Translation for "descenso" to french
Translation examples
Las causas del descenso de la población.
Les Causes du déclin démographique
Su descenso exhumaba la furia del espíritu humano.
Son déclin mettait les esprits en fureur.
Solo podemos actuar para acelerar su descenso.
Nos manœuvres pourraient tout juste hâter son déclin.
Empezaba a anochecer: el sol había iniciado su descenso tras los acantilados.
Le soir tombait. Le soleil avait amorcé son déclin derrière les falaises.
Es como un artículo que leí el otro día sobre el descenso de la población de luciérnagas.
Ça me rappelle cet article que j'ai lu l'autre jour sur le déclin de la population de lucioles.
Me temo que el descenso en el rendimiento era ya patente antes de la crítica de Richard Cheeseman.
Mes revenus commençaient déjà à décliner avant la critique de Richard Cheeseman, hélas.
Arrugó la frente para mirar el día, que había iniciado su largo enfriamiento, su descenso.
Il s’appuya à la balustrade, regardant d’un air sombre le jour qui entamait son lent refroidissement, son déclin.
Breve Historia de los Estados Unidos y Las causas del descenso de la población son pequeños los dos, y caben perfectamente.
L’Histoire condensée des États-Unis et Les Causes du déclin démographique y rentrent sans problème.
El ensayo de Fausto: un desencuentro, una delicia y luego el horrible, rápido descenso a la realidad.
La répétition de Faust : un désappointement, un enchantement, et ensuite un horrible et rapide déclin vers la réalité.
La curva de su ascenso social cortaba la curva del descenso de su amigo, pero la decadencia de Mr.
La courbe suivant laquelle il s’élevait dans la société coupait celle que traçait le déclin de son ami ;
Pero cuando los cuchillos negros de la pared montañosa quedaron finalmente atrás y Janacek apagó todas las luces de la máquina para iniciar un lento y cauteloso descenso, Dirk se volvió para preguntarle—: ¿Qué habría hecho si yo me hubiera negado a seguirle el juego?
Mais une fois les arêtes tranchantes de la muraille montagneuse derrière eux, quand Janacek eut coupé toutes les lumières de l’appareil avant d’entamer une descente lente et prudente, Dirk se décida à reprendre la parole : « Qu’est-ce que vous auriez fait, si j’avais refusé de jouer le rôle que vous m’avez attribué ? »
Después de que su ilustre compañero y él hubieran aparecido en la cima del Mont Blanc, sin guías, puesto que todos habían rehusado seguirlos, debido al mal tiempo, solos, con la bandera desplegada durante cinco minutos en el pico más alto de Europa, contaba ahora, y con qué emoción, el peligroso descenso y la caída, con Tartarín rodando hasta el fondo de la grieta, y él, Bompard, atándose a una cuerda de doscientos pies para explorar la grieta en toda su longitud.
Après s'être montrés, lui et son illustre compagnon, à la cime du Mont-Blanc, sans guides, car tous s'étaient refusés à les suivre, effrayés par le mauvais temps,—seuls avec la bannière déployée pendant cinq minutes sur le plus haut pic de l'Europe, il racontait maintenant, et avec quelle émotion, la descente périlleuse et la chute, Tartarin roulant au fond d'une crevasse, et lui, Bompard, s'attachant pour explorer le gouffre dans toute sa longueur, d'une corde de deux cents pieds.
Si ser camionero es una historia que me he contado muchas veces, no era forzoso encontrar mujeres pidiéndome que las levantara como lo estaba haciendo Dilia, aunque desde luego también las había puesto que esas historias colmaban casi siempre una fantasía en la que la noche, el camión y la soledad eran los accesorios perfectos para una breve felicidad de fin de etapa. A veces no, a veces era solamente una avalancha de la que me escapaba vaya a saber cómo, o los frenos que fallaban en el descenso para que todo terminara en un torbellino de visiones cambiantes que me obligaban a abrir los ojos y negarme a seguir, buscar el sueño o la tibia cintura de Niágara con el alivio de haber escapado a lo peor.
Être camionneur a beau être une histoire que je me suis maintes fois racontée, je n’y trouvais pas pour autant des femmes me demandant de les prendre comme le faisait Dilia en ce moment, même si je m’arrangeais généralement pour que ces histoires satisfassent une envie en faveur de laquelle la nuit, le camion et la solitude étaient les ingrédients parfaits d’un bonheur furtif de fin d’étape. Mais parfois non, parfois il s’agissait simplement d’une avalanche dont je réchappais on ne sait comment, ou de freins qui me lâchaient en pleine descente jusqu’à ce que tout plonge dans un tourbillon de visions mouvantes me forçant à ouvrir les yeux, à refuser la suite, à chercher le sommeil ou la taille tiède de Niágara avec le soulagement d’avoir échappé au pire.
no era odio lo que sentía frente a la masa, ni siquiera desprecio, ni siquiera antipatía, nunca había querido menos alejarse del pueblo o elevarse sobre el pueblo; pero algo nuevo había aparecido, algo de lo que nunca había querido enterarse en todo su contacto con el pueblo, aunque dondequiera había estado -no importa si en Nápoles o en Roma o en Atenas- hubiese tenido más que oportunidad para ello, algo que surgía sorprendentemente arrollador aquí en Brindis: el abismo de perdición del pueblo en todo su alcance, el descenso de los hombres a plebe de gran ciudad, y con ello la transformación del hombre en lo contra-humano, causada por el vaciamiento del ser, por la conversión del ser en mera vida codiciosa de superficie, perdido su origen radical y cortado del mismo, de manera que ya no queda otra cosa que la vida individual, peligrosamente disuelta, de un exterior casi turbio, preñada de desventura, preñada de muerte, oh, preñada de un desenlace misteriosamente infernal.
ce n’était pas de la haine qu’il sentait à l’égard de la masse, même pas de l’aversion, non, il voulait aussi peu que jadis se détacher du peuple, ou même s’élever au-dessus du peuple, mais une chose nouvelle venait d’apparaître, une chose que malgré tous ses contacts avec le peuple il avait toujours refusé d’apercevoir – bien que partout où il avait été, que ce fût à Naples, à Rome ou à Athènes, il n’en eût que trop l’occasion, – une chose qui, maintenant à Brundusium forçait son étonnement : c’était les abîmes du mal où peut descendre le peuple, la dégradation de l’homme jusqu’à la populace de grande ville et ainsi la corruption de l’homme en son contraire, corruption engendrée par le creusement de l’être, par la métamorphose de l’être en simple appétit de la surface, privé et coupé de sa raison première, si bien qu’il ne subsiste plus rien d’autre que la vie propre, dangereusement isolée, mise à nu en pure extériorité, et fécondée de malédiction, fécondée de mort, oh ! grosse d’une fin mystérieuse et infernale !
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test