Similar context phrases
Translation examples
—¡Un verdadero gallo de riña!
— Un vrai coq de combat !
Y fue así como se inició una vil riña.
Ce fut ainsi que débuta un vil combat.
Alfred se encuentra en la riña de gallos. ¿De qué se trata?
Alfred assiste à un combat de coqs. Qu’y a-t-il ?
Una riña. Un alboroto. Una pelea contra varios hombres, cada uno para sí.
Une bagarre. Une émeute. Un combat avec chacun pour soi.
¡Este asunto ha sido tratado como una riña de gallos durante demasiado tiempo!
Il y a trop longtemps que nous menons cette affaire comme un combat de coqs.
Justo antes del choque, probablemente era como el escenario de una riña de gallos.
Juste avant le choc, elle ressemblait plutôt à une arène pour combats de coqs dans la grange délabrée d’un bouseux.
Se tiró de los dedos, como solía hacer antes de una riña, y siguió a su padre.
Il se croisa les doigts, et les tira, comme il le faisait avant un combat, et suivit son père.
En mi cabeza se ha desatado una batalla de pigmentos, una riña de gatos de contendientes desiguales.
Une bataille de pigments fait rage au sommet de ma tête, un combat entre adversaires mal assortis.
Para Amaril el acabóse era poseer una mujer elegante, un galgo de raza o un par de gallos de riña invencibles.
Pour lui, le fin du fin était de posséder une femme élégante, un lévrier avec pedigree et une paire de coqs de combat invincibles.
—Está enojada —Randy levantó las manos en ademán de impotencia—. Solo y Harry tuvieron una riña amistosa. Conoces a Solo.
— Elle est retournée. (Randy fit un geste d’impuissance.) Solo et Harry ont eu un petit combat amical. Tu connais Solo.
Pues, mira, un niño entra en el salón y ahí estaba su madre con un montón de amigas y él dice», en algunos momentos, al tomar la curva con chulería, iban a topar con un taxi y después perdiendo el culo en tercera, también es hermosa esta sensación de fuerza mecánica, «a saber lo que tendrá este tipo, aun no teniendo mal aliento», «sentí la media izquierda deshacerse por encima de la rodilla, una carrera de repente, maldición, con lo que cuesta», el señor coronel del piso de arriba, jubilado, con su perrito bastardo que la mira, cuando se la encuentra por la escalera, cómo la mira, si supiese, Dios mío, si supiera, cierto es que los tacones altos cansan los pies, pero cómo resaltan las pantorrillas, las miradas de los hombres se pegan como filamentos, ella las siente como telarañas pegadas, esos guarros, en el colegio sor Celeste le decía siempre: «basta de mirarte en los cristales de las ventanas, que es pecado», eso decía, era invierno al otro lado de las ventanas, la calle completamente cubierta de nieve, silenciosa como nunca, y faroles, uno tras otro, hasta perderse de vista, pero esta noche hay pocos coches, mientras en las viejas escaleras corroídas las bombillas, apagadas y pobres, en todos los pisos, la del tercero se ha fundido incluso, emiten esa luz que cuenta tantas cosas horribles, Dios, Dios, las paredes tenebrosas, el charco, el misterioso automóvil parado, el laboratorio incomprensible en el sótano, donde entran y salen ciertos tipos, el asqueroso estudio del fotógrafo en el primer piso que no se sabe cómo vive, la fantástica maraña de las chimeneas en el tejado, la perdición de los ojos de patio hundidos, la habitual meada en el rincón, el «trac trac» de vez en cuando en la tienda contigua, la lápida donde vivió un patriota milanés, ese ladrillo que sobresale, la riña nocturna en la taberna del patio, toda la densidad de vidas que fermentan y nunca se sabe, nunca se sabrá, como en un robo silencioso. Ya caía la noche, luces aquí y allá, pero en lo alto se veían aún todas las casas negras, enigmáticos perfiles humeantes de neblina. Él estaba al borde de un foso inmenso y vacío, de allí llegaba Laide, de ese reino desconocido y una voz en su interior, de Dorigo, no exactamente una voz, más bien un tañido profundo lo llamaba, llamaba. «Qué idiotez, se dijo», miró el reloj, en aquel momento entraba, procedente del baño, Laide, se había echado el pelo hacia atrás, precioso, estirado, en un compacto moño, un estilo maldito, desde luego, pero sin carmín en los labios, y le dijo: «¡Cómo!
