Translation for "say" to french
Translation examples
have you no word to say?[7] 22 de abril de 1903.
N’avez-vous rien à dire ? 22 avril 1903.
(Oye a Gayatri Spivak decirle a Slimane: «We were taught to say yes to the enemy».)
(Il entend Gayatri Spivak dire à Slimane : « We were taught to say yes to the enemy.
En cuanto nos quitamos los sayos y las botas de campana y estamos en momento propicio de pecar mortalmente, Satanás nos lleva a los Pré-aux-Clercs de la existencia eterna.
Car, aussitôt que nous quittons nos jaquettes pour prendre des hauts-de-chausses, je veux dire dès que nous sommes en âge de pécher mortellement, messire Satan nous appelle sur le Pré-aux-Clercs de la vie.
Admitiré con M. Say que la Utilidad es el fundamento del Valor, con tal de que se convenga en que de ninguna manera se trata de la utilidad que está en las cosas, sino de la utilidad relativa de los servicios.
Quand le service consiste à céder une chose matérielle, rien n’empêche de dire, par métonymie, que c’est cette chose qui vaut. Mais il ne faut pas perdre de vue que c’est là un trope qui attribue aux choses mêmes la valeur des services dont elles sont l’occasion.
—Chloe, por lo que más quieras… When you were young and your heart was an open book you used to say live and let live. —Me callo para echar otra calada—.
— Oh, s’il te plaît, baby, quand tu étais jeune et que ton cœur était encore une page vierge, tu avais l’habitude de dire : « C’est la vie. » – Je m’interromps, tire encore sur mon joint – Tu sais que c’est vrai.
Say parece deplorar aqui que alguno haya podido decir: La,tierra me pertenece, y el servicio que presta debe pagárseme.—Feliwiente , diré yo, tanto puede el propietario nacerse pagar los servicios del suelo como los del viento y los del sol.
Say semble déplorer ici que quelqu’un ait pu dire : La terre m’appartient, et le service qu’elle rend doit m’être payé. – Heureusement, dirai-je, il n’est pas plus au pouvoir du propriétaire de se faire payer les services du sol que ceux du vent et du soleil.
Pero debemos decirlo, y tanto mas cuanto que la autoridad de Say es mayor en estas materias, si se asimila la Riqueza (en el sentido de bienestar efectivo) al Valor, si se afirma principalmente que aquella es proporcional á este, nos esponemos á estraviar la ciencia.
Mais il faut bien le dire, et d’autant plus que l’autorité de Say est plus grande en ces matières, si l’on assimile la Richesse (au sens de bien-être effectif) à la Valeur, si l’on affirme surtout que l’une est proportionnelle à l’autre, on s’expose à fourvoyer la science.
A esos hombres habrá que asignárseles un salario en espera de que estas islas prosperen, pero, con una idea mía, ingeniosa ocurrencia de la que entonces tuve la desvergüenza de sentirme orgulloso, tal sueldo no habría de serles pagado en dinero: instalaría la hacienda real unos almacenes de paños para vestir, camisas comunes y otros jubones, lienzos, sayos, calzas, zapatos, además de medicinas, remedios, cosas de botica, conservas que no fuesen de ración, y productos de Castilla que la gente de acá recibiría con agrado en descuento de su sueldo.
Il faudra rétribuer ces hommes, en attendant que ces îles connaissent la prospérité. Mais il me vient une idée ingénieuse dont j'ai eu à l'époque l'impudence d'être fier : ce salaire ne devrait pas leur être payé en argent; le trésor royal installerait des magasins avec des tissus, des chemises ordinaires et des pourpoints de toile, des casaques, des chausses, des souliers, et aussi des médicaments, des drogues diverses, des denrées de luxe et des produits de Castille que ces gens-là recevraient avec plaisir en déduction de leur salaire. (C'est-à-dire qu'ils seraient payés en marchandises de chez nous, et nous ferions un fabuleux bénéfice, car ils ne verraient jamais un liard.
—De momento, nuestra gente ha desaparecido. No veo ya las sayas rojas.
– De ce temps, nos gens ont disparu, dit-elle, je ne vois plus les cotillons rouges.
