Translation for "entender uno entender" to french
Translation examples
En cuestión de examen y de empleo, «entender» significa entender qué se espera de nosotros.
En matiere d'examen et d'embauche, «comprendre», c'est comprendre ce qu'on attend de nous.
Trataba de entender, las dos tratábamos de entender, y entender era algo que nos gustaba muchísimo.
Elle essayait de comprendre, toutes les deux nous essayions de comprendre – et comprendre, c’était quelque chose qui nous plaisait beaucoup.
yo estaba al fondo del todo, detrás de unos cincuenta dirigentes del Partido y de los Gaue, por no mencionar a unos cuantos industriales, dos jefes de servicio y tres (o quizá dos) ministros del Reich; y me pareció, teniendo en cuenta las reglas de secreto que nos habían impuesto, un auténtico escándalo, algo casi indecente; y al principio me sentí muy incómodo y doy por hecho que no era el único; veía como algunos Gauleiter suspiraban y se secaban el sudor de la nuca o de la frente, y no era que se estuvieran enterando de nada nuevo, nadie en aquel a gran sala de luces tamizadas podía no estar al tanto, incluso aunque algunos, hasta entonces, no hubieran intentado pensar en la cuestión hasta el final, caer en la cuenta de hasta dónde l egaba, pensar, por ejemplo, en las mujeres y en los niños; y fue probablemente por eso por lo que el Reichsführer recalcó ese punto, con mucha mayor insistencia, por lo demás, ante los Reichsleiter y los Gauleiter que ante sus Gruppenführer, quienes, en ningún caso, podían hacerse ilusiones; seguramente por eso recalcó que sí, que efectivamente matábamos a las mujeres, y a los niños también, para que no quedara ambigüedad alguna; y era precisamente aquel o lo que resultaba tan incómodo, aquel a ausencia total, por una vez, de ambigüedad, y era como si estuviera violando una regla no escrita, más imperativa aún que aquel as reglas suyas, que había dictado a sus subordinados, sus Sprachregelungen, tan estrictas no obstante, la regla del tacto, quizá, de aquel tacto que mencionó en su primer discurso, citándolo en el contexto de la ejecución de Rohm y de sus camaradas SA, algo así como un tacto que es espontáneo en nosotros, a Dios gracias, dijo, una consecuencia de ese tacto al que se debe que nunca hayamos hablado de esto entre nosotros, pero quizá se trataba además de algo que no era ni el tacto ni esas reglas, y entonces fue cuando empecé a entender, creo, la razón profunda de aquel as declaraciones, y también por qué los dignatarios suspiraban y sudaban tanto: porque el os también, igual que yo, estaban empezando a entender, a entender que no era por casualidad por lo que el Reichsführer hablaba así, claramente y ante el os, al principio del quinto 567 año de guerra, del exterminio de los judíos, sin eufemismos, sin guiños, con palabras sencil as y brutales, tales como matar -exterminar, dijo, quiero decir matar u ordenar que maten-, si, por una vez, el Reichsführer les hablaba abiertamente de aquel asunto... para decirles cómo eran las cosas, no, desde luego que no era por casualidad, y si él se permitía hacerlo, entonces es que el Führer estaba al tanto y, peor aún, el Führer lo había querido así, y de ahí la angustia que sentían;
Même moi, lorsque j'entendis cela le 6 octobre, je n'en crus tout d'abord pas mes oreilles, la salle était comble, la somptueuse salle Dorée du château de Posen, j'étais tout à fait au fond, derrière une cinquantaine de dirigeants du Parti et des Gaue, sans parler de quelques industriels, de deux chefs de service, et de trois (ou peut-être deux) ministres du Reich; et je trouvai cela, eu égard aux règles du secret auxquelles on nous avait astreints, véritablement choquant, indécent presque, et au début cela me mit très mal à l'aise, et je n'étais certainement pas le seul, je voyais des Gauleiter soupirer et essuyer leurs nuques ou leurs fronts, ce n'était pas qu'ils apprenaient là quelque chose de