Translation for "enclenque" to french
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Un ser enclenque, que parecía un viejo en miniatura de tanto como le arrugaba la piel la delgadez.
Un être maladif, à l'apparence d'un vieux en miniature tant la maigreur fripait sa peau.
Era un hombrecillo enclenque, de quizás cuarenta años, piel blanca, rizos descuidados, con una horrible jeta cadavérica.
C’était un petit homme maladif, d’une quarantaine d’années au teint pâle, ébouriffé, avec une bouche cadavérique.
Gainsburg, el enclenque, el enfermizo, el amargo, empeñado en convertirse en ruina humana antes de conseguir destruirse por fin.
Gainsbourg, le chétif souffre-douleur, fragile, maladif, amer, acharné à devenir une épave pour parvenir enfin à se détruire.
Ahora eran ocho en total: Antal, Iza, Domokos, Gica, la enfermera, un anciano despeinado con gorro de piel, tabardo y un impermeable encima de este —era el vigilante nocturno—, y un joven enclenque, recién afeitado, con abrigo de cuero, que al ver a Iza fijó en ella sus ojos redondos y balbució algo con los labios temblorosos. «El borracho», pensó ella. Ahora estaba sereno, completamente sereno, y muy asustado. Y a su lado, el somnoliento médico auxiliar de la ambulancia del turno de noche. El oficial de policía que los recibió se mostró atento y afable, desbordante de pura compasión.
Ils étaient huit à comparaître devant l’officier de police : Antal, Iza, Domokos, Guitza, l’infirmière, le veilleur de nuit en gilet de mouton et imperméable, et un homme jeune, glabre, d’aspect maladif, qui fixait Iza de ses yeux écarquillés en marmonnant des mots sans suite. L’ivrogne, diagnostiqua la doctoresse. Il est à jeun ! Le huitième avait l’air de tomber de sommeil : c’était le jeune médecin de l’ambulance.
Tenía un aspecto enclenque, estaba enferma. Deseaba morir.
Elle avait l’air malade, et l’était. Elle espérait mourir.
¡Su mujer, siempre enferma, y su hijo enclenque!
Sa femme, toujours malade, et son fils qui est mal venu !
Entonces pude ver cuán enclenque era aquella mujer enferma;
Je remarquais à présent comme cette femme était malade et chétive ;
Es un anciano enfermo, flaco y enclenque, de cara casi gris, de manos huesudas.
C’est un vieillard malade, maigre et chétif, au visage presque gris, aux mains osseuses.
Y al alba, aglutinados todos a su alrededor para ver al zorro, Gordo bendijo con amor a su noble raposo vagabundo, en realidad un zorro enclenque y enfermo, cosa que tuvo buen cuidado de no revelar.
Et à l’aube, tous agglutinés autour de lui pour voir le renard, Gros bénit avec amour son noble goupil vagabond – en fait renard malingre et malade, ce qu’il se garda bien de révéler.
Con sus dedos blancos y huesudos, sus músculos atrofiados en aquellos brazos enclenques, su rostro enjuto y pálido, sus párpados cosidos y cóncavos sobre cuencas vacías; no parecía una mujer enferma en cama, sino un cadáver tratando de salir del ataúd.
Avec ses doigts osseux et blancs agrippés sur l'acier, ses muscles atrophiés qui se dessinaient sous la peau du bras, son visage creusé et livide, ses yeux cousus sur ses orbites vides, elle ressemblait plus à une morte luttant pour s'échapper d'un cercueil qu'à une femme malade.
Todo fue en él rareza: que naciera deforme en una familia tan normal como la de los Pardinas, que pese a ser un adefesio enclenque no muriera ni padeciera enfermedades, que en vez de andar en dos pies como los humanos lo hiciera a cuatro patas y que su cabeza creciera de tal manera que parecía milagro que su cuerpecillo menudo pudiera sostenerla.
Tout en lui fut bizarre : qu’il naquît difforme dans une famille aussi normale que celle des Pardinas, qu’en dépit de sa monstruosité rachitique il ne mourût ni ne connût de maladies, qu’au lieu de marcher sur deux pieds comme les humains il le fît à quatre pattes et que sa tête grossît tant et si bien qu’il semblait miraculeux que son petit corps menu pût la soutenir.
Una tarde, apremiada por el encargado, que ha estado horas arreglando la persiana del living y ahora se demora junto a la puerta, fingiendo examinar una cerradura enclenque para darle tiempo a que busque una propina, le pide a él la cuota habitual de dinero chico y cuando la recibe —tres billetes pequeños, doblados en dos, con una pilita de monedas encima—, el cuenco trémulo que es su mano cede un poco, como si fuera a desfondarse por el peso.
Un après-midi, harcelée par l’employé, qui a passé des heures à réparer la persienne du living et qui s’attarde à présent près de la porte, en faisant semblant d’examiner une serrure malade pour lui donner le temps de chercher un pourboire, elle lui demande combien on donne habituellement de petite monnaie, et lorsqu’elle la lui tend – trois petits billets pliés en deux avec un petit tas de pièces de monnaie au-dessus –, le récipient tremblant qu’est devenue sa main cède un peu, comme s’il allait s’effondrer sous le poids.
