Translation for "remordido" to french
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Sara de la Concepción, remordida con razón por los malos ejemplos del marido y todavía más reconcomida por el bicho que llevaba dentro culpándola de aquella muerte desastrada, gritaba en todo instante y hora, Ojo, mira que si no te despabilas te doy una paliza, tenemos que mirar por la vida.
Sara da Conceição, regrettant à juste titre le mauvais exemple donné par son mari et bourrelée de remords à cause de sa mort pitoyable dont elle se sentait responsable, sermonnait son fils à tout bout de champ, Fais attention, toi, si tu ne files pas doux, tu vas te choper une raclée, il faut que tu apprennes à vivre.
la intuición de algo que no se parecería a lo que había hecho hasta entonces, tentativas que casi nunca la dejaban satisfecha, sino remordida por una sensación de fraude, de haber malogrado por algún motivo el impulso que la trajo a Europa, su propósito de darse a sí misma una educación, de corresponder al regalo que le había hecho su madre.
En elle ressuscitaient avec chaleur le besoin urgent d’écrire et l’intuition de quelque chose qui ne ressemblerait pas à ce qu’elle avait fait jusque-là : des tentatives qui ne la laissaient presque jamais satisfaite, mais elle était en proie au remords pour avoir en quelque sorte triché et gaspillé l’élan qui l’avait poussée vers l’Europe ainsi que son projet de se donner à elle-même une éducation et d’être à la hauteur du cadeau que lui avait fait sa mère.
Tenía fiebre, o al menos se tocaba la frente con el deseo de tener fiebre y de saberse absuelto de las obligaciones de la noche, los compromisos que no acababan nunca, las salas llenas de gente que aguardaba su llegada, y él siempre retrasado, detenido en cualquier otra parte, en camino, en medio de un atasco de tráfico, remordido por una angustia que se repetía muchas veces en los sueños.
Il était fiévreux, ou du moins il se touchait le front avec l’envie d’avoir de la fièvre et de se savoir dispensé des obligations de la soirée, des rendez-vous qui n’en finissaient pas, des salles combles qui attendaient son arrivée, lui toujours en retard, bloqué n’importe où au milieu d’un embouteillage, pris de remords à cause d’une angoisse qui se répétait souvent en rêve : il était en chaire et devait prononcer un sermon mais il n’avait rien préparé.
Esa distancia de los mapas lleva Ignacio Abel recorriéndola más de dos semanas, tan solo como si hubiera tenido que atravesar un desierto, asaltado por espejismos y voces, por el deseo de una mujer a la que está siempre buscando entre las caras extranjeras y a la que tal vez ya ha perdido, remordido por el malestar de saber que en el fondo no hizo todo lo posible por entrar en contacto con Adela y sus hijos, a pesar de que estuvieran al otro lado de las líneas del frente.
L’étendue que représentent ces cartes, Ignacio Abel la parcourt à présent depuis plus de deux semaines, mais comme s’il ne traversait qu’un désert, assailli par des mirages et des voix, par le désir d’une femme qu’il passe son temps à chercher parmi les visages étrangers et qu’il a sans doute perdue, rongée de remords, par le malaise de savoir qu’au fond il n’a pas fait tout son possible pour prendre contact avec Adela et ses enfants, même s’ils étaient de l’autre côté de la ligne de front.
Remordido por esas recriminaciones, el recuerdo de Albertico vino entonces a patearme con saña, porque era evidente que once años después yo estaba repitiendo los mismos pasos de mi primo, retornando al país a buscarme una muerte segura, y aún más estúpida, pues Albertico estaba consciente del riesgo que corría a causa de su militancia comunista, por eso a mi pregunta de por qué regresaba en medio de la carnicería me respondió «por pendejo», en tanto que yo me estaba comportando como un imbécil, con una mayor inconsciencia e ingenuidad, sólo así se explicaba el entusiasmo del que hasta ese instante había hecho gala.
Des reproches au remords, le souvenir d’Albertico est alors venu me frapper durement, car il était évident que onze ans plus tard, je marchais sur les pas de mon cousin, retournant au pays pour y trouver une mort certaine, et encore plus stupide, car Albertico était conscient du risque qu’il encourait en raison de son militantisme communiste, et c’était pour cela qu’à ma question du pourquoi il retournait là-bas en pleine boucherie il m’avait répondu “parce que je suis trop con”, alors que moi j’étais en train de me comporter comme un imbécile, avec une inconscience et une naïveté bien plus grandes, c’était la seule explication à l’enthousiasme que j’avais manifesté jusque-là.
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