Translation for "jefazo" to french
Translation examples
—¿Y tú qué harás, jefazo?
— Et toi, qu’est-ce que tu vas faire, patron ?
Así pues, ¿quién es el jefazo?
Alors qui est le grand patron ? 
Para el jefazo Joe Coughlin. —Olvídalo.
C’est toi le patron, Joseph Coughlin. – Oh, arrête.
—¡Es uno de los jefazos del banco! —dijo Olga, encantada—.
— Il est l’un des grands patrons de la banque ! jubila Olga.
«Han asesinado a uno de los jefazos del Banco Ebezner», decían.
« Un des grands patrons de la Banque Ebezner a été assassiné », disait-on.
Varios jefazos del cártel presumían de sus capillas privadas.
Plusieurs patrons du cartel s’enorgueillissaient de posséder des chapelles privées.
Durante todo el santo día me avasallan el capataz, el gerente y el jefazo.
Du matin au soir, je suis bousculé par le contremaître, par le surveillant, par le grand patron.
Cada siete años, cuando cambia el partido, cambian los jefazos.
Le grand patron change avec le parti, tous les sept ans.
—Ella es muy linda. —Bastante —dijo Rudolph—. Sobre todo, por ser hija de un jefazo.
— Elle est gentille, dit Gretchen. — Assez. Surtout pour la fille d’un patron.
Yo soy Obergefreiter, y durante veinticuatro horas protejo aquí al jefazo del Gran París.
Moi je suis Obergefreiter, et pour vingt-quatre heures, je garde ici le patron du Grand Paris.
Jefazo no es un chusquero;
Non, le chef, c’est pas vraiment un rempilé ;
Los jefazos irlandeses recelaban de él.
Les chefs irlandais se méfiaient de lui.
Contrataron directamente a un jefazo de Aduanas.
Ils ont directement engagé un chef des douanes.
Newt está contento porque ya no tiene que hacer más de jefazo.
Newt a l’air soulagé de ne plus être le chef.
Los jefazos irlandeses preferían a Barney Rosenblatt.
Les chefs irlandais préféraient Barney Rosenblatt.
Pero necesitamos a los jefazos de nuestra parte ahora que el caso está candente.
Mais il faut qu’on ait les chefs avec nous maintenant que l’affaire est chaude.
Vaya a Washington y dígaselo al jefazo, o al mismo presidente.
Allez à Was­hing­ton en parler au grand chef, ou même au président.
– ¿Muertos? ¿Todos muertos? -repitió furioso el jefazo del Kremlin, Antonov-.
— Comment, tous morts ? s’exclama le chef du Kremlin, Georgi Antonov.
Esperaba al menos una foto sonriente de vuestro jefazo estrechando las manos de los nativos.
Je m’attendais à en trouver au moins une montrant une souriante poignée de main entre vos grands chefs et les locaux. »
–Si el jefazo de la delegación lo sabía, no dijo nada, lo que significa que no lo sabía, ya que de lo contrario me lo hubiese dicho.
— Le grand chef ne l'a pas précisé, mais à mon avis il n'en sait rien, sinon il se serait empressé de me le dire.
¿Qué hay, bebé jefazo?
Ça roule, Baby Boss ?
En cien años que llevo en el oficio, nunca he oído que el jefazo sea responsable.
Depuis cent ans que je suis dans le métier, jamais encore entendu que le boss est responsable !
Todos pensamos que, después de eso, le quedaría una semana de vida, como mucho, pero se fue a Kingston, informó al Jefazo de las dimensiones de sus pelotas y le retó a tomar represalias.
On a tous pensé qu’il avait environ une semaine à vivre après ça, mais il est parti à Kingston montrer au Boss que, lui, il avait des couilles, et qu’ils essaient donc les représailles.
Luego le dio las flores y se marchó, después de que el jefazo del hospital le prometiera, por teléfono desde su torre de marfil, que Emma permanecería en esta habitación hasta que recibiera el alta.
Puis il lui offrit les fleurs et la laissa, non sans avoir obtenu de la bouche du big boss de l’établissement, qui l’avait appelé depuis sa tour d’ivoire, la promesse qu’Emma-Jane resterait dans cette chambre jusqu’à sa sortie.
King, que estabas haciendo como mínimo tres cosas más mientras con un oído seguías controlando los timbres del manos libres, dispuesta a levantar el auricular y a saludarme en italiano arrastrando tus erres y que, por el contrario, acabas de oír cómo la señal de libre de pronto se ha convertido en ocupado, signo bastante inequívoco de que ese tal Paladini, cuyo número lleno de 7 has marcado hace un instante, pulsando en el teclado de tu consola con los largos dedos de uñas pintadas de —a ver si lo adivino— amaranto, esa auténtica nulidad en comparación con las altas personalidades a cuyos números privados te has visto llamando cada vez más a menudo en estos últimos tiempos, ese don nadie italiano se ha atrevido, pues sí, a apagarle el aparato en los morros a tu omnipotente jefazo, de quien, como cualquier secretaria del mundo, estás secretamente enamorada…
King, alors que, occupée au moins à trois autres tâches, tu surveilles d’une oreille le nombre de sonneries dans le haut-parleur, prête à répondre et à me saluer en italien avec ton r guttural, et que tu viens d’entendre le signal libre se muer à l’improviste en occupé, signe assez irréfutable que ce Paladini dont tu viens de composer le numéro de portable plein de sept en pianotant de tes longs doigts aux ongles vernis de – laisse-moi deviner – d’amarante, cette authentique nullité par rapport aux personnalités dont tu t’es retrouvée ces derniers temps à appeler de plus en plus souvent les numéros privés, cet Italien qui n’est personne a osé, eh oui, éteindre son téléphone au nez de ton boss tout-puissant – dont, comme toute secrétaire au monde, tu es secrètement amoureuse…
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