Translation for "contarles historias" to french

Contarles historias

• leur raconter des histoires
• dites-leur des histoires

Translation examples

leur raconter des histoires

—Pero antes, tengo que contarle historia.
— Mais je voudrais auparavant vous raconter une histoire.

—No estamos en tan buenas relaciones como para que yo vaya a contarle historias.
— Nos rapports ne sont pas assez cordiaux pour que je lui raconte des histoires.

Y ella no se durmió como se dormiría un niño al contarle historias por las noches.
Elle ne s’est pas endormie comme les enfants à qui on raconte des histoires.

Marina solía contarle historias que se inventaba sobre la marcha.
Marina avait l’habitude de lui raconter des histoires qu’elle inventait au fur et à mesure.

Y si tienes que contarle historias, ¿por qué no le cuentas las de los dioses y diosas?
Et si tu as envie de raconter des histoires du passé à notre fille, pourquoi ne lui parles-tu pas des dieux et des déesses ?

—¿Cuidado? Podría contarle historias de Aberdeen que le pondrían los pelos de punta.
— Prudent ? Je pourrais vous raconter des histoires sur Aberdeen qui auraient pu me faire perdre des cheveux.

los virus no aparecen para contarles historias a los humanos o transmitir mensajes de sus malos pastores.
les virus ne sont pas là pour raconter des histoires aux humains ou relayer celles de leurs mauvais bergers ;

Ella lo llamó un par de veces para contarle historias, Héctor la llamó otras dos para contarle otras.
Elle l’avait appelé deux ou trois fois pour lui raconter des histoires, Héctor l’avait appelée à son tour pour lui en raconter d’autres.

Podría tenerla junto a él, tomarle la cara entre las manos, contarle historias estrambóticas.
Il pourrait la garder près de lui, prendre son visage entre ses mains, lui raconter des histoires à dormir debout.

Queremos enseñar a nuestro invitado la biblioteca y no contarle historias de terror. —¿De qué viven? —pregunté—.
Il s’agit de montrer à notre hôte notre bibliothèque, et non de lui raconter des histoires qui donnent le frisson. — De quoi vivent-ils ? demandai-je.