Translation for "muerdeme" to french

Muerdeme

• mords moi
• mors-moi
• mord moi
• me mordent

Translation examples

mords moi

—Muérdeme la mano, muérdeme —le dijo entre susurros, y ella lo hizo;
« Mords ma main, mords-moi », siffla-t-il, ce qu’elle fit ;

—Muérdeme tú a mí —le replicó ella.
— Mords-moi donc, dit-elle.

Patéame, muérdeme, hazme sangrar…, vuélveme loco.
Bats-moi, mords-moi, fais-moi saigner… rends-moi fou !

Apareció una caja plateada en la que, en una de sus caras, alguien había añadido la leyenda «MUÉRDEME».
Quelqu’un avait ajouté la légende MORDS-MOI sur un de ses côtés.

—Muérdeme… Quiero que me muerdas… Ahí en el cuello, debajo del pelo, como lo hacen los gatos con las gatas…
« Mords-moi... Je veux que tu me mordes... Là, dans le cou, sous les cheveux, comme les chats font aux chattes... »

Contempló la cabeza de lince con los ojos enrojecidos y llenos de ferocidad. –¡Muérdeme!
Il regarda la tête de lynx, de ses yeux rouges et enflammés. — Allez, mords-moi !

Mercy tenía las manos cerca de su entrepierna y una de ellas se cerró sobre su erección. —Muérdeme. —De acuerdo.
Les mains toutes proches de son entrejambe, elle en referma une sur son érection. — Mords-moi. — D’accord.

—Muérdeme si necesitas hacerlo —dijo, levantando el cuchillo. Jody gruñó.
« Tu me mords si tu ne peux pas faire autrement », dit-il en élevant la lame. Jody grogna.

Apenas dos semanas después me encontraba ya en unas muy estrechas relaciones con Prímula, durante las cuales solía tirarme de la oreja y gritar: «¡Muérdeme, animal!», «¡Despedázame, bestia!».
Deux semaines plus tard, Primula et moi avions déjà des relations très intimes. Elle adorait me secouer par les oreilles en s’exclamant : “Mords-moi, animal !”

Al principio una mezcla de miedo y reserva, luego un pelín de simpatía, reforzada por pequeños, aunque costosos, souvenires, luego «Muérdeme, cómeme entera», luego el regreso del papá, triste despedida y una merma cada vez más apreciable del tesoro.
D’abord, un mélange de crainte et de réserve, puis des liens de sympathie, consolidés par quelques petits souvenirs de valeur, ensuite c’étaient les “Mords-moi ! Mange-moi tout entière !” et puis le retour du papa, les tendres adieux et le trésor qui se réduit de plus en plus.