Translation for "la atrofia muscular" to french
La atrofia muscular
Translation examples
Cuando despertamos, pensamos que era un efecto de la atrofia muscular que teníamos.
– Au début, quand nous nous sommes réveillés, nous pensions que c’était un effet de l’atrophie musculaire dont nous souffrions.
Entre eso y la atrofia muscular, volver a tener peso (ya fuera mediante rotación, aceleración o gravedad) era una situación peligrosa.
Entre ce phénomène et l’atrophie musculaire, le moment où l’on retrouvait son poids – par la giration, la poussée ou la gravité – était aussi le plus propice à des blessures.
Debería haber visitado a la señora Beaver más a menudo para comprobar sus úlceras de decúbito y su atrofia muscular… y su salud mental.
Elle aurait dû rendre visite à Mrs Beaver plus souvent pour surveiller ses escarres et son atrophie musculaire – ainsi que sa santé mentale.
Había parejas —¡muchísimas!— que al regresar a Siberia pasados los tres meses de rigor descubrían horrorizadas unos defectos que no habían notado (trastornos afectivos, trastornos del desarrollo, enfermedades pulmonares, cardiopatías, autismo, atrofias musculares, displasia ósea, síndrome de alcoholismo fetal) y que entonces eran evidentes.
– étaient revenus en Sibérie après les trois mois requis pour découvrir, horrifiés, que des anomalies qu’ils n’avaient pas relevées – troubles de l’attachement, retard de croissance, maladies des poumons, du cœur, autisme, atrophies musculaires, dysplasie osseuse, syndrome d’alcoolisme fœtal – ne pouvaient désormais être contestées.
Eso no lo consiguió, pero la botella se mecía colgada en su gancho antes de que él se diera cuenta de que aún tenía las dos manos encima de la colcha, con los dedos ligeramente contraídos a causa de la atrofia muscular que la fisioterapia podía ralentizar pero no impedir… no, al menos, mientras el paciente durmiera el largo sueño de las ondas cerebrales de baja frecuencia.
Il n’y parvint pas mais le flacon se balança sur son crochet avant que Brady ne se rende compte que ses deux mains étaient toujours posées sur le couvre-lit, les doigts légèrement recroquevillés en raison de l’atrophie musculaire que la rééducation pouvait retarder mais pas stopper – pas quand le patient dormait du profond sommeil de l’onde delta.
Pero esa noche ve aparecer al cantautor de protesta en el escenario del «pub», ve su silueta avanzar desde el fondo, alta, desgarbada, rociada de aplausos y gritos mordidos, tanto que de golpe se hace difícil precisar si lo alientan o lo amenazan, y acomodarse con su guitarrita criolla en el taburete alto que han instalado en proscenio, ve cómo un haz luminoso disparado desde el techo lo entuba de brillo y recorta su cabeza enrulada y el contorno de sus anteojos de miope, los dos hallazgos más persistentes de su iconografía personal —además, claro, de la sempiterna sonrisa, tan inseparable de su rostro que más de una vez la han atribuido a una forma benévola de atrofia muscular—, intactos, todos, a pesar de los siete años de exilio, y de algún modo puestos de relieve por el mameluco blanco que lleva puesto, uno de esos «carpinteros» que se abrochan a la altura del pecho y que usan no los carpinteros, que no han visto uno ni pintado, sino las mujeres embarazadas, las maestras jardineras y los actores que, hartos de probar suerte en audiciones multitudinarias y ser rechazados, terminan asilándose en el mundo de las obras de teatro para chicos o las comedias musicales, lo único nuevo, por otra parte, que parece haberse traído del molino sin luz ni agua potable en el que dicen que vivió en las afueras de Madrid, eso, el mameluco blanco, y una canción que esa noche no tarda en cantar, primicia para todos y revelación total para él, que al escucharla cree comprender algo decisivo para su vida —esa noche lo ve, él, que sólo lo conoce por las tapas de sus discos, las fotos de las revistas, las presentaciones en programas de televisión, y se pregunta estupefacto a quién puede habérsele pasado por la cabeza que pueda ser peligroso, que valga la pena hostigarlo, hacerle la vida imposible, forzarlo a dejar el país, borrar del mapa sus canciones.
Mais, ce soir-là, il voit apparaître le chanteur engagé sur la scène du pub, il voit sa haute silhouette dégingandée s’avancer depuis le fond, sous les applaudissements et parmi les cris si rares qu’on a soudain du mal à comprendre s’ils sont censés l’encourager ou le menacer, et, sa petite guitare sèche à la main, s’asseoir sur le tabouret qu’on a installé sur le devant de la scène ; il voit la façon dont le faisceau lumineux qui descend du plafond forme un tube brillant, découpe la forme de sa tête frisée et le contour de ses lunettes de myope, les deux trouvailles les plus durables de son iconographie personnelle – avec, bien sûr, son sempiternel sourire, tellement inséparable de son visage qu’on l’a plus d’une fois expliqué par une forme bénigne d’atrophie musculaire –, toutes deux inchangées, malgré sept ans d’exil, et d’une certaine façon mises en valeur par la salopette blanche qu’il porte, une de ces tenues de chantier qu’on boutonne au niveau de la poitrine et qu’utilisent non pas les ouvriers – jamais aucun n’en a porté une –, mais les femmes enceintes, les ménagères qui font du jardinage et les comédiens qui, las de tenter leur chance à de multiples auditions et d’essuyer des refus, finissent par se réfugier dans le monde du théâtre pour enfants ou des comédies musicales, la seule nouveauté qu’il semble avoir ramenée du moulin sans eau potable ni électricité où il a vécu, dit-on, aux environs de Madrid, ça, la salopette blanche, et une chanson qu’il ne tarde pas à chanter ce soir-là, une primeur pour tout le monde et une révélation complète pour lui qui, en l’écoutant, croit comprendre une chose essentielle à sa vie – ce soir-là il le voit, lui qui ne le connaît qu’à travers les pochettes de ses disques, les photos des magazines et les programmes de télévision, et se demande avec stupéfaction qui a bien pu croire que ce type était dangereux, qu’il méritait d’être harcelé, qu’il fallait lui rendre la vie impossible et qu’on devait le pousser à quitter le pays, à emporter à jamais ses chansons avec lui.
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