Traduction de "comprenaient" à espagnol
Exemples de traduction
Ils comprenaient parfaitement.
Lo habían entendido a la perfección.
Ils se comprenaient en silence.
Se habían entendido en silencio.
Il ne savait pas s’ils comprenaient ou non.
Wolframio no sabía si le habían entendido o no.
Il ne s’apercevait sans doute pas qu’ils ne se comprenaient pas tellement.
Quizá ni siquiera advirtió que no se habían entendido demasiado.
Leurs regards nous suivaient, et je me demandais s’ils comprenaient ce que nous disions.
Los ojos nos seguían; me pregunté si la habían entendido.
Non, la guerre n’était pas absurde, ceux qui disaient cela ne comprenaient rien.
No, la guerra no era absurda, los que decían eso no habían entendido nada.
Ils ne se comprenaient jamais, Edwige et lui, pourtant ils étaient toujours d’accord.
Nunca se hablan entendido con Hedvika y, sin embargo, siempre estaban de acuerdo.
Les blagues de Charlie, quand ils les comprenaient, embarrassaient ces jeunes gens.
A los dos les habían producido mucha vergüenza las bromas de Charlie si es que las habían entendido del todo.
Les Souterriens étaient perplexes devant sa colère et vexés par son ton, même s’ils ne comprenaient pas ses mots.
Todos estaban desconcertados por su enojo y molestos por su tono, aunque no hubieran entendido el significado de sus palabras.
Et ceux qui ne comprenaient rien avaient déjà compris qu’il fallait sortir du trou.
Y los que no habían comprendido nada, habían comprendido que había que salir del agujero.
Mais d’autres comprenaient que c’était bien plus grave que ça.
Pero era, como habían comprendido otros, mucho peor que eso.
Comprenaient-ils? L'homme encore hurla:
¿Le habían comprendido? El hombre volvió a bramar:
Je crois qu’ils comprenaient enfin ce qui se passait.
Creo que por fin habían comprendido lo que estaba ocurriendo.
C’était un rituel sommaire mais que les deux factions en présence comprenaient.
Era algo tosco, pero comprendido por ambos bandos.
Depuis l’autocar, alors qu’ils ne s’étaient rien dit, ils se comprenaient.
Ya en el autocar, antes de cruzar palabra, se habían comprendido.
Les Rogron ne comprenaient pas plus leur triomphe qu’ils n’avaient compris leur ostracisme.
Los Rogron no comprendían su triunfo, como no habían comprendido su ostracismo.
Viscenti, voire Francis lui-même, ne comprenaient peut-être pas, mais lui, oui.
Braumin lo había comprendido, aunque Viscenti no… y Francis tampoco.
Les tribus étaient innocentes dans le sens où elles avaient été dupées, incluses dans un plan qu’elles ne comprenaient pas.
Las tribus no eran más que simples e inocentes útiles a los que habían engañado para que se uniesen a una alianza que nunca habían comprendido del todo.
Car, vraiment, en face de ce style où régnaient la fausse distance, les sous-entendus, les mépris cachés, les envies mal digérées, les faux enthousiasmes, les appels du pied, les clins d’œil, en face de cette foire publicitaire qui était tout L’Express  – sa fin et non son moyen, son aspect le plus nécessaire  – en face de ces petits détails qui changent tout, de ces petits quelque chose de pas cher et de vraiment amusant, en face de ces hommes d’affaires qui comprenaient les vrais problèmes, de ces techniciens qui savaient de quoi ils parlaient et qui le faisaient bien sentir, de ces penseurs audacieux qui, la pipe à la bouche, mettaient enfin au monde le vingtième siècle, en face, en un mot, de cette assemblée de responsables, réunis chaque semaine en forum ou en table ronde, dont le sourire béat donnait à penser qu’ils tenaient encore dans leur main droite les clés d’or des lavabos directoriaux, ils songeaient, immanquablement, répétant le pas très bon jeu de mots qui ouvrait leur pamphlet, qu’il n’était pas certain que l’Express fût un journal de gauche, mais qu’il était sans aucun doute possible un journal sinistre.
Pues realmente, frente a aquel estilo en el que reinaban el falso distanciamiento, los sobreentendidos, los desprecios ocultos, las envidias mal digeridas, los falsos entusiasmos, las incitaciones y los guiños, frente a aquel mercado publicitario que era L’Express —su fin y no sus medios, su aspecto más necesario—, frente a aquellos pequeños detalles que lo cambian todo, aquellas cositas poco costosas y realmente divertidas, frente a aquellos hombres de negocios que comprendían los verdaderos problemas, aquellos técnicos que sabían de qué hablaban y lo dejaban muy claro, aquellos pensadores audaces que, sin soltar la pipa, ponían por fin el siglo XX en el mundo, en una palabra, frente a aquella asamblea de responsables reunidos semanalmente en un foro o una mesa redonda, cuya sonrisa plácida hacía pensar que tenían aún en la mano derecha las llaves de oro de los lavabos directorales, pensaban infaliblemente, repitiendo el juego de palabras no muy bueno que iniciaba su panfleto, que no era cierto que L’Express fuera un periódico de izquierdas, pero que no cabía duda de que era un periódico siniestro.
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