Translation for "espíritu empresarial" to french
Translation examples
Tú, Bonhart, confundes el robo con el espíritu empresarial del individuo.
Tu confonds la friponnerie avec l’esprit d’entreprise individuel, Bonhart.
—A base de las parcelas que el imperio garantiza a los colonos, con un poco de espíritu empresarial y un pequeño capital inicial se puede uno hacer con un latifundio no poco bonito. —Entiendo.
— Avec les revenus que l’empereur garantit aux colons, on peut, avec un minimum d’esprit d’entreprise et un petit capital, se constituer de beaux latifundia.
Se aseguraron los unos a los otros la necesidad de crear un planeta en el que el verdadero espíritu empresarial estuviera permanentemente a salvo de la envidia y la codicia de las masas.
Ils se confortaient mutuellement dans l’idée qu’il fallait à tout prix créer un monde où le véritable esprit d’entreprise serait à jamais hors de portée de l’envie et de l’avarice des masses.
Ya le he contado todo lo que le hace falta saber sobre el espíritu empresarial: cómo se favorece, cómo logra superar los obstáculos, cómo persigue sus objetivos con constancia y cómo es recompensado con la medalla de oro del éxito.
Je vous ai expliqué l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur l’esprit d’entreprise : comment il est encouragé, comment il surmonte les épreuves, comment il reste fidèle à ses véritables objectifs et comment il est récompensé par la médaille d’or du succès.
Cuando haya oído la historia de cómo llegué a Bangalore y de cómo me convertí en uno de sus hombres de negocios más exitosos (aunque probablemente de los menos conocidos), sabrá usted todo lo que hay que saber sobre cómo nace, se alimenta y se desarrolla el espíritu empresarial en este glorioso siglo XXI.
Quand vous saurez comment je suis arrivé à Bangalore et devenu l’un de ses plus performants (bien que probablement le moins connu) hommes d’affaires, vous connaîtrez tout ce qu’il faut savoir sur la façon dont l’esprit d’entreprise naît, s’épanouit et se développe dans ce glorieux XXIe siècle de l’homme.
Morgonsala, vio, era una pequeña población de unos sesenta y ocho habitantes situada al noreste de Tierp y con una gran extensión de bosque y de llanura. Había una iglesia, naturalmente, una serie de sitios de interés arqueológico y algunas naves industriales de los años setenta y ochenta —cuando esos lares gozaban de cierto espíritu empresarial— que hoy estaban abandonadas, lo que llamó la atención de Lisbeth.
Morgonsala, lut-elle, une municipalité de soixante-huit habitants au nord-est de Tierp principalement constituée de forêt et de plaine. Le village possédait une église, bien sûr, quelques vestiges de l’Antiquité et puis des bâtiments industriels désaffectés construits dans les années 1970 et 1980, une période où l’esprit d’entreprise bouillonnait dans la commune. Lisbeth trouva cela vaguement intéressant.
