Перевод для "riaient" на испанский
Примеры перевода
Il rit, mais ses yeux ne riaient pas. CARL
—Él se rió, pero sus ojos permanecieron serios. CARL
Elle se contenta de rire, sans même savoir pourquoi, parce que les autres riaient.
Luego, viendo que todos reían, rió también aunque sin saber el motivo.
Horty les regarda tour à tour et comprit qu’ils riaient non pas de lui, mais avec lui, et il se joignit à eux.
Horty los miró, uno por uno, y le pareció que no se reían de él, sino con él, y se rió también.
C’était un jour très gai pour tous et ils mangeaient, bavardaient et riaient.
Fue un día muy feliz en el que todo el mundo comió, habló y rió mientras Crystal contemplaba la escena en silencio.
Daerid et Nalesean riaient aux éclats, à présent, et Talmanes lui-même gloussait bêtement.
Ahora sí que Daerid y Nalesean estallaron en carcajadas e incluso Talmanes rió por lo bajo, aunque trataron de disimular que era por otra cosa.
Avait-elle senti qu’Eguchi était au courant, toujours est-il qu’elle ne semblait faire aucun effort pour dissimuler davantage, mais elle avait l’air réellement contrariée. — Vous avez pris la peine de venir, mais puis-je vous demander de repartir ? — Puisque je suis venu sachant tout, que vous importe ? — Hi, hi, hi… Si les diables riaient, cela devait sonner ainsi.
¿Lo sabe y aun así ha venido? —intuyendo que Eguchi estaba enterado, parecía decidida a no ocultar el secreto, pero su expresión era severa—. No debería decírselo, lo sé, después de haberle hecho recorrer tan larga distancia, pero, ¿puedo pedirle que se marche? —He venido con los ojos abiertos. Ella se rió. En la risa se advertía algo diabólico.
— Bien sûr, répondit Singh en riant. Mais vous verrez, tout le monde a signé la carte. Et vous pourrez remercier Sonny, il s’est surpassé pour faire cette fleur superbe avec les bouts de papier et de plastique qu’il a réussi à récupérer. Ils riaient toujours en posant le pied sur le Goliath avec leur étonnante trouvaille. — Nous sommes en bien meilleure forme que les survivants de l’équipage de Magellan après leur tour du monde, fit remarquer Robert.
— Claro que sí —rió Singh—, pero, tal como verá, todos firmamos la tarjeta de cumpleaños, y le puede agradecer a Sonny por haber hecho tan hermoso trabajo a partir de pedacitos diversos de papel y plástico que pudo encontrar. Todavía estaban riendo cuando regresaron a la Goliath con su asombroso descubrimiento… en mucho mejor estado, señalo el capitán Singh, que los sobrevivientes de la tripulación de Magallanes después de la circunnavegación de su mundo.
Puis, se retournant d’un coup, il comprit vaguement que cette horreur était une espèce de blague, une facétie qu’ils avaient manigancée : ces gens riaient en s’éloignant, il le voyait aux mouvements de leurs épaules ; un jeune homme trapu, aux lèvres charnues, qui, les mains dans les poches, relevait les pans de sa veste avec inélégance, se retourna même carrément vers lui, hilare… Joachim approcha, salua le groupe avec courtoisie, à son habitude, en s’inclinant bien en face, les talons joints, puis rejoignit son cousin, qu’il regarda avec douceur :
Luego se volvió con precipitación y comprendió que debía de tratarse de una broma, una broma pesada, pues se dio cuenta, por el movimiento de sus hombros, que aquellos jóvenes se alejaban riendo, y hasta un joven rollizo, de gruesos labios, que con las manos en los bolsillos de su pantalón se levantaba la chaqueta de una manera bastante impropia, se volvió descaradamente hacia él y también rió. Joaquim se aproximó. Saludó al grupo con su habitual caballerosidad, juntando los tacones; luego, mirándole con dulzura, se acercó a su primo. —¡Qué cara pones!
Devant eux, les gens riaient. Il regarda dans cette direction.
Más adelante, la gente rio. Él miró.
– D’accord, mais j’ai vingt-deux ans, pas dix, déclara Hebe en riant (mais ses yeux ne riaient pas).
—De acuerdo. De acuerdo… Pero ya tengo veintidós años, no diez —se rio Hebe, aunque le había cambiado la expresión de los ojos—.
Les jeunes filles riaient, les hommes étaient pleins d’entrain, l’atmosphère du banquet commençait à s’animer.
Una de las chicas se tapó la boca y trató de contener la risa. Otra se rio abiertamente, lo que creó una atmósfera relajada y de regocijo entre los hombres. De repente el ambiente alrededor de la mesa se había animado.