Aquella incertidumbre suya me permitía sentirme más segura y tarareé la canción—: But with propriety, society will say Marie. Mi padre contaba que yo iba a llamarme Mary, como la Virgen, hasta que mi madre escuchó esa estrofa de la canción y decidió que Marie sería un nombre de lo más apropiado para manejarse en sociedad. «¡Apártate, Virgen Santa, que viene Marie!», solía decir mi padre. Tangencialmente tomé nota de que no había vacilado, de que no había derramado ninguna lágrima tontorrona. Y, aunque ya se me había pasado el efecto de lo que había bebido en la fiesta, de repente me sentí muy feliz.
« “Mais comme la bienséance lui soucie, la bonne société dira Marie.”D’après ce que racontait mon père, je devais m’appeler Mary jusqu’à ce que ma mère entende ce refrain et décide que la bienséance et la bonne société étaient vraiment ce à quoi elle aspirait – “avec tout le respect dû à la vierge Marie”, comme disait mon père. » Et je me rendis compte, incidemment, que ma voix n’avait pas flanché ; pas de stupides larmes. Je me sentais soudain étonnamment heureuse, bien que les verres servis à la soirée aient été copieusement allongés d’eau.
Pero a veces la vida real era contundente en sus argumentaciones para asegurarse de que uno captaba el mensaje, y en su vida real Tina Brown y Harvey Weinstein ofrecieron una espléndida fiesta en Liberty Island para el lanzamiento de su efímera revista Talk, y hubo fuegos artificiales en el cielo y Macy Gray cantó I try to say goodbye and I choke, I try to walk away and I stumble, y una lista de invitados que iba desde Madonna hasta él mismo. Esa noche no conoció a Madonna, o quizá le habría preguntado algo sobre lo que su ayudante Caresse le había dicho a un productor de televisión que le envió un ejemplar de El suelo bajo sus pies con la esperanza de conseguir un comentario favorable de la gran dama; al fin y al cabo, el libro trataba de una gran aunque imaginaria estrella del rock. «Ah, no -dijo Caresse-, Madonna no leyó el libro. Lo hizo pedazos.» (Cuando por fin conoció a Madonna con Zadie Smith varios años después en la fiesta de los Oscar de Vanity Fair, ella habló solo del valor de la propiedad inmobiliaria en la zona de Marble Arch de Londres, y él no se molestó en sacar a colación el asunto del libro roto, porque Zadie y él hacían todo lo posible por contener la risa ante el joven semental italiano alto y espectacular cuya frase para ligar dicha en susurros pareció impresionar a la señorita Ciccone: «Eres italiana, ¿no?
Mais il arrive parfois que la vraie vie insiste sur un point pour s’assurer que vous avez bien compris, et dans sa véritable vie à lui, Tina Brown et Harvey Weinstein donnèrent une fête somptueuse sur Liberty Island pour le lancement de Talk, leur magazine éphémère, il y eut des feux d’artifice, Macy Gray chanta I try to say goodbye and I choke, Try to walk away and I stumble2 , et la liste des invités allait de Madonna jusqu’à lui-même. Il ne rencontra pas Madonna ce soir-là, sinon il l’aurait interrogée sur ce que son assistante Caresse avait répondu à un producteur de télévision qui lui avait adressé un exemplaire de La Terre sous ses pieds dans l’espoir d’obtenir un commentaire favorable de la part de la grande dame – après tout le livre était consacré à une rock star de premier plan même si elle était imaginaire : « Oh, non, avait dit Caresse, Madonna n’a pas lu le livre, elle l’a déchiré. » (Quand il rencontra pour de bon Madonna en compagnie de Zadie Smith des années plus tard à la cérémonie des Oscars de Vanity Fair, elle ne parla que du prix de l’immobilier dans le quartier de Marble Arch à Londres et il ne pensa même pas à mettre l’histoire du livre déchiré sur le tapis tant Zadie Smith et lui avaient déjà du mal à s’empêcher de rire en regardant le jeune et bel étalon italien dont les propos enjôleurs susurrés à mi-voix semblaient impressionner Miss Ciccone.
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