Translation for "copia de copia" to french
Translation examples
Se arrastra, lamentable mendiga de taller, de copia en copia.
Elle se traîne, lamentable mendiante d’atelier, de copie en copie.
La hoja encontrada en la maleta verde no era el ejemplar que pertenecía al otro, sino una copia, una copia muy exacta, minuciosamente calcada de uno de los originales.
La feuille trouvée dans la malle verte n’était pas l’exemplaire de l’autre, mais une copie, une copie très exacte, minutieuse, faite d’après un des originaux.
A las cinco de la mañana, en un apartamento de la Baixa, en Lisboa, en la esquina de la Rua dos Fanqueiros con la Rua da Conceição, puedo distraer el insomnio explorando en internet los archivos del FBI, páginas fotocopiadas y escaneadas, copias de copias de copias anteriores, con la letra a veces muy borrosa, letra de máquinas de escribir o mayúsculas de teletipos, tachaduras negras que ocultan un nombre o una frase o una página entera, tampones de fecha y sellos de entrada y salida.
À cinq heures du matin, dans un appartement de la Ville Basse de Lisbonne, à l’angle des rues dos Fanqueiros et da Conceição, j’occupais mon insomnie en explorant sur Internet les archives du FBI, pages photocopiées et scannées, copies de copies de copies antérieures, parfois très confuses, en caractères issus de machines à écrire ou en majuscules de télétypes, ratures noires occultant un nom, une phrase ou une page entière, tampons dateurs et cachets d’arrivée et de départ.
Seguía haciendo copia tras copia de aquella gitana odiosa, vendida por las calles y las ferias de provincia durante años, obedeciendo, como siempre, por algunas liras, al encargo de feos cuadritos de vacaciones pequeñoburguesas.
De cette odieuse bohémienne, vendue dans les rues et dans les foires de province depuis des dizaines d'années, il avait fait et continuait de faire copie sur copie, obéissant pour quelques lires et comme toujours à la demande de vilains petits tableaux pour sales de séjour petites-bourgeoises.
Los más antiguos son posteriores al año 150 y por lo tanto son copias, incluso copias de copias, y me pregunto qué pensaría un copista que en el siglo II de nuestra era trazaba piadosamente con la mano una frase cuyo único sentido es decir: «He sido escrito por la mano de Pablo.» Se encuentran frases de este tipo en varias de sus cartas, porque había confiado a sus iglesias muestras de su letra para autentificar sus envíos.
Les plus anciens datent d’après 150, ce sont donc des copies, plutôt même des copies de copies, et je me demande ce qui traversait la tête d’un copiste qui, au IIe siècle de notre ère, traçait pieusement de sa main à lui une phrase dont le seul sens est de dire : « Je suis de la main de Paul. » On trouve des phrases de ce genre dans plusieurs de ses lettres, car il avait confié à ses églises des échantillons de son écriture pour authentifier ses envois.
—Un contrato de fletamento, de los llamados de cartapartida, es la explicación más sencilla —comenzó Peppard. —¿De cartapartida? —Sí —asintió Peppard al tiempo que recorría con el dedo la franja dentada que presentaba el pergamino en uno de sus bordes—. Estos dientes indican la presencia de otra copia, o copias, aunque lo más probable es que hubiera solamente una.
« L’explication la plus simple est que c’est une endenture. – Une endenture ? – Observez ces encoches –Peppard passe la main sur les dentelures du parchemin–, c’est l’indication qu’il y a une autre copie, d’autres copies peut-être, mais je doute qu’il y en ait plus d’une.
el otro, ese estudiado conjunto de edificios públicos cuidadosamente dispuestos alrededor de Unter den Linden, copias de copias de todos los grandes estilos, indicativos emblemas de nuestra dignidad de capital: el parlamento, un par de museos, el banco nacional, la catedral, la ópera, una docena de embajadas, un arco triunfal. No falta nada.
et puis le centre civique des édifices pleins de morgue, savamment disposés aux abords de l’Unter den Linden. De grand style international, copies de copies, ils proclament notre dignité de capitale : un parlement, plusieurs musées, une banque d’État, une cathédrale, un opéra, une douzaine d’ambassades, un arc de triomphe – rien n’a été oublié.
Hablaron largo y tendido sobre los retratos de Isabel, del hecho de que la mayoría fueran copias de copias y no intentos de reproducir directamente el rostro de la reina, de la fuerza sobrenatural que se atribuía a sus retratos, los cuales, como señaló complacido Roy Strong, eran objetos tanto de veneración como de prácticas de hechicería, como si pudiera provocársele la muerte clavándole agujas y alfileres.
Tous trois parlèrent assez bien des portraits d’Elisabeth en tant qu’icônes, du fait que la plupart étaient des copies de copies et non des tentatives pour copier le visage de la reine directement, du mana attribué à ses portraits, qui, souligna Roy Strong avec jubilation, étaient des objets à la fois de vénération et de sorcellerie, comme si elle pouvait être vouée à la mort à coups d’épingle ou d’aiguille.
En una colmena de cámaras hexagonales que se abrían tras la estancia principal había todo tipo de divertimentos y distracciones para los invitados. Una de ellas exhibía una réplica de un «castillo hinchable», una extraña fortaleza rellena de aire que, según Pennyroyal, era un elemento clave en el arsenal armamentístico de los Antiguos, pero que también podía usarse como cama elástica. En otra chirriaba un artilugio que proyectaba copias de copias de algunos de los fragmentos de películas que habían sobrevivido a la Guerra de los Sesenta Minutos: caballeros con armaduras cabalgaban a través de un bosque en llamas y sus sombras se expandían con el humo; unas máquinas voladoras despegaban frente a un amanecer tropical; un joven vagabundo caminaba por una carretera polvorienta;
Au fond de la salle principale, d’autres, plus modestes, hexagonales, formant une sorte de ruche, offraient toutes sortes de divertissements aux invités : réplique d’un château gonflable, étrange fortification dont Pennyroyal assurait qu’elle avait constitué un élément majeur de la guerre chez les Anciens mais qui pouvait également servir de trampoline ; appareil catarrheux qui projetait des copies de copies de fragments d’un film ayant survécu à la Guerre d’Une Heure — des chevaliers en armure chevauchaient à travers une forêt en feu, des machines volantes décollaient dans une aube tropicale, un petit mendiant marchait le long d’une route poussiéreuse, des automobiles se pourchassaient, pareilles à de minuscules locomopoles, un homme était suspendu à une horloge cassée au-dessus d’une immense colonie statique, de magnifiques plans rapprochés montraient les visages rêveurs des déesses de l’écran.
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