En principio, fue mi editor checo quien me invitó a este viaje con motivo de la publicación de su edición de La máquina de la mente… Acepté, supongo que halagado porque consideraron digno de traducirse mi libro, que databa de hacía diez años, y pensé que merecían mi apoyo… después el editor solicitó de inmediato al British Council que le financiara, y el Council accedió a condición de que yo diera una conferencia y un seminario en la universidad, así que dije «de acuerdo», y al final el programa se volvió muy apretado, entre la conferencia y el seminario y entrevistas de prensa y firma de libros y hasta una entrevista de tres minutos en el noticiario nacional de televisión… Mi editor, Milos Palacky, a quien nunca había visto, resultó ser un producto típico del nuevo espíritu empresarial capitalista posterior al marxismo, un personaje jovial pero astuto que se había agenciado toda esta publicidad sin soltar una sola koruna, aparte de pagar la cuenta del almuerzo un día (sopa de coliflor con gachas, asado de jabalí con gachas, gachas de fruta con gachas)… Según un escritor checo que he conocido, Palacky es famoso por no pagar los derechos de autor que debe, y yo no debería esperar más dinero que el anticipo bastante modesto que he recibido… No me quedé tranquilo cuando me presentaron a mi traductora, una señora de edad mediana que no hablaba inglés muy bien y no parecía tener una formación científica, pero no pude sondear a Palacky al respecto porque él tampoco sabe mucho inglés… íbamos a todas partes acompañados de dos matones de hombros anchos, con trajes negros y gafas oscuras, que abrían puertas y contenían a la gente cuando él se apeaba de su coche para entrar en un edificio… se supone que su misión era impedir que le agredieran acreedores furiosos… Bueno, no tardé mucho en percatarme de que me estaban explotando, pero seguí en la brecha, hice mi trabajo como un profesional ante los medios de comunicación y los libreros, di mi conferencia polivalente y tantas veces repetida sobre el problema de la conciencia ante una sala repleta en la Universidad Carlos… La brecha explicativa de Levine, la asombrosa hipótesis de Crick, la pregunta difícil de Chalmers, Dennett, Searle, Minsky, Penrose, los sospechosos de siempre, un pequeña exploración de la neurociencia como la nueva frenología, un pequeño repaso del behaviorismo —¿Cómo ha sido para mí?
Au départ, c’est mon éditeur pragois qui m’a invité là-bas pour la sortie de L’Esprit, cette machine en tchèque… Sans doute flatté qu’il juge bon de traduire mon livre, vieux de dix ans, et pensant qu’il méritait un encouragement, j’ai accepté… l’éditeur a aussitôt demandé un financement au British Council, qui l’a accordé à condition que j’assure une conférence et un séminaire à l’université, et finalement cela a abouti à un programme assez chargé, entre la conférence, le séminaire, les séances de signature, les interviews et même un passage de trois minutes au JT de la chaîne nationale… Mon éditeur, Milos Palacky, que je rencontrais pour la première fois, s’est révélé un pur produit postmarxiste du nouvel esprit d’entreprise capitaliste, un type cordial mais roublard qui a obtenu tout ce battage publicitaire sans débourser une seule koruna de sa poche, hormis le jour où il a payé l’addition du déjeuner (soupe au chou-fleur avec boulettes de pâte, sanglier rôti avec boulettes de pâte, boulettes de pâte aux fruits)… D’après un écrivain tchèque dont j’ai fait la connaissance, Palacky est connu pour ne pas payer les droits d’auteur à échéance, et je ne dois pas m’attendre à recevoir plus d’argent que la modeste avance qu’il m’a versée à la signature du contrat… Je ne me suis pas senti rassuré lorsqu’on m’a présenté ma traductrice, une dame d’âge mûr qui ne parle pas très bien l’anglais et semble dépourvue de toute formation scientifique, mais je n’ai pas pu sonder Palacky sur la question car lui non plus, l’anglais n’est pas son fort… partout où il allait il était encadré par deux nervis baraqués en costard noir, lunettes noires, qui ouvraient les portes et repoussaient les gens quand il descendait de voiture pour pénétrer dans un édifice… vraisemblablement, ils ont pour mission de le protéger contre les assauts de créanciers furieux… Enfin, tout en comprenant très vite que je me faisais exploiter, j’ai persévéré, j’ai accompli en professionnel mes devoirs auprès des médias et des libraires, resservi une fois de plus ma conférence passe-partout sur « Le Problème de la conscience » devant une salle comble à l’université Charles… La Faille explicative de Levine, l’Hypothèse stupéfiante de Crick, la Question difficile de Chalmers, Dennett, Searle, Minsky, Penrose, les suspects habituels, un petit morceau sur les neurosciences en tant que nouvelle mouture de la phrénologie, un petit morceau sur le behaviorisme – « Et pour moi, comment c’était ? » déclenche toujours les rires… et pour finir un coup de réclame pour l’I.A.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test