nouveau, personne, dans cette grande salle aux lumières feutrées, ne pouvait ne pas être au courant, même si certains, jusque-là, n'avaient sans doute pas cherché à penser la chose jusqu'au bout, à en discerner toute l'étendue, à songer, par exemple, aux femmes et aux enfants, et c'est probablement pourquoi le Reichsführer insista sur ce point, nettement plus, d'ailleurs, devant les Reichsleiter et les Gauleiter que devant ses Gruppenführer, qui eux en aucun cas ne pouvaient se faire d'illusions, sans doute pourquoi il insista que oui, nous tuions bien les femmes et les enfants aussi, pour ne laisser subsister aucune ambiguïté, et c'est justement cela qui était si inconfortable, cette absence totale, pour une fois, d'ambiguïté, et c'était comme s'il violait une règle non écrite, plus forte encore que ses propres règles édictées à l'intention de ses subordonnés, ses Sprachregelungen pourtant absolument strictes, la règle du tact peut-être, de ce tact dont il parla dans son premier discours, l'évoquant dans le contexte de l'exécution de Röhm et de ses camarades SA, une sorte de tact naturel parmi nous, Dieu merci, dit-il, une conséquence de ce tact qui a fait que nous n'en avons jamais parlé entre nous, mais peut-être s'agissait-il encore d'autre chose que de la question de ce tact et de ces règles, et c'est là que je commençai à comprendre, je crois, la raison profonde de ces déclarations, et aussi pourquoi les dignitaires soupiraient et suaient autant, car eux aussi, comme moi, commençaient à comprendre, à comprendre que ce n'était pas un hasard si le Reichsführer, ainsi, au début de la cinquième année de la guerre, évoquait ouvertement devant eux la destruction des Juifs, sans euphémismes, sans clins d'oeil, avec des mots simples et brutaux comme tuer – exterminer, dit-il, je veux dire tuer ou donner l'ordre de tuer -, que, pour une fois, le Reichsführer leur parlait ouvertement de cette question…, pour vous dire comment sont les choses, non, ce n'était certes pas un hasard, et s'il se permettait de le faire, alors le Führer était au courant, et pis, le Führer l'avait voulu, d'où leur angoisse, le Reichsführer parlait forcément ici au nom du Führer, et il disait cela, ces mots-là qu'on ne devait pas dire, et il les enregistrait, sur disque ou sur bande, peu importe, et il prenait soigneusement note des présents et des absents -parmi les chefs de la SS, seuls n'assistèrent pas au discours du 4 octobre Kaltenbrunner, qui souffrait de phlébite, Daluege, sérieusement malade du cœur et en congé pour un an ou deux, Wolff, tout juste nommé HSSPF pour l'Italie et plénipotentiaire auprès de Mussolini, et Globocnik, qui venait, je ne le savais pas encore et ne l'appris qu'après Posen, d'être subitement muté de son petit royaume de Lublin à sa ville natale de Trieste, comme SSPF pour l'Istne et la Dalmatie, sous les ordres de Wolff justement, accompagné d'ailleurs, mais cela je le sus encore plus tard, de presque tout le personnel de l'Einsatz Reinhard, T-4 compris, on liquidait tout, Auschwitz suffirait dorénavant, et la belle côte adriatique ferait un beau dépotoir pour tous ces gens dont on n'avait plus l'usage, même Blobel viendrait les rejoindre un peu plus tard, qu'ils aillent se faire tuer par les partisans de Tito, cela nous épargnerait une partie du ménage; et quant aux dignitaires du Parti, note fut prise aussi des têtes manquantes, mais je n'ai jamais vu la liste – tout cela, donc, le Reichsführer le faisait délibérément, sur instructions, et à cela il ne pouvait y avoir qu'une raison, d'où l'émoi perceptible des auditeurs, qui la saisissaient fort bien, cette raison: c'était afin qu'aucun d'entre eux ne puisse, plus tard, dire qu'il ne savait pas, ne puisse tenter de faire croire, en cas de défaite, qu'il était innocent du pire, ne puisse songer, un jour, à pouvoir tirer son épingle du jeu;
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