas si…? —Él es poeta. —Y ella no.
Qu’est-il devenu après l’avoir écrite ?
¿Qué siguió siendo después de escribirla?
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