Käännös "como organismos" ranskan
Käännösesimerkit
Pero este trascender no me remite a una subjetividad: es el hecho objetivo de que el cuerpo —sea como organismo, como carácter o como utensilio—, no me aparece jamás sin entornos, y debe ser determinado a partir de estos entornos.
Mais ce dépassement ne me renvoie pas à une subjectivité : il est le fait objectif que le corps — que ce soit comme organisme, comme caractère, ou comme outil — ne m’apparaît jamais sans alentours, et doit être déterminé à partir de ces alentours.
La descripción del cementerio de Père-Lachaise y los meandros de la burocracia funeraria coronan el diseño, de manera que la novela, que se había iniciado con la visión de París como organismo viviente, se cierra sobre el horizonte del París de los muertos. La Histoire des Treize se ha transformado en el atlas del continente París. Y cuando, concluido Ferragus, Balzac (su obstinación no le permitía dejar un proyecto por la mitad) escribe, para otros editores (con la Revue de Paris ya se había peleado), otros dos episodios para completar el tríptico, se trata de dos novelas muy diferentes de la primera y diferentes entre sí, pero que tienen en común, más que el hecho de que sus protagonistas resulten miembros de la misteriosa asociación (detalle, a fin de cuentas, accesorio para los fines de la intriga), la presencia de amplias digresiones que añaden otras voces a su enciclopedia parisiense: La Duchesse de Langeais (novela pasional nacida bajo el impulso de un desahogo autobiográfico) ofrece en su segundo capítulo un estudio sociológico sobre la aristocracia del Faubourg Saint-Germain; La fille aux yeux d’or (que es mucho más: uno de los textos centrales de una línea de la cultura francesa que se desarrolla sin interrupción desde Sade hasta hoy, digamos hasta Bataille y Klossovski) se inicia con una especie de museo antropológico de los parisienses divididos en clases sociales.
La description du cimetière du Père-Lachaise et les méandres de la bureaucratie funéraire couronnent le tableau, de sorte que le roman qui s’était ouvert sur la vision de Paris comme organisme vivant se referme sur l’horizon du Paris des morts. L’Histoire des Treize s’est transformée en un atlas du continent Paris. Et lorsque, ayant achevé Ferragus, Balzac (son obstination ne lui permettait pas d’abandonner un projet en cours) écrit, pour d’autres éditeurs (avec la Revue de Paris, il s’était déjà disputé), deux nouveaux épisodes pour compléter le triptyque, il s’agit de deux romans très différents du premier (et entre eux), mais qui ont en commun, davantage que le fait que leurs protagonistes soient membres de la mystérieuse association (détail somme toute accessoire aux fins de l’intrigue), la présence d’amples digressions qui ajoutent d’autres voix à son encyclopédie parisienne : La Duchesse de Langeais (roman passionnel né dans l’élan d’un épanchement autobiographique) offre, au deuxième chapitre, une étude sociologique de l’aristocratie du faubourg Saint-Germain ; La Fille aux yeux d’or (qui est bien plus que ça : l’un des textes centraux d’une ligne de la culture française qui se développe sans interruption de Sade à nos jours, disons jusqu’à Bataille et Klossowski) s’ouvre sur une espèce de musée anthropologique des Parisiens divisés par classes sociales.
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