Translation for "envuelve" to french
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Envuelvo las tres cintas que ya he escuchado en el plástico de burbujitas y las vuelvo a colocar dentro de la caja de zapatos. Acabado. Hecho.
J’enroule les trois cassettes que j’ai déjà écoutées dans le papier bulle et les replace dans le carton. Finies. Terminées.
Se sitúa en Lisboa, en los años cuarenta, cuando la Segunda Guerra ha terminado, no la dictadura salazarista, que aparece como una sombra o un silencio que todo lo envuelve.
Il se passe à Lisbonne dans les années quarante du vingtième siècle, quand la Seconde Guerre mondiale est terminée, mais pas la dictature de Salazar, qui apparaît comme une ombre ou un silence enveloppant tout.
Salgo después de una hora, de hora y media si hay turnos, pero antes de salir envuelvo mi atado de ropa limpia en bolsas de plástico, para que no se me llene de hollín mientras camino por la calle de los autobuses.
Je termine au bout d’une heure ou une heure et demie s’il y a du monde, mais avant de sortir, j’emballe mes vêtements propres dans des sacs en plastique pour qu’ils ne se salissent pas le temps de passer dans l’avenue des autobus.
Sé perfectamente que esta carta se cruzará con otra donde usted me dirá, sabia y acertadamente, que no debemos volver a encontrarnos ni volver a vernos; que incluso las cartas, ese espacio de libertad, deben cesar. Y el argumento que nos envuelve, las fórmulas que nos atan, declaran que yo, como caballero que soy, debo acatar ese requerimiento, al menos por algún tiempo, y confiar en que el Hado, o el argumentista que lleva la cuenta de nuestros pasos, decrete un nuevo encuentro, un re-comienzo accidental…
Je sais parfaitement que ma lettre va en croiser une de vous, qui dira, avec sagesse, avec justesse, que nous devons ne plus jamais nous revoir, ne plus jamais nous rencontrer – que même notre correspondance, cet espace de liberté, doit se terminer. Et le schème auquel nous appartenons, les conventions auxquelles nous sommes liés, déclarent que je dois, en gentleman, consentir à de telles exigences, provisoirement tout au moins, et espérer que le Destin, ou le faiseur de schèmes qui veille sur nos actions, décrète une nouvelle rencontre, un recommencement imprévu…
Y no sólo qué designa sino qué conecta con qué, cómo «soluciona» o cómo y con qué alevosía fabrica la extraña continuidad entre el desborde de efusión que lo arrastra a él, enamorado flamante, pavo real cuyos despliegues de extroversión, en caso de no tolerarlos, sería fácil moderar con humor, frenar cambiando el tema de la conversación o incluso ignorar dejándolo hablar solo, en el vacío, como ya han hecho sin malevolencia varias de las personas que comparten la mesa, convencidas de que el caldo de amor en el que flota es tan pleno y excluyente que descubrirse flotando en él solo no sólo no disminuirá en nada su regocijo sino que acaso lo incremente —cómo liga su felicidad, en una palabra, con las cicatrices que el oligarca torturado esconde bajo el algodón de sus calzoncillos de marca, rastros de una pesadilla indecible que si no ha terminado, como es evidente, no es sólo por la alta probabilidad de que el uniformado que lo secuestró ande suelto por la calle, el que lo obligó a desnudarse no tenga más cuentas pendientes con la ley que una vieja multa por mal estacionamiento, el que lo ató al elástico compre el vino en cartón con el que se emborracha en el mismo supermercado que él, el que lo torturó entre y salga del país como Pancho por su casa y todos, semana por medio, se reúnan a evocar los buenos viejos tiempos en el bar de la esquina, sin temer más represalias que las que pueden propinarles una porción de tarta de acelga en mal estado, una gaseosa sin gas o una cuenta que les cobra más de lo que gastaron, sino también porque todavía quedan en el mundo personas como él, desconocidas, que irrumpen en una fiesta y atraviesan la noche fulgurantes como cometas, encendidos por la mujer que tienen a su lado, que no habla y de la que no pueden separarse, porque si se separaran de ella, como sucedería con la tierra si el sol dejara de brillar de golpe, toda la luz que los envuelve, y que sólo por una ilusión óptica parecen irradiar, se apagaría, y sólo parecen existir para enrostrarle al mundo la evidencia descarada de su dicha.
Et pas seulement ce que cela désigne, mais ce que cela relie à quoi, comment cela « résout », ou comment et par quelle violence cela crée une étrange continuité entre le débordement d’effusions qui l’emporte, lui, l’amant flambant neuf, le paon dont on pourrait aisément, si on ne le supporte pas, calmer avec humour, freiner en changeant de sujet de conversation ou même ignorer l’étalage d’extraver-sion en le laissant parler seul, dans le vide, comme l’ont déjà fait sans malveillance plusieurs des personnes assises à la table, persuadées que le bain d’amour dans lequel il trempe est si profond et exclusif que découvrir qu’il y baigne tout seul non seulement ne réduira en rien son plaisir, mais l’augmentera peut-être – comment cela relie son bonheur, en un mot, et les cicatrices que l’oligarque torturé cache sous le coton de son slip de marque, stigmates d’un indicible cauchemar qui n’est à l’évidence pas terminé, non seulement parce qu’il est fort probable que le militaire qui l’a séquestré se promène en liberté, que celui qui l’a forcé à se mettre à nu devant lui n’ait d’autres comptes à rendre à la justice qu’une vieille amende impayée pour stationnement gênant, que celui qui l’a attaché à la barre de fer achète le vin en carton dont il se saoule dans le même supermarché que lui, que celui qui l’a torturé quitte le pays et y retourne comme n’importe qui sort de chez lui, et que ces gens se réunissent au café du coin toutes les deux semaines pour parler du bon vieux temps sans craindre d’autres châtiments que ceux que peuvent leur infliger une part de tarte aux blettes avariée, une limonade sans gaz ou une addition qui leur impute plus qu’ils n’ont consommé, mais aussi parce qu’il reste encore au monde des individus comme lui, des inconnus qui font irruption dans une fête, traversent la nuit telles de fulgurantes comètes, enfiévrés par la femme qu’ils ont à leurs côtés et dont ils ne peuvent se séparer – car s’ils le faisaient, comme il arriverait à la terre si le soleil cessait soudain de briller, toute la lumière qui les enveloppe et qu’ils ne paraissent émettre que par un effet d’optique s’éteindrait –, et ne semblent exister que pour jeter l’évidence effrontée de leur bonheur à la face du monde.
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