Elle prend un bracelet : « Siegfried me l’a offert à la naissance d’Eva… C’étaient mes premières couches : j’ai dû endurer de grands tourments… Comme il a ri quand il a vu l’enfant !… Il se tenait les côtes de rire… Tous riaient en voyant l’enfant, avec ses petites boucles noires sur tout le crâne et les bourrelets de ses lèvres.
Tomó una pulsera en la mano. Me la regaló Siegfried cuando tuve a Eva. Fue mi primer parto, sufrí mucho. ¡Cómo se rio al ver a la nena! Le temblaba la barriga de la risa.
même ce jour-là, certains d’entre eux éclateront d’un rire mauvais dans lequel il n’y aura peut-être rien à comprendre, mais peu importe, au fond, peu importe, c’est à cause de ce rire que j’ai voulu quitter ce pays qui change de nom trop souvent, dit Dragan, je ne pouvais plus le supporter, car il semblait que le pays tout entier soit soudain secoué du même rire, un rire sans joie, convulsif, atrocement contagieux, qu’on entendait partout, dans la rue, pendant les repas familiaux, dans les alcôves et les bureaux de l’administration où les fonctionnaires te laissaient attendre des heures en pouffant, et s’ils finissaient par te recevoir, c’était pour te rire au nez quand tu prétendais avoir droit à quelque chose, comme ils riaient au nez des vieilles qui venaient réclamer leur pension, parce que toutes les formes de détresse étaient devenues hilarantes, ils riaient, leurs visages grimaçant, figés comme des masques, en se tenant les côtes et, un jour, un recruteur de la Légion étrangère est arrivé en ville, pour offrir un remède à ceux qui souffraient de cette terrible fièvre qu’est la nostalgie de la guerre, dont il est presque impossible de guérir parce qu’il est infiniment plus facile de rejoindre la guerre que de la quitter, et il faisait le tour de la Serbie, c’était un Serbe lui-même, un type de Niš, Dragan se le rappelle très bien, il n’a pas ri en les recevant, lui et trois de ses amis démobilisés récemment, il les a priés très poliment de s’asseoir avant de leur demander s’il leur était déjà arrivé de brûler vif quelqu’un, et comme ils répondaient tous non, un peu surpris, il leur a demandé s’ils étaient prêts à le faire et, au bout d’un moment de silence, un ami de Dragan a dit, si c’est pour partir d’ici, je veux bien commencer tout de suite, de préférence avec un fonctionnaire, et le type de Niš a ri, mais d’un bon rire franc, comme on rit à une bonne blague, d’ailleurs, la question elle-même était une blague, une façon un peu brutale et carrément douteuse d’éprouver leur motivation, mais on était tous motivés, dit Dragan, au point que la réponse de mon ami était, je crois, tout à fait sérieuse, et je me suis retrouvé, trois mois plus tard, en France, avec des engagés venus du monde entier mais surtout d’Europe de l’Est, des Ukrainiens, des Polonais, des Roumains, d’autres Serbes et, bien sûr, des Croates aux côtés desquels il fallait maintenant courir et ramper dans la boue, mais les souffrances physiques le rendaient presque heureux et, en recevant son képi blanc, Dragan se félicitait d’avoir laissé derrière lui un pays dans lequel il se promettait de ne jamais remettre les pieds, pas tant, en tout cas, que ce rire intolérable le tiendrait dans son emprise, il y avait tant d’autres pays où il pourrait désormais aller avec le 2e REP, des pays étranges et lointains, en Afrique, dans les déserts et les forêts, près d’autres rivages où les vagues se briseraient dans une gerbe d’écume sur la barrière de corail, il suffisait d’attendre encore un peu et je saurais où on allait m’envoyer, dit Dragan qui fume maintenant une cigarette, une bière à la main, assis les pieds dans le sable, au bord de la terrasse d’une paillote sur la plage, alors que les vagues ne se brisent pas mais clapotent mollement dans la chaleur étouffante de la nuit.
