Translation for "se cepillan" to french
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Translation examples
La princesa Miriamele tiene damas que le cepillan el pelo.
La princesse a des servantes qui lui brossent les cheveux.
Los niños cepillan a los nuestros cada día, y así nunca tenemos problemas.
Mes gosses brossent les nôtres tous les jours et nous n’avons jamais le moindre ennui.
Otras dos mujeres cogen cardas anchas con infinidad de dientes apretados y cortos que cepillan y afinan el trabajo realizado por los peines.
Deux autres femmes s’emparent des larges cardes, à la multitude d’épis serrés et courts qui brossent, affinent le travail ébauché par les peignes.
Y las mujeres agradecen todas esas reglas (porque no tienen suficiente imaginación para descubrirlas) y las ejecutan todas concienzudamente: se miden el perímetro de las caderas, se cepillan los labios, se pintan las cejas y ponen espejitos en la cocina para evitar que se les arrugue la frente. Una vez hecho eso, esperan más consejos para su juego.
Et les femmes, reconnaissantes de chaque nouvelle règle du jeu qu’on leur propose, car elles n’ont pas assez d’imagination pour en inventer elles- mêmes, les suivent scrupuleusement : elles mesurent leur tour de hanches, brossent leurs lèvres, peignent leurs sourcils par petits coups et, pour éviter de se rider, suspendent des miroirs partout dans leur cuisine.
Ahora, en cada ciudad por la que me aventuro, los uniformes llueven sobre mí, sacuden el polvo del cuello de mi chaqueta, meten un folleto en mi mano, me recitan el último informe meteorológico, rezan por mi alma, cubren los charcos para que yo pase, limpian mi parabrisas, despliegan una sombrilla sobre mi cabeza los días de sol o un paraguas los días de lluvia, conectan un foco ultra-infra ante mí los días nublados, retiran un hilo de mi botón abdominal, cepillan mis hombros, peinan los cabellos de mi nuca, suben la cremallera de mi bragueta, limpian mis zapatos y sonríen —siempre antes de que yo pueda protestar—, con la mano derecha al nivel de su cintura.
Maintenant, dans chaque ville où je m’aventure, les uniformes se ruent vers moi, époussettent les pellicules sur mon col, me mettent de force une brochure dans la main, me récitent le dernier bulletin météo, prient pour mon âme, jettent sur les flaques des tremplins où poser le pied, essuient mon pare-brise, tiennent au-dessus de ma tête une ombrelle les jours de soleil et un parapluie les jours de pluie, allument un flash à infrarouges et ultraviolets devant moi les jours de nuages, retirent la bourre de coton de mon bouton au niveau abdominal, me brossent le dos, me pomponnent la nuque, me remontent la braguette, me lustrent les chaussures et sourient – tout cela avant que j’aie le temps de protester – la main droite à hauteur de la ceinture.
Siempre me he preguntado cómo un pedagogo de edad madura podía llamar por su apellido a un pequeño mastuerzo de doce años y tres meses cuyos pies tienen aún el peso de la infancia… En serio, intentemos imaginarlo: una mujer o un hombre hechos y derechos despiertan cada mañana, se cepillan unos dientes de encías encogidas, comprueban la caída de un seno, la flacidez de una papada, abren una carta de Hacienda, sienten una punzada de niño incomprendido ante la jerigonza conminatoria de la Administración, dejan la respuesta para mañana, toman su cartera de profe, se zambullen en el metro con un resto de tostada en la boca y, media hora más tarde, miran de arriba abajo a una chiquilla de doce años y tres meses:
Je me suis toujours demandé comment un pédagogue d’âge mûr pouvait appeler par son nom de famille un petit machin de douze ans et trois mois dont les pieds pèsent encore leur poids d’enfance… Sans blague, essayons d’imaginer un peu : une femme ou un homme plus que faits se réveillent chaque matin, brossent des dents aux gencives troussées, testent la chute d’un sein, le flasque d’un jabot, décachettent une lettre du Trésor public, éprouvent un pincement d’enfant incompris devant le charabia comminatoire de l’Administration, remettent la réponse au lendemain, saisissent leur cartable de prof, plongent dans le métro, un reste de tartine dans la bouche, et une demi-heure plus tard toisent une gamine de douze ans et trois mois :
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