Translation for "los transporté" to french

Los transporté

• je les ai transportés
• je les transportais

Translation examples

je les ai transportés

Nosotros le conseguimos un transporte y usted nos lleva a Barcelona. —¿Transporte? ¿Qué transporte?
Nous vous trouvons un transport, et vous nous emmenez à Barcelone. — Transport ? Quel transport ?

Pero ¿qué transporta?
Mais que transporte-t-il ?

—¿Qué transportas esta vez?
— Qu’est-ce que tu transportes ?

Ahí tienes para el transporte.
— C’est pour le transport…

—¿Por qué me transportó?
— Pourquoi m’a-t-il transporté ?

Del transporte de fantasmas.
De transporter des fantômes.

No tenía medio de transporte.
Il n’avait pas de moyen de transport.

¿Pagar el transporte?
Et payer le transport ?

je les transportais

La mesa y la silla las transporté al garaje, donde ya se amontonaban numerosas herramientas.
Je transportai la table et la chaise dans le garage où se trouvaient déjà pas mal d’outils.

Transporté mi jarra preguntándome qué mosca le habría picado ahora a aquel gran buey.
Je transportai ma chope en me demandant quelle mouche avait maintenant piqué ce grand animal.

Al llegar al laboratorio transporté de nuevo a Elizabeth, la tendí sobre la mesa de operaciones que había utilizado con el perro y me puse a trabajar.
« Arrivé au laboratoire, je transportai à nouveau Elizabeth, l’allongeai sur la table d’opération qui m’avait servi pour le chien et me mis au travail.

Más tarde averiguaré que han depositado la bomba en un bote de gas de quince kilos junto con unos pernos, unos fragmentos de vidrio y unos clavos, y que eso es lo que transporto en la bolsa, la misma que dejé en el guardarropía del Hozan mientras almorzaba esta tarde, la misma que he llevado tan campante por las calles de París.
Plus tard, j’apprendrai que la bombe avait été placée dans une bonbonne de gaz en métal de quinze kilos, remplie de boulons, d’éclats de verre et de clous divers, et que c’était ça que je transportais et que j’ai laissé au vestiaire à Hozan pendant que je déjeunais en début d’après-midi, le fourre-tout que je trimballais sans effort en marchant dans les rues de Paris.