Translation for "permitirle" to french

Permitirle

• lui permettre
• permettez-lui

Translation examples

lui permettre

—¿Que no puedes permitirlo?
— Vous ne pouvez pas le permettre ?

No podemos permitirlo.
On ne saurait le permettre.

Y no puedo permitirlo.
Je ne peux pas permettre cela.

Y no podía permitirlo.
Il ne pouvait pas le permettre.

permettez-lui

También puede serlo en el tuyo, si os limitáis a permitirlo.
Ce sera le cas dans le vôtre aussi, si vous le permettez.

Debo añadir que, como hombre que nunca se ha casado, he sido especialmente sensible a las mujeres; de hecho, las he tenido en gran estima, y reconozco ya aquí que viví una o dos experiencias sexuales en esta época que describo, esta época de vida urbana ya invidente, en mi papel de joven apuesto rondando los veinte años, cuando nuestros padres aún vivían y ofrecían muchas veladas, y recibían a la flor y nata de la ciudad en nuestra casa, una casa que era un homenaje monumental al diseño victoriano tardío y no se vería afectada por la modernidad —como por ejemplo la concepción del interiorismo de Elsie de Wolfe, amiga de la familia, quien, ante la negativa de mi padre a permitirle reformar toda la mansión, no volvió a poner los pies en ella—, y que a mí siempre me resultó cómoda, sólida, fiable, con sus grandes muebles tapizados, o las sillas acolchadas estilo Imperio, o los tupidos cortinajes sobre los visillos en las altas ventanas, o los tapices medievales colgados de barras doradas, y las estanterías empotradas, las gruesas alfombras persas, y las lámparas de pie con borlas colgando de las pantallas y las parejas de ánforas de imitación china en las que casi cabía una persona… todo era muy ecléctico, en cierto modo un registro de los viajes de nuestros padres, y quizás a los visitantes les resultaba un tanto abigarrado, pero a nosotros nos parecía bien y normal, y era nuestro legado, de Langley y mío, esa sensación de vivir con objetos rotundamente inanimados, y tener que circundarlos. Nuestros padres pasaban un mes al año en el extranjero, viajando en tal o cual transatlántico.
Je dirais que pour un homme qui ne s’est jamais marié j’ai été particulièrement sensible aux femmes, je les ai beaucoup appréciées, en vérité, et permettez-moi d’admettre sans façon que j’ai connu une expérience sexuelle ou deux en cette époque que je décris, cette époque de ma vie citadine aveugle de beau jeune homme de moins de vingt ans, quand nos parents vivaient encore, donnaient de nombreuses soirées et recevaient les gens les plus importants de la ville dans notre maison, un tribut monumental au style victorien déclinant qui allait être dépassé par la modernité – comme, par exemple, les décorations intérieures d’une amie de la famille, Elsie de Wolfe, laquelle, après que mon père lui eut interdit de rénover la maison entière, ne mit plus jamais le pied chez nous – et que j’ai toujours trouvée confortable, solide, fiable, avec ses gros meubles capitonnés, ses chaises Empire à franges, les lourdes draperies coiffant les tentures aux fenêtres hautes du sol au plafond ou les tapisseries médiévales suspendues à des barres dorées, et les bibliothèques pansues, les épais tapis persans, les lampadaires aux abat-jour garnis de pompons et les amphores chinoises assorties dans lesquelles on aurait presque pu entrer… tout cela très éclectique, une sorte de carnet de voyage de nos parents et, si encombré que ce pût paraître aux étrangers, cela nous semblait, à nous, normal et juste, tel était notre héritage, à Langley et à moi : cette impression de vivre avec des objets ostensiblement inanimés, et d’avoir à les contourner.