Translation for "que envuelve" to french
Que envuelve
Translation examples
Me envuelvo en el cubrecama, y adelante, al trabajo, sin prisas para no rasgar el papel.
Je m’entoure du couvre-lit, et en avant, au travail, lentement, pour ne pas déchirer le papier.
«¡Estoy ciego!», pienso mientras retrocedo tambaleándome hacia la oscuridad que enseguida me envuelve. Trago sangre;
Je pense : « Je suis aveugle ! » et je recule en titubant dans la nuit qui me couvre aussitôt. J’avale du sang ;
Afuera las calles yacían bajo aquel turbio manto púrpura que envuelve los amaneceres en Barcelona.
Dehors, les rues gisaient sous ce trouble manteau de pourpre qui couvre les aurores de Barcelone.
Tarántula sale un momento y regresa con la colcha que había dejado en el sótano; te envuelve con ella y te saca de la casa. Es de noche.
Mygale a disparu. Il revient avec le couvre-lit qu’il avait laissé dans la cave ; il t’en enveloppe et te porte au-dehors. Il fait nuit.
Negra túnica la cubre, un manto más negro todavía envuelve la túnica, y el iris que huele entornando los párpados es del mismo tinte que la noche.
Une tunique noire couvre cette femme, et une robe plus noire encore se drape sur la tunique, et l'iris qu'elle respire en abaissant les paupières a la même teinte que la nuit.
Desde que vive con Mundy, Zara se envuelve de la cabeza a los pies como señal de que ha vuelto a su tradición; pero también muestra así su orgullo de que sea solo Mundy quien tiene la llave de acceso a ella.
Depuis qu’elle vit avec Mundy, Zara se couvre de la tête aux pieds en signe de son retour à la tradition, mais aussi de sa fierté d’appartenir tout entière à Mundy.
El mundo entero se cubre de tinieblas, una cáscara de ceniza y de polvo envuelve la tierra asfixiante, los relámpagos desgarran las nubes y se pone a llover, llueve, llueve interminablemente y baja la temperatura, baja en la cáscara de ceniza y polvo, los mares y los ríos arrastran pedazos de hielo, graniza, nieva, nieva interminablemente.
Le monde entier se couvre de ténèbres, une pelure de cendre et de poussière projetées enveloppe la terre suffocante, des éclairs déchirent les nuages, il se met à pleuvoir, il pleut, il pleut, interminablement, et la température baisse, baisse sous la pelure de cendre et de poussière, les mers et les fleuves se mettent à charrier des glaçons, il grêle, il neige, il neige, interminablement.
CHARLIE: ¿Sabéis? Nosy y yo acabamos de dar un golpe. Resulta que hemos pasado por delante del escaparate de un estanco lleno de esas cajetillas de tabaco Gold Flake tan bonitas y va Nosy y dice: «¡Qué demonios, me voy a fumar unos cigarrillos de esos aunque me cueste la cárcel!», se envuelve el brazo en la bufanda, espera a que pase una puñetera furgoneta para que amortigüe el ruido, luego rompe el cristal y cogemos doce cartones y echamos a correr como alma que lleva el diablo.
CHARLIE : Dis, qu’est-ce t’en penses ? La Fouine et moi on vient juste de faire un coup. La Fouine avise la vitrine d’un débit de tabac pleine de boîtes de Gold Flake, et y dit : « Bon Dieu, j’vais en prendre d’ces vacheries d’clopes si ils m’laissent faire !» Alors il enveloppe sa main avec son cache-nez, on attend jusqu’à ce qu’un grand camion passe et couvre le bruit, et alors la Fouine, vlan ! On chipe une dizaine de paquets d’clopes, et là j’vous jure, on a décampé pire que si on avait l’feu au cul.
La mesa ante la cual está sentado es de madera blanca como una mesa de cocina, y la bata color ciruela en que envuelve su largo cuerpo delgado revela un largo uso y es la única ropa que agrada a su dueño, la única dentro de la cual no se siente disfrazado, porque esa tela ablandada por el uso no es ni el sayal que cubre a los monjes ni el triste traje de calle que todos llevamos, sino algo intermedio, el uniforme de un gran ejército sin disciplina, caprichoso, diseminado por la faz de la tierra, el ejército de los solitarios, mansos anarquistas.
La table à laquelle il est assis est en bois blanc comme une table de cuisine et la robe de chambre prune dont il enveloppe son long corps mince témoigne d'un long usage et c'est le seul vêtement qui plaise à son maître, le seul dans lequel il ne se sente pas déguisé, car cette étoffe assouplie par la fatigue n'est ni la bure qui couvre les religieux ni le triste complet-veston que nous portons tous, mais quelque chose d'intermédiaire, l'uniforme d'une grande armée sans discipline, capricieuse, éparse à la face du monde, l'armée des solitaires, doux anarchistes.
Quizás no fuera por orden de Jerónimo… no sé, desapareció porque las cosas a veces desaparecen nada más que por eso, porque los hombres las necesitan y las usan y las usan tanto que las gastan hasta hacerlas desaparecer… a no ser que nosotras las mujeres ignorantes que no comprendemos nada ni sabemos nada de nada y nos cansamos con todo y lloramos porque no tenemos otra cosa en que entretenernos, nosotras a veces guardamos las cosas, las escondemos para que ellos no las usen y después las boten y pasen a otra cosa… nosotras no, las guardamos porque nos llamamos por teléfono y comentamos y hablamos estupideces y nos contamos chismes, pero en esas estupideces y en esos chismes que nos contamos por teléfono, en la cama, por la mañana, con las migas de las tostadas del desayuno en la colcha, en esos comentarios idiotas, a veces, una preserva algo importante disfrazado de cosa trivial, y otra mujer, una prima a la que una le debe visita, por ejemplo, y la llama por teléfono porque le aburre ir a verla, guarda eso, lo envuelve, lo preserva y lo transmite.
Peut-être n’est-ce pas sur l’ordre de Jerónimo… je ne sais pas, il a disparu parce que parfois les choses disparaissent, c’est tout, parce que les hommes en ont besoin et s’en servent et s’en servent tant qu’ils les usent au point de les faire disparaître… à moins que nous, femmes ignorantes, qui ne comprenons rien ni ne savons rien de rien et nous lassons de tout, et qui pleurons parce que nous n’avons pas d’autre façon de nous amuser, à moins oui que nous ne gardions parfois les choses, et ne les cachions pour qu’ils ne les jettent pas après s’en être servis et avant de passer à autre chose… non, nous les gardons parce que nous nous appelons au téléphone, pour bavarder et dire des sottises : dans des cancans que nous racontons au téléphone, au lit, le matin, avec les miettes des toasts du petit déjeuner sur le couvre-lit, dans ces bavardages idiots, on préserve parfois quelque chose d’important déguisé en une trivialité, et une autre femme, par exemple la cousine à qui l’on doit une visite et à qui l’on passe un coup de téléphone parce que ça nous ennuie d’aller la voir, range cela, l’enveloppe, le protège et le transmet.
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