Les maisons garnies de balcons, sentant le chat, les vases emplis de fleurs fanées et les caleçons suspendus à la fenêtre et la voix d’une jeune fille qui chante avec abandon et l’horrible dispute entre elle et lui en des termes qu’il serait honteux de rapporter, le soleil bat sur le jardin de l’hôtel particulier réchauffant un peu les murs jaunâtres où s’inscrit encore un blason de pierre, le brocanteur ambulant lance son cri au matin et s’approche lentement et puis il est là tout près et dans le temps qu’on y pense il s’est déjà éloigné, le grincement du tram au tournant, chaque fois les regards de l’ingénieur pointent en sifflant sur la nuque de la petite employée de quinze ans, les puits communaux dans les cours luisantes de pluie, noires, vitreuses, avec le tourne-disque du septième étage qui fait ta-taa-taa car on l’a oublié et qu’elle est renversée sur le divan tandis qu’il la prend et halète, onze heures et demie du matin à la fin du marché aux grains M. Marsigliani da Borgotaro viendra avait dit une belle fille blonde s’il vous plaît, la camionnette déballe ses paquets de bobines, cette fois le boss est noir, Dieu seul sait où il va falloir fourrer tout ce grisbi, il suffit que tu veuilles ma chérie que fais-tu ? serveuse ? tiens voici mon numéro, mais fais bien attention : la propreté surtout je te recommande les parfums on s’en moque mais par contre le savon et la pâte dentifrice, ces types qui flânent dans le passage couvert Carminati sais-tu qu’il leur faut de l’ombre ? la porte grince non maman je suis allée chez Nora écouter des disques et patati et patata je me suis attardée, trois mille par soirée plus la vente des fleurs plus les imprévus tu me comprends, tu ne feras pas la bégueule chez moi, le tout est de les accrocher ces petits vieux qui si tu les secoues font ding ding tant ils sont pleins de louis d’or Milka en a plumé un cet automne qui était un vrai spectacle à lui tout seul tant il était rebutant mais ça lui a permis de s’offrir la moitié de son manteau de vison tu l’as donc pas vu ? ce bruit d’ascenseur qui monte et qui descend, il lui prend le menton entre les doigts le secoue avec rage six ou sept fois et puis la tient et la secoue encore elle le regarde épouvantée et maintenant plus de balivernes ma petite tu vas me dégoter vingt briques l’une sur l’autre et si je t’y repince une autre fois on t’arrangera de telle façon que tu ne pourras plus te faire un radis, compris ?
Obviamente estaba atrapado en el medio de una riña entre agencias sobre la legalidad de los métodos que empleaba el Directorate.
De toute évidence, il était pris en otage au sein d'une lutte intestine entre divers services secrets, où l'on mettait en cause la légalité des méthodes du Directorat.
Al grano, Turi. –Se trata de lo siguiente: no conseguiremos el candidato adecuado mediante la riña y el disenso entre grupos partidarios.
Venez-en au but, Turi. — Voilà, ce ne sont pas les luttes ni la dissension entre les groupes partisans qui nous permettront de trouver le bon candidat.
Su gente nunca llegó a crear una formación, y tampoco lo hicieron en realidad los prisioneros, de modo que la cosa se convirtió en una especie de riña de taberna, con las espadas moviéndose realmente rápido. Los muchachos de la puerta oeste se deslizaron fuera y golpearon el campamento por detrás y saltaron fácilmente su muro.
Ses hommes n’ont pas réussi à se ranger en formation, pas plus que les captifs en face, si bien que la lutte a vite dégénéré en une grosse empoignade confuse au corps à corps. Les gars massés à la porte occidentale se sont lancés à l’assaut de la caserne par l’arrière et ont enlevé les remparts sans trop de peine.
Como en una escena de Moliere pueden contemplarse las variaciones constantes de esta comedia representada en los escalones del trono, y regocijarse viendo como siempre de nuevo se pinchan y se persiguen con bromas mordaces los dos servidores del Soberano, mientras su amo observa con superioridad olímpica esta riña para él tan ventajosa.
On assiste, comme à une scène de Molière, aux inlassables variantes de cette comédie qui se joue au pied du trône, et l’on rit en voyant sans cesse les deux serviteurs du souverain se jouer mutuellement des tours et se jeter l’un à l’autre des traits d’esprit blessants, cependant que leur maître, sur sa cime olympienne, regarde de haut cette lutte qui lui est si profitable.
Pero dejemos para más tarde la riña entre nosotros.
Mais remettons à plus tard de nous battre.
Han desembarcado el equipo completo de matones y van a registrar toda la isla y tratarán de enjaularnos como gallos de riña.
Ils ont débarqué tout leur contingent de chimpanzés et ils vont battre l’île et nous lever comme des faisans.
La escena no tiene ninguna gracia, válgame Dios, es como ver dos pollos desplumados en plena riña.
En fait, ça n’a rien de drôle, mais, mon Dieu, c’est comme voir deux carcasses de poulet se battre.
Y el problema inmediato que tienes ante ti, mi queridísimo Clitóneo, no es fácil: la forma de matar a Eurímaco sin complicarte en una riña en condiciones abrumadoramente desfavorables.
Et tu vas avoir à affronter un problème immédiat des plus délicats, mon cher Klytoneus : comment tuer Eurymaque sans avoir à combattre contre des forces écrasantes.
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