incluso ese día, algunos estallarán en una carcajada mezquina en la que tal vez no habrá nada que entender, pero lo mismo da, en el fondo, lo mismo da, por culpa de esas risas quise irme de ese país que cambia de nombre demasiado a menudo, dice Dragan, no podía aguantarlo más, porque me parecía que el país entero estaba de pronto sacudido por la misma risa, una risa sin alegría, convulsa, atrozmente contagiosa, que se oía por todas partes, en la calle, durante las comidas en familia, en los dormitorios y en las oficinas de la administración, donde los funcionarios te dejaban horas esperando, tronchándose, y si por fin te recibían, era para reírse en tus narices cuando pretendías tener derecho a algo, igual que se reían en las narices de las ancianas que acudían para reclamar su pensión, porque todas las formas de sufrimiento se habían vuelto hilarantes; reían, con la cara desencajada, paralizada como una máscara, abrazándose las costillas, y un día, un reclutador de la legión extranjera llegó a la ciudad para ofrecer un remedio a los que padecían esa fiebre terrible que es la nostalgia de la guerra, de la que es casi imposible curarse porque es infinitamente más fácil llegar a la guerra que salir de ella, y el reclutador, que viajaba por toda Serbia y era serbio él mismo, un tipo de Niš, Dragan lo recuerda muy bien, no rio al recibirlos, a él y a tres de sus amigos recientemente desmovilizados, y les rogó con mucha cortesía que se sentaran antes de preguntarles si alguna vez habían quemado vivo a alguien, y como todos respondieron que no, un tanto sorprendidos, él les preguntó si estaban dispuestos a hacerlo y, al cabo de un momento de silencio, un amigo de Dragan dijo, si es para irme de aquí, que sea cuanto antes mejor, preferiblemente a un funcionario, y el tipo de Niš rio, pero con una risa sincera, como quien se ríe de un buen chiste, de hecho, la pregunta iba en broma, una manera un poco cruel y definitivamente dudosa de poner a prueba su motivación, pero estaban todos motivados, dijo Dragan, hasta el punto de que la respuesta de mi amigo era completamente en serio, creo, y tres meses más tarde me vi en Francia, con voluntarios venidos de todo el mundo, pero sobre todo de Europa del Este, ucranianos, polacos, rumanos, más serbios y, naturalmente, croatas, con los que ahora había que correr y arrastrarse por el barro, pero el sufrimiento físico lo hacía casi feliz y, al recibir el quepis blanco, Dragan se felicitó por haber dejado atrás un país que se prometía no volver a pisar jamás, al menos no mientras esa risa intolerable lo tuviera sometido, había muchísimos países a los que ahora podría ir con el 2.º Regimiento Extranjero de Paracaidistas, países desconocidos y lejanos, en África, en desiertos y bosques, junto a otras orillas donde las olas romperían con un haz de espuma sobre la barrera de coral, bastaba con esperar un poco más y sabría dónde iban a mandarme, dice Dragan, que ahora fuma un cigarrillo, con una cerveza en la mano, sentado con los pies en la arena, en la terraza de un chiringuito de la playa, mientras las olas no rompen sino que chapotean débilmente al calor asfixiante de la noche.
Par moments la femelle se découvrait les dents comme si elle riait des humains à la manière dont eux riaient d’elle.
La hembra enseñaba los dientes de vez en cuando, como si se riera de los humanos del mismo modo que estos se reían de ella.
Le rire se répéta, heureusement que les parents de Marçal ne passaient pas par là, ils auraient pensé que les Algor se riaient d’eux, embobinant leur fils au point de le faire rire lui aussi des auteurs de ses jours.
Se repitió la risa, felizmente no pasaban por allí los padres de Marcial, pensarían que los Algores se reían a su costa, engañando al hijo hasta el punto de que también se riera de aquellos que le habían dado el ser.
(Chapel mesurait un mètre soixante-dix, talons compris.) D’habitude ils riaient avec lui, mais celui-ci avait de la repartie : — Eh ben, vous n’avez qu’à leur demander, là-haut, et peut-être qu’ils vous arrangeront ça. — Quoi ? — Les chirurgiens – ils feront bien ça pour vous !
Chapel medía metro sesenta y cinco con los zapatos puestos, y lo habitual era que el paciente se riera, pero aquél era un listillo y ya tenía preparada una réplica. —Bueno, pues díselo a los de arriba y quizá puedan hacer algo al respecto. —¿Qué? —Los cirujanos… Ellos son los únicos que pueden resolver tu problema.
Au lieu de demander « Qui sont-ils ? » à propos de Simon et de moi, ils pouvaient se poser la question de savoir : « Qui est-il ? » Et, en vérité, qui étais-je pour partager leur soupe d’or à la lumière du dîner et glisser leurs belles cuillères dans ma bouche ? Conscient du problème, Simon y remédia aussitôt en déclarant : « Augie est un brave garçon, mais il ne sait pas encore très bien où il en est. » Ils eurent l’air contents d’être rassurés à mon sujet ; tout ce qu’ils voulaient, c’est que je sois normal, que je m’exprime davantage, que je raconte quelques blagues, que je rie quand ils riaient. Il ne fallait pas que je sois si différent de Simon.
En lugar de preguntarse quiénes éramos, averiguaban quién era yo. Y, de hecho, ¿quién era yo para estar compartiendo su áureo servicio de mesa? Consciente de la dificultad, Simón salió en mi auxilio con un subterfugio. Dijo: —Augie es un buen chico, pero el pobre no sabe lo que quiere. —Y por ensalmo todos se sintieron reanimados. De mí solo pedían que me uniese a la diversión, que fuese uno de ellos, que hablase más y gastase alguna chanza: que riera cuando los demás riesen, para no ser tan distinto de Simón.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test