Se desploma un silencio que no es silencio porque las arañas, los termites, los escarabajos urden sus vidas en esos matorrales y esos árboles que le pertenecen a él, arrastran un fragmento de hoja, cruzan la barrera ciclópea de una ramita caída, cavan agujeros cubiertos de una baba blanquizca, en unos minutos se multiplican en miles de generaciones que horadan galerías en un tronco o extienden la mancha herrumbrosa de la peste en el revés de una hoja, todo lo oigo en el silencio, soy capaz de percibirlo todo hasta que la perra amarilla, la ladrona enclenque, vuelve a instalarse debajo de mi ventana para lanzar otro aullido a la luna.
Un silence tombe qui n’est pas un silence car les araignées, les termites, les escarbots trament leur vie dans ces buissons et ces arbres qui lui appartiennent, ils traînent un fragment de feuille, ils passent la barrière cyclopéenne d’un rameau tombé à terre, ils creusent des trous qu’ils recouvrent d’une salive blanchâtre, en quelques minutes ils se multiplient par milliers de générations qui forent des galeries dans un tronc ou agrandissent la tache de rouille d’une maladie au revers d’une feuille, j’entends tout dans le silence, je peux tout percevoir jusqu’à ce que la chienne jaune, la voleuse malingre, se réinstalle sous ma fenêtre pour lancer un nouveau hurlement à la Lune.
Era el año 1566; el escenario de la atrocidad, claro está, Holyroodhouse, o, según el nombre, más sencillo, por el que era conocido en aquel entonces, el palacio de Holyrood (derivación de la reliquia más preciada de la abadía, abandonada mucho tiempo atrás, un objeto que sus custodios tenían sin el menor género de duda por una astilla de la auténtica cruz).[4] Como joven heredera católica al trono escocés, habían enseñado a María que también tenía legítimo derecho a la corona inglesa de Isabel, que probablemente sería suya, pues mientras la línea de descendencia más directa de los Tudor parecía tocar a su fin con la Reina Virgen, María era una bisnieta joven y presumiblemente fértil del fundador de esa dinastía, Enrique VII. Por tanto, sin ella saberlo, la habían alistado como peón en la tentativa de Francia (tierra natal de su madre) de asediar a la Inglaterra protestante con los ejércitos de la «Fe Auténtica»: además de pasar la mayor parte de su juventud en la corte francesa, y no en el agitado reino de su padre, María acabó por ser elegida para convertirse en esposa del rey francés, un joven enclenque.
L’époque : 1566 ; le lieu : Holyroodhouse, bien sûr, ou, comme on l’appelait alors, le palais de Holyrood[3](nom tiré de la plus précieuse relique de l’abbaye abandonnée depuis longtemps et dont les gardiens s’étaient persuadés qu’il s’agissait d’un éclat de la sainte Croix). On avait appris à Marie, la jeune héritière catholique du trône d’Ecosse, qu’elle pouvait aussi légitimement prétendre à succéder à Elisabeth sur le trône d’Angleterre. Car si la lignée la plus directe des Tudor semblait devoir s’achever avec la Reine vierge, Marie était l’arrière-petite-fille, encore jeune et sans doute féconde, du fondateur de la dynastie, Henri VII. Elle avait donc joué le rôle de pion involontaire dans le gambit de la France (pays natal de sa mère) pour encercler l’Angleterre protestante avec les armées de la vraie foi. Outre qu’elle avait passé la majeure partie de sa jeunesse à la cour de France plutôt que dans le royaume troublé de son père, Marie avait finalement été choisie pour épouser le jeune roi français malade.
Para mí, poeta enclenque,
Pour moi, poète chétif,
Enclenque y con el cuerpo como torcido.
Extrêmement chétif, son corps paraît tordu.
Fui pequeño y enclenque hasta los doce años.
J’ai été petit et chétif jusqu’à douze ans.
En aquellos tiempos, era pequeño y enclenque.
J’étais alors petit et vraiment chétif.
Demasiado enclenques… y esas serpientes que tienen por pies.
Trop chétifs. Et puis ces pieds en serpents !
Era delgadito y algo enclenque, pero no porque comiera con desgana.
Il était mince et un peu chétif, mais en rien anorexique.
Su enclenque cuerpecito tenía súbitos estremecimientos.
Son petit corps chétif était parcouru de brusques frissons.
—¿Enclenque y pequeño? —repitió Thor indignado—.
 Petit bonhomme chétif ? se récria Thor.
Comparado con Narciso, parecía un troll enclenque.
Comparé à Narcisse, il avait l’air d’un troll chétif.
Uno era tan negro y fornido como el otro era pálido y enclenque.
L’un était aussi noir et baraqué que l’autre était pâlot et chétif.
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