Translation for "take" to french
Translation examples
Came to take away our sons
Sont venus nous prendre nos fils
Eran raras las veces en que el señor Nakano, Takeo y yo comíamos juntos.
Il nous arrive rarement de prendre un repas ensemble, le patron, Takeo et moi.
Desde que habíamos mantenido esa conversación, Takeo seguía tomando café de la misma marca.
Depuis que nous avions échangé cette conversation, Takeo continuait de prendre la même marque.
—¿Cuánto dinero tengo que ofrecerles? —le preguntó Takeo, inseguro, la primera vez que el señor Nakano le ordenó que fuera sin él.
La première fois que M. Nakano l’a envoyé faire le travail sans lui, Takeo s’est inquiété : « Mais, et pour l’argent, comment je dois m’y prendre ?
—¿Hay algún truco para mantener una conversación fluida con un chico? —le pregunté a Masayo una tarde, cuando Takeo no estaba.
« Je me demande vraiment comment il faut s’y prendre pour parler à l’aise avec un garçon ! » ai-je dit une fois à Masayo, un après-midi où Takeo n’était pas là.
Era una canción que ponían muy a menudo en la radio del ejército norteamericano: «Take Back Your Mink.» ¿Qué le había hecho pensar que podría ser una de ésas? ¡Qué imposible dulzura la de aquella chica alemana tratando de imitar el acento de Brooklyn para tomarle el pelo!
C’était une chanson qu’on entendait constamment à la Radio des Forces US : « Reprenez votre vison, je ne suis pas celle que vous croyez. » Être ridiculisé par l’indicible douceur d’une jeune Allemande s’efforçant de prendre l’accent de Brooklyn.
Su oferta no es aceptada de inmediato: Denethor mira primero su espada, la que tomó del Tumulario, y parece que eso le afecte antes de decir: «Acepto [accept] tus servicios» (no son exactamente las mismas palabras que las de Théoden, pues uno emplea el coloquial take y el otro el formal accept).
Son offre n’est pas immédiatement acceptée : Denethor observe d’abord son épée, celle qui vient des Coteaux des Tertres, et semble affecté par ce qu’il voit avant de dire « J’accepte ton service » (ce ne sont pas tout à fait les mêmes mots que ceux de Théoden, car l’un utilise le style courant avec « prendre », et l’autre un style plus formel avec « accepter »).
Deja a Simón saltando de un fragmento de música a otra, de la sublime Misa en Do menor de Mozart a la estúpida melodía cantada por Frankie Valli que sonaba día y noche en el crucero de la luna de miel, "Can't take my eyes off you", y va a darse una ducha.
Elle laisse Simón sauter d’un morceau de musique à un autre, de la sublime Messe en do mineur de Mozart à la stupide rengaine que chantait Frankie Valli jour et nuit pendant la croisière de leur lune de miel, Can’t take my eyes off you, et elle va prendre une douche.
You must take the A train, dice la canción de Duke Ellington: hay que tomar un tren de la línea A del metro para subir a Harlem, y en la trepidación de su marcha ya parece que está contenido y anunciado el ritmo de esa canción, la llamada y la fuerza de la música, que tantas veces lo traspasó a uno de felicidad, de una plenitud terrenal y lujosa, como la que difunden las suites orquestales de Bach.
You must take the A train, dit la chanson de Duke Ellington. Il faut prendre un métro de la ligne A pour monter à Harlem, et dans la trépidation de son roulement semblent déjà être contenus et annoncés le rythme de ce morceau, l’appel et la force de cette musique qui tant de fois nous a traversés de bonheur, d’une plénitude terrestre et somptueuse comme celle que propagent les suites pour orchestre de Bach.
Allí está Takeo, el joven asistente con quien inicia una extraña relación, y Masayo, la hermana del propietario que hace exposiciones con muñecas y cuya vida sentimental atormenta al señor Nakano, que se mantiene vigilante sobre todo y a quien pierden las mujeres. Un grupo que vagamente podría parecer una familia. Cronista delicada y elusiva, Kawakami nos ofrece en este libro, además de la historia entre Hitomi y Masayo, una sucesión de ventanas abiertas al Japón contemporáneo, en el que conviven los objetos de una tienda extravagante con la vaga melancolía de unos hombres y unas mujeres que nunca consiguen ser felices del todo. Hiromi Kawakami
Son propriétaire a un penchant très prononcé pour le sexe féminin, sa sœur Masayo fabrique des poupées, les jeunes Hitomi et Takeo viennent les aider. La boutique est comme une roue de la vie où se croisent, s’aiment et s’échangent les personnages, au gré de leurs attirances et de leur fantaisie. Avec délicatesse et sensualité, Kawakami évoque ces liens mystérieux qui se nouent entre les êtres, où l’on feint de jouer son amour aux dés et de prendre à la légère ce qui vous remue le cœur. Son roman résonne de mille petits bonheurs qui entrent en correspondance avec les hasards de la vie. Et le son qu’il en tire est léger et clair, telle la coupe offerte de la vie.
Takeo me quitó la lata de las manos.
Takeo me l’a prise des mains sans mot dire.
Había incluso nombres familiares en las fachadas de las tiendas —MacDonalds, Kentucky Fried Chicken, Woolworths— así como otros más exóticos: The Hula Hut, Crazy Shirts, Take Out Sushi, Paradise Express, y signos que no podía descifrar porque estaban en japonés.
Il y avait même des noms familiers sur les façades de magasins – McDonald’s, Kentucky Fried Chicken, Woolworth – mélangés à des noms plus exotiques : La Hutte à Hula, Chemises en Folie, Sushi à Emporter, l’Express du Paradis, et des enseignes écrites en japonais qu’il ne pouvait déchiffrer.
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