Translation for "finisecular" to french
Finisecular
Translation examples
Las fotografías eran mucho más interesantes, claramente elegidas para reforzar el ambiente finisecular que se palpaba en el hotel.
Les photographies étaient plus intéressantes, on les avait manifestement choisies pour renforcer l’atmosphère fin de siècle du lieu.
—Ese número 1999 pintado en el cobertizo… —dijo—. ¿Es una referencia al famoso programa finisecular de tu madre?
— Ce nombre 1,999 peint sur le hangar, dit-il, je suppose que c’est une référence au fameux programme fin de siècle de ta mère ?
Es un libro que pertenece a esa época, desde luego, a la década de 1890, al periodo finisecular, a esa etapa que llaman decadentismo.
C’est un texte qui appartient à son temps bien sûr, les années 1890, fin de siècle, la Décadence, comme on l’appelait.
El barrio le pareció un tanto insípido después de la elegancia finisecular del parque. Las propias tiendas parecían chabacanas y los edificios no tenían el menor encanto.
Avec ses commerces minables, ses immeubles quelconques, ce quartier lui sembla bien terne, après l’élégance fin de siècle du parc.
Quisiera que le gustasen los claros de luna, las rosas, las nostalgias exóticas, las languideces primaverales, las neurosis finiseculares, todas ellas cosas de las que yo, personalmente, abomino, pero que en nuestros días quedan bien en una novela. MORCOL
Je voudrais qu’il aimât les clairs de lune, les roses pompon, les nostalgies exotiques, les langueurs printanières, les névroses fin de siècle, toutes choses que personnellement j’abomine mais qui, de nos jours, font bien dans un roman. MORCOL
En el restaurante Danubio, en la Plaza Lenin, las paredes están pomposamente cubiertas de rojo, con una pretensión de décor finisecular, pero la luz es tenue y el mediodía sin nubes aliado con la araña encendida en la sala encajonada no basta para poder leer el menú.
Au restaurant Danube, Place Lénine, les murs sont pompeusement tendus de rouge, avec une prétention de décor* fin de siècle, mais la lumière est faible et l’association d’un midi sans nuages et d’un plafonnier allumé dans cette salle encaissée ne permet pas de lire le menu.
La fachada finisecular del hotel de la Cité, grandiosa en su sobriedad, acaparó su atención. Cubierta de hiedra, con rejas de hierro forjado, vidrieras en las ventanas y toldos del color de las cerezas maduras; todo en ella hablaba de opulencia. Mientras miraba, se abrieron las puertas, revelando un interior de artesonados y paredes cubiertas de tapices, del que salió una mujer de elevada estatura, pómulos altos, pelo negro impecablemente cortado y recogido, y gafas de sol con montura dorada.
Cependant, c'est la façade fin de siècle de l'hôtel de la Cité, aussi noble que discrète, qui capta son premier regard. Avec son lierre grimpant, ses grilles de fer forgé, ses baies cintrées entièrement vitrées et ses auvents écarlates, le bâtiment respirait l'aisance des villes bien nanties. Alors qu'elle contemplait les détails de façade, les portes coulissèrent et une femme apparut. Grande, la pommette saillante, elle arborait une chevelure d'un noir d'ébène encadrant un visage à demi caché par des lunettes de soleil à monture dorée.
Imbuido de fantasías pasadistas, regresaba don Sebastián por las calles atareadas del centro -erecto y cauto en su pulcro terno negro, su camisa de cuello y puños postizos donde destellaba el almidón y sus zapatos finiseculares con escarpines de charol- hacia la Pensión Colonial, donde, arrellanado en una mecedora frente al balcón de celosías -tan afín a su espíritu perricholista- pasaba el resto de la mañana leyendo murmuradoramente los periódicos, avisos incluidos, para saber cómo iba el mundo.
Imbu d’imaginations passéistes, don Sebastián revenait par les rues affairées du centre – raide et réservé dans son complet noir soigné, sa chemise à col et poignets postiches où brillait l’amidon et ses escarpins vernis fin de siècle – en direction de la Pension Coloniale où, commodément installé dans un rocking-chair devant le balcon aux jalousies – tellement accordés à son esprit péricholiste – il passait le reste de la matinée à lire en marmonnant les journaux, publicités incluses, pour savoir comment allait le monde.
Son los ingeniosos y brillantes representantes de una antigua cultura dedicada al comercio, lo cual, junto a las cantidades masivas de petróleo que bañan sus costas, ayuda a explicar por qué su país es la más exitosa de nuestras antiguas repúblicas soviéticas y es conocida como la Noruega del Caspio. Miré por la ventanilla para ver cómo el avión seguía las curvas del Danubio mientras las elegantes casas austriacas, con sus azoteas en forma de pico y sus piscinas en el jardín trasero, se convertían en los bloques de apartamentos que rodeaban el achaparrado castillo de Bratislava, Eslovaquia; que, a su vez, cedían su lugar a la melancólica construcción de Budapest (incluso podía ver el Parlamento finisecular de la zona de Pest y el viejo centro de poder austrohúngaro en la de Buda); para acabar todo en una especie de paisaje balcánico destrozado por la guerra: ciudades machacadas hasta parecer imprecisas formas orgánicas, puentes rotos, un amasijo de casas de tejas naranjas hechas polvo y unidas como arrecifes de coral.
Ils sont les représentants habiles et pleins de ressources d’une vieille tradition de négoce qui, conjuguée aux quantités massives de pétrole à proximité de leurs côtes, contribue à expliquer pourquoi leur pays est le plus prospère de nos anciennes républiques soviétiques, la prétendue Norvège de la Caspienne. Je me tournai vers le hublot pour regarder notre avion suivre les méandres du Danube à mesure que les rangées ordonnées de maisons autrichiennes, avec leurs toits pointus et leurs piscines de jardin, se transformaient en cités autour du château trapu de Bratislava, en Slovaquie, laissant place à leur tour à l’architecture mélancolique de Budapest (je parvins même à distinguer le Parlement fin de siècle* côté Pest et le vieux siège du pouvoir austro-hongrois côté Buda), qui se changea, pour finir, en une sorte de paysage balkanique dévasté par la guerre, villes bombardées à l’état de formes organiques aléatoires, ponts béants, chaos de maisons éventrées aux toits orange, agglutinées comme des récifs de corail.
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