Traduzione per "sont confesser" a spagnolo
Sont confesser
Esempi di traduzione.
son confesar
à l’amener à se confesser ?
¿Pero también para confesar?
Devait-il se confesser?...
¿Tendría que confesar?
— Qu’est-ce qu’il faut que je confesse ?
—¿Qué tengo que confesar?
Mais il alla tout de même se confesser.
Pero no se fue a confesar.
Tu dois t’en confesser.
Has de confesar tu crimen.
Et pourquoi confesser ?
¿Y por qué debo confesar esto?
Se confesser n’est pas trahir.
Confesar no es traicionar.
Elle se bornait à confesser :
Se limitaba a confesar.
— Je ne vais pas me confesser
-No pienso confesar.
Mais on ne se confesse pas de ses rêves.
Pero los sueños no se confiesan.
Tout le monde se confesse.
Todos confiesan siempre.
Elle eut le sentiment quelle avait touché un point sensible. L’avait-elle effectivement touché ? — Est-ce qu’ils vont se confesser ? lui de-manda-t-elle.
Tenía la impresión de haberle tocado un nervio. ¿Lo habría hecho? —¿Se confiesan? —preguntó ella.
Hester avait beau me répéter qu’une loi du Massachusets accorde la vie à la sorcière qui se confesse, j’avais peur.
Tenía miedo a pesar de que Hester no cesaba de repetirme que una ley de Massachusetts concede la vida a las brujas que confiesan.
Tout comme les catholiques les plus érudits continuent à communier et à se confesser, Singh, à Bombay, ne cessait jamais de recruter, d’inciter, de discuter.
Así como los más eruditos teólogos católicos toman la comunión y se confiesan, así Singh no dejó de reclutar, incitar y debatir con los jóvenes de Bombay.
(Cette remarque frappait juste, mais William ne pensait pas que le Jaff savait à quel point.) Vous croyez connaître tous ces gens, continua-t-il, mais ils ont tous des terreurs qu’ils n’ont jamais confessées ; des coins sombres qu’ils dissimulent de leurs sourires.
—Eso causó gran impresión a William, que se sintió aludido, aunque se decía que el otro no se había dado cuenta—. Tú crees que conoces a toda esa gente —prosiguió el Jaff—, pero luego resulta que todos tienen miedos que no confiesan: lugares oscuros que cubren con sonrisas.
par la bouche desquels Dieu manifeste sa volonté se recrutent à tous les niveaux de la société, avec une proportion assez remarquable de prêtres, de dames de la haute qui bêlent leur amour du prochain et portent à leur corsage l’image sacrée du Cœur de Jésus d’où coule un joli filet de sang, d’épouses de gradés qui sont du dernier bien avec le père Untel nettoyeur de consciences, de cafetiers, de boulangers, de chevriers, de garçons de ferme, de nigauds faciles à catéchiser, de traîne-savates en manque d’exercice, de petites gens que l’on persuade de se décorer d’un pétard à la ceinture au nom de la nation en péril, de petites frappes et de grandes canailles qui repeignent de frais leur conscience en enfilant la tenue bleue censée leur restituer l’honneur perdu, de braves gens et d’autres plus saumâtres, et d’un nombre conséquent de personnes ordinaires, c’est-à-dire ni bonnes ni mauvaises, c’est-à-dire d’une honnête médiocrité ainsi que le disait mon cher Nietzsche, c’est-à-dire comme vous et moi, c’est-à-dire qui vont régulièrement à confesse pour vidanger leurs péchés, ne manquent jamais la messe du dimanche ni le match de foot du samedi, sont pourvues d’une épouse et de trois enfantelets, et ne sont pas des monstres, ce qu’on appelle des monstres, assez proches en cela des militants du, mais non, non, pas de comparaisons tirées par les cheveux, qui ne sont pas des monstres, ce sont les circonstances seules qui sont monstrueuses, disait Bernanos, et les gens les subissent, ou plutôt ils y adaptent le petit nombre d’idées générales dont ils peuvent disposer.
por boca de los cuales Dios manifiesta su voluntad se reclutan entre todos los niveles de la sociedad, con proporción bastante notable de sacerdotes, de señoras de alto copete que claman su amor al prójimo y lucen en su blusa la imagen sagrada del Corazón de Jesús del que corre un bonito hilillo de sangre, de esposas de suboficiales a partir un piñón con el padre Fulánez limpiador de conciencias, de dueños de bares, de panaderos, de cabreros, de mozos de granja, de pánfilos fáciles de catequizar, de vagabundos ociosos, de gentecilla a quien se ha convencido de que se prenda un revólver en el cinturón en nombre de la nación en peligro, de golfillos y grandes canallas que se repeinan a fondo la conciencia enfundándose el uniforme azul para recobrar supuestamente el honor perdido, de buena gente y de otra más desagradable, y de un número considerable de personas normales, o sea ni buenas ni malas, o sea de honesta mediocridad como decía mi querido Nietzsche, o sea como usted y como yo, o sea que se confiesan regularmente para vaciarse de pecados, no faltan nunca a la misa del domingo ni al partido de fútbol del sábado, poseen esposa y tres criaturas, y no son monstruos, eso a lo que llamamos monstruos, bastante afines en eso a los militantes del... pero no, no, nada de comparaciones nebulosas, no son monstruos, sólo las circunstancias son monstruosas, decía Bernanos, y la gente las sufre, o mejor dicho les adapta el pequeño número de ideas generales de que puede